Ainsi, selon Rostand et toi, ma pensée n'est vraiment que très peu de chose...
C'est normal que la pensée selon un sceptique soit très peu de chose... Parce qu'un sceptique, par définition, ça n'a jamais rien inventé. Où en serait le monde s'il avait été dirigé par des sceptiques?
Puisque ma définition de la pensée et par conséquent de la vie est erronée, j'aimerais que toi, Gilles, tu me donne sa vrai définition, m'expliquer comment tu l'applique. À quel endroit dois-je tracer la frontière entre ce qui est vivant de ce qui ne l'ai pas? Entre ce qui pense de ce qui ne pense pas?
J'aimerais tant que tu m'explique, pour qu'enfin je puisse comprendre.
Elmo
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