Forger et polir la lame sont des métiers différents, ainsi que la confection de la tsuba, du tsuka et de "l'acastillage". Chacun demande, traditionnellement, un long apprentissage sous la houlette d'un maître. Cela n'empêche pas certains d'obtenir un bon résultat. On rejoint le discours de la méthode: transmission par la foi en l'enseignement, alourdi de mysticisme et de traditions, jamais remis en question, d'un maître, ou observation, analyse objective, théorisation puis reproduction du procédé ? L'esthétique y perd parfois, mais la qualité des lames y gagne le plus souvent.