Ah non, ça ne va pas du tout, c'est bien trop facile."
On va prendre un exemple de choix morale:
Deux individu, disons deux frères, par exemple. Qui s'apprécient mutuellement, cad n'aimerait pas voir l'autre lui arriver du mal. Disons qu'ils se trouvent dans une situation où un seul d'entre eux a le pouvoir, par sa décision, de déterminer l'avenir des deux. Plus précisément, disont que l'un d'entre eux a à choisir entre lui et son frère. Si il choisit lui, une 'immoraloté' surviendra à son frère, et si il choisit son frère cette immoralité surviendra à lui-même. Quel serait le bon choix morale ?
Si le frère qui a à faire le choix choisit lui-même,cad problème pour son frère, il change sa morale ? Non, il ne l'applique plus. C'est ce que j'ai voulu dire. Il choisit consciemment de faire subir une immoralité à l'un de ses pairs. Il n'a pas une nouvelle morale pour laquelle l'acte immorale qu'à subit son frère devient amorale ou morale.
Lorsque tu prend l'exemple du policier qui tue un malfaiteur pour me sauver la vie, je ne pense pas que ce soit 'si morale que ça'. Le plus morale aurai été pour le policier de se sacrifier pour me sauver. Je tient à précisé qu'il s'agit d'une idéalisation du problème, je suis bien conscient qu'en pratique c'est difficile à réaliser ;-).
Je ne suis pas d'accord non plus avec la perte de vie humaines au nom d'un plus grand bien. Espèce de morale utilitariste beaucoup plus politique que morale. Mais bon, on vit dans un monde compliqué, où le 'moins pire choix' devient souvent le 'meilleur choix'.
Pour le reste, dur Kant, etc, jugement absolu, je suis d'accord. Encore une fois, je pense que tu interprète mal mes propos, mais peut-être je m'exprime mal, où plutôt, avec les mauvais termes. Ce sera à voir dans l'autre brauche plus haut...(remplacer absolu par idéal)
|