Je pense qu'il s'agit d'une allégorie esprimant l'idée de l'invariance sous transformation (de Lorentz en fin du compte). Peut-être s'agit-il d'une mésinterprétation de ma part ? Peut-être de M. Decroix a une idée là-dessus ? Je sais par contreque l'idée que j'ai énoncé précedemment résume son cheminement (j'invite qui le peut à enrichir ou rectifier cette idée).
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