Le cas du frère Marie-Victorin me vient à l'esprit. En tant que membre d'une communauté religieuse, j'imagine qu'il vivait une certaine spiritualité; or, en aucun cas, cet élément ne transparaît dans ses écrits. Pourtant son travail de botanique s'y prêtait lorsqu'il traitait de l'évolution des espèces végétales.
Ce qui compte, c'est qu'il n'y ait pas d'interférence entre les croyances et la connaissance, entre la foi et la raison.
André
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