Études féministes

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Kraepelin
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Re: Études féministes

#176

Message par Kraepelin » 03 nov. 2010, 05:19

pan-pan a écrit :
Fair a écrit :On peut aussi, contrairement à vous, donner des liens vers des statistiques pour appuyer nos opinions.
On fait dire ce qu'on veut aux statistiques.
Je déteste ce cliché! «On» fait peut-être dire n'importe quoi aux statistiques, mais les statistiques, elles, ne disent pas n'importe quoi!
pan-pan a écrit : (…) je m'appuie sur un principe qui n'a aucun lien avec les chiffres. Le principe social de la protection des plus faibles. L'exemple du bateau qui coule et dont on fera sortir les femmes et les enfants d'abord.
C'est très chevalresque de votre part, mais êtes-vous en train de nous dire que les femmes représentent le «sexe faible»?
pan-pan a écrit : Je suis pour une «discrimination positive» des femmes en connaissant les faits séculaires préexistants à leurs désavantages. Il est hors de question pour moi de me considérer comme un homme floué par le lobby féministe. L'intelligence nous fait rapidement comprendre la différence entre le pouvoir historiquement masculin et le rapport de force que le féminisme tente d'apporter. Le féminisme est important dans la société occidentale car il est un chien de garde pour les tentative de retour en arrière, une figure de proue pour faire avancer la condition des femmes et un rempart pour celles qui cherchent à se reconnaître dans le système actuel.
Vous êtes, en effet, sur un terrain politique. Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites, mais je suis un peu irrité par le sentiment de culpabilité qui semble transpirer de certain choix de mots.
pan-pan a écrit : Monter en épingle des statistques comme vous l'avez fait,
vous, les quatre gentlemen, ne sert qu'à briser les efforts des femmes (dont je fais l'amalgame arbitrairement avec les féministes, ne vous en déplaise) à se libérer d'un état de soumission qui existe depuis toujours (un grand mot, je sais). Ici, au Canada, quand on sait que la violence conjugale de type «terrorisme conjugal» appartient à l'homme, et non à la femme, il y a de quoi avoir peur. C'est ce que vivent les femmes, la peur. Quand on a peur, on cherche la sécurité. Les moyens que les femmes ont trouvé pour trouver cette sécurité sont aussi ceux que vous «dénigrez». À force de ridiculiser le concept «à travail égal, salaire égal» apporté par les femmes ou de dire que les femmes (les féministes) ne cherchent pas l'égalité. Allez lire plus haut
Le lobby des femmes ne se bat pas pour l'égalité, c'est pourtant une évidence.
C'est faux, il y a des féministes averties qui se battent pour l'égalité, mais plus encore, la majorité le pense et la désire cette égalité. Allez donc vous rhabiller, vous quatre, ce ne sont pas des statistiques qui vont changer mon opinion (puisque ce sujet ne fait qu'aborder des opinions) sur la nécessité des groupement de femmes dans le présent et dans le futur (puis-je me réserver un droit de regard sur le futur rapproché?).
Est-ce que je vous résume bien en disant que pour vous les féministes peuvent dirent n'importe quoi pourvue que cela semble servir à améliorer le sort des femmes?

Mais n'avez-vous pas pensé que certaines de leurs erreurs pouvaient desservir le sort des femmes?

Je vous ai donné l'exemple des problèmes de santé mentale qui sont occultés par le discours actuel sur «laviolence faite aux femmes». Vous en avez vous-mêmes soulevé un autre : la discrimination positive. Dans certains milieux la discrimination positive n'a pas bien servi le sort des femmes. Dans les départements universitaires où ce genre de politique a été adopté, les femmes professeures sont automatiquement déconsidérées par leurs collègues. «Elle a eu son poste parce que c'est une femme » (sous-entendu: … et non parce qu'elle est compétente…). Je n'aimerais pas avoir un poste à ce prix! Et vous? Et si ni vous ni moi n’étions prêts à payer ce prix pour un poste, pourquoi des femmes le seraient-elles?
Dernière modification par Kraepelin le 03 nov. 2010, 11:33, modifié 1 fois.
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Re: Études féministes

#177

Message par pan-pan » 03 nov. 2010, 05:31

mao a écrit :Pour répondre à Pan Pan voici un petit article qui explique que les activistes sont des hommes comme les autres. Et ça s'applique aussi aux femmes.

https://www.sceptiques.qc.ca/assets/docs/Qs69p14.pdf

Pour le reste ce ne sont pas des statistiques qui vont me prouver que dieux n'est pas un petit pois. Par ce que je sais que c'est vrais, j'en ai la foi.
Pas fort. En passant, l'article que tu cites ne prétend absolument pas que les activistes sont des hommes comme les autres. Il les dénigre plutôt.

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#178

Message par mao » 03 nov. 2010, 05:41

Ben c'est ca que je dits les hommes comme les autres, ne sont pas des dieux se sagesses ni des puits de sciences.

Ils font souvent des erreurs, tentent de les cacher, ne disent que les paroles qui les avantages.

Et biens d'autres petites fourberies.

Surtout quand ils (elles) ont le vent dans le dos.


P.S. ET ne vous en faites pas je ne me considère aucunement comme l'homme qui lancera la première pierre, mais peut-être le premier bâton.
Ne vous fiez pas aux sacrificateur des Baal ni en ceux de l'éternel.
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Re: Études féministes

#179

Message par Cartaphilus » 03 nov. 2010, 10:19

Bonjour à tous.

Je m'immisce un instant dans cette discussion :
Kraepelin a écrit :Ne faisons-nous pas sur le forum le procès de l'astrologie, le procès de l'homéopathie, le procès des vaccins [...]

Le lecteur aura bien évidemment compris qu'il s'agissait d'un lapsus, et, même si l'équivoque n'est pas permise, je me permets de rectifier : « le procès des anti-vaccins ».
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Re: Études féministes

#180

Message par Kraepelin » 03 nov. 2010, 11:30

Cartaphilus a écrit :Bonjour à tous.

Je m'immisce un instant dans cette discussion :
Kraepelin a écrit :Ne faisons-nous pas sur le forum le procès de l'astrologie, le procès de l'homéopathie, le procès des vaccins [...]

Le lecteur aura bien évidemment compris qu'il s'agissait d'un lapsus, et, même si l'équivoque n'est pas permise, je me permets de rectifier : « le procès des anti-vaccins ».
Tu me comprends mal. Dans ma bouche « faire le procès» ne veux pas nécéssairement dire que l'on est contre. Celà veux simplement dire que l'on mesure la valeur des arguments pour exercer notre jugement. Les vaccins ont été en «procès» sur notre forum l'année passé et, à mon avis, ils s'en sont fort bien tiré.
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Re: Études féministes

#181

Message par Cartaphilus » 03 nov. 2010, 11:47

Krepelin a écrit :Tu me comprends mal.
Je suis confus, et vous prie de bien vouloir m'en excuser, de vous avoir mal compris ; j'avais interprété faire le procès (de quelque quelqu'un ou quelque chose) comme « l'attaquer, le mettre en cause, le critiquer de façon systématique ».
Le sommeil de la raison engendre des monstres. Francisco de Goya.

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Re: Études féministes

#182

Message par Kraepelin » 03 nov. 2010, 12:05

Cartaphilus a écrit :
Krepelin a écrit :Tu me comprends mal.
Je suis confus, et vous prie de bien vouloir m'en excuser, de vous avoir mal compris ; j'avais interprété faire le procès (de quelque quelqu'un ou quelque chose) comme « l'attaquer, le mettre en cause, le critiquer de façon systématique ».
L'usage te donne raison. «Faire le procès» prends usuellement le sens que tu lui donnes. C'est le sens que je lui donne qui est hors standards. Mais à l'origine, l'expression prenait le sens que je lui donne, c'est la pratique qui a finit par faire dévier le sens.
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Re: Études féministes

#183

Message par pan-pan » 03 nov. 2010, 15:08

Kraepelin a écrit :Je déteste ce cliché!
Il va falloir t'y faire. Il y a une part de vérité dans ce cliché que tu ne peux pas nier.
Kraepelin a écrit :êtes-vous en train de nous dire que les femmes représentent le «sexe faible»?
es-tu entrain de me lancer un joli petit cliché sans t'en apercevoir?
Kraepelin a écrit :Vous êtes, en effet, sur un terrain politique. Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites, mais je suis un peu irrité par le sentiment de culpabilité qui semble transpirer de certain choix de mots.
Je crois que tu es irrité par plus que çà, mais si nous avons un petit terrain d'entente, il faudra l'exploiter pour voir jusqu'où ça mène.
Kraepelin a écrit :Et si ni vous ni moi n’étions prêts à payer ce prix pour un poste, pourquoi des femmes le seraient-elles?
Il semble que ce «prix à payer» fait partie des dommages collatéraux résultant de la lutte des femmes à l'accession à l'égalité des postes. Le problème que tu as est que tu nous offres un «cliché polaroïd» de l'état actuel sans tenir compte du mouvement dans son ensemble. C'est aussi le problème lorsqu'on se fie trop aux statistiques. Par exemple, si tu as un préjugé favorable pour la cause des femmes, tu chercheras à comprendre que ça risque de se régler à long terme, en autant que les politiques soient favorables à cette cause. Cependant, les politiques, naturellement, n'ont pas toujours l'effet escompté et souvent, doivent être reprises, refondues, deviennent obselètes, etc. C'est dans la dialectique d'un courant social. C'est ce qu'il faut comprendre. Par contre, si tu as personnellement vécu des injustices qui te font voir les femmes (féministes) comme coupables de tes maux et d'autres maux sociaux, tu dépeindras mal, subjectivement, ce même courant. Tu t'offusqueras contre ces femmes qui écrivent et inventent des «études féministes» pseudo-scientifiques, tu blâmeras leur manque de maturité ou leur parti-pris. Moi je dis qu'il faut donner la chance aux coureurs. Aussi, je dis qu,il faut du temps pour développer une expertise et les groupes de femmes qui désirent faire à leur manière verront bien si elles réussissent ou non par essai/erreur. Elles ne sont pas toutes des Lise Payette.

Je te suggère de relire les trois premiers messages sur ce fil. Jonathan et toi êtes catégoriques. Il s'agit d'une attaque en règle contre les féministes. À croire que les sceptiques partagent tous votre façon de penser et votre argumentaire. Il y a lieu ici d'avoir une attitude posée et objective. Il y a moyen de poser un regard critique des avancées féministes sans tomber dans le panneau de bas étage des généralisations.
Je te cite:
Fair à raison: Les féministes contrôlent certains ministères de la cave au grenier.
Prouve-moi cette affirmation si t'en es capable. Démontre-moi que tous les intervenants, du ministre au travailleur social, du préposé au personnel jusqu'au commis de bureau est féministe. Sinon, ne s'agit-il pas ici de sophisme? avec un but non avoué de discréditer les féministes? Voilà. Des exemples comme celui-ci, il y en a plein sur ce fil. C'est contre çà que je m'insurge. J'imagine que tu le savais bien. D'où mon allusion à ton hypocrisie.

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Re: Études féministes

#184

Message par Kraepelin » 04 nov. 2010, 02:55

pan-pan a écrit :
Kraepelin a écrit :Je déteste ce cliché!
Il va falloir t'y faire. Il y a une part de vérité dans ce cliché que tu ne peux pas nier.
Là vous vous enfoncez profondément. N'avez-vous jamais remarqué que les statistiques sont au cœur du procès des sciences et de nos méthodes de sceptiques? Comment savons-nous que l'homéopathie ne marche pas? Réponse: les études cliniques dont le seuil de signification est ... statistique. Et comment démasquons-nous l'illusoire validité des cartes du ciel composées par les astrologues? Réponse : les comparaisons ... statistiques. Dois-je donner d'autres exemples?

pan-pan a écrit :
Kraepelin a écrit :êtes-vous en train de nous dire que les femmes représentent le «sexe faible»?
es-tu entrain de me lancer un joli petit cliché sans t'en apercevoir?
En effet, je ne m'en aperçois pas. Expliquez-moi donc en quoi le fait que je vous reflète le caractère sexiste de votre atermoiement chevaleresque sur la faiblesse des femmes (que vous logez à côté des enfants) est un cliché.
pan-pan a écrit : (…) ces femmes qui écrivent et inventent des «études féministes» pseudo-scientifiques,
Je vois ici que nous partageons le même jugement sur ce qui est l'objet de fond de cette topique: la valeur intrinsèque des "Études féministes". Que vous trouviez ces «inventions» nécessaires "politiquement" est assez peu important vis-à-vis ma question de départ.
pan-pan a écrit : Je te suggère de relire les trois premiers messages sur ce fil. Jonathan et toi êtes catégoriques. Il s'agit d'une attaque en règle contre les féministes.
L'expression «attaque en règle» est un peu forte parce que quand j'attaque en règle quelque chose, je suis bien plus méchant que ça. Mais en effet, je mets en doute la valeur des recherches féministes financées par l'état.
pan-pan a écrit : À croire que les sceptiques partagent tous votre façon de penser et votre argumentaire.
Avez-vous vraiment «cru» que les sceptiques partageaient l'ensemble de mes positions? Alors, c'est que vous les connaitriez assez mal.
pan-pan a écrit : Il y a lieu ici d'avoir une attitude posée et objective. Il y a moyen de poser un regard critique des avancées féministes sans tomber dans le panneau de bas étage des généralisations.
En effet, c'est la meilleurs façon d'aborder les choses. Par contre, je vous rapellerais que votre premier message à mon adresse était formulé comme ceci:
Premier message de pan-pan a écrit : « Oui, laisse-le répondre lui-même. C'est sans surprise qu'on l'entendra bêler son discours masculiniste que tu partages hypocritement. Continuez de vous défouler pendant que les modérateurs vous laissent aller. On sent bien la petite vengeance intérieure qui vous animent. Personne n'est dupe. Chose sûre, on n'apprend rien à vous lire. »

Ai-je besoin d'ajouter un commentaire ?
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Re: Études féministes

#185

Message par HarryCauvert » 07 nov. 2010, 16:52

Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit : Kraepelin, je ne remets pas en question le fait que l'éducation des enfants ou le choix du détergent à vaisselle est un "lieu de pouvoir" féminin, bien au contraire. C'est en fait un "lieu de pouvoir" traditionnel des femmes dans les sociétés patriarcales.
Faux! La division des tâches entre les sexes n'est absolument pas héritière de la société patriarcale.
Eh bien on peut affirmer sans se tromper que le patriarcat s'est extrêmement bien accommodé de cette façon de répartir les tâches, non?
Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit : Le problème n'est pas d'accorder plus de pouvoir aux femmes dans ce domaine, le problème est plutôt de s'assurer que les femmes puissent durablement sortir de ce moule et investir les autres "lieux de pouvoir".
????? Dis-moi à quels lieux de pouvoir les femmes n'ont pas «durablement» accès dans nos sociétés occidentales?
J'ai lourdement insisté sur "durablement", ce n'est pas pour rien. Je répète: d'une part l'émancipation des femmes est très récente, et d'autre part au sein d'une partie de la population québécoise ce n'est pas encore bien entré dans les mœurs (il n'est pas interdit de jeter un œil dans les journaux de temps en temps). Le féminisme, même si on peut être en désaccord avec la FFQ sur tel ou tel point, n'est pas une cause à reléguer dans les musées. Pas encore.
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Re: Études féministes

#186

Message par Kraepelin » 07 nov. 2010, 18:03

HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit : Kraepelin, je ne remets pas en question le fait que l'éducation des enfants ou le choix du détergent à vaisselle est un "lieu de pouvoir" féminin, bien au contraire. C'est en fait un "lieu de pouvoir" traditionnel des femmes dans les sociétés patriarcales.
Faux! La division des tâches entre les sexes n'est absolument pas héritière de la société patriarcale.
Eh bien on peut affirmer sans se tromper que le patriarcat s'est extrêmement bien accommodé de cette façon de répartir les tâches, non?
Votre remarque est insidieuse. Aussi insidieuse que de dire que les femmes se sont très bien accommodées du fait que les hommes se soient approprié les rôles militaires et les tâches dangereuses. Aussi féministes qu'elles soient, je n'ai jamais vu de femmes s'insurger devant le principe chevaleresque que pan-pan qui veut que dans un naufrage les femmes et les enfants aient les premiers accès aux chaloupes de sauvetage. Avec ce genre d'argument ont ne fait pas avancer la réflexion.
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit : Le problème n'est pas d'accorder plus de pouvoir aux femmes dans ce domaine, le problème est plutôt de s'assurer que les femmes puissent durablement sortir de ce moule et investir les autres "lieux de pouvoir".
????? Dis-moi à quels lieux de pouvoir les femmes n'ont pas «durablement» accès dans nos sociétés occidentales?
J'ai lourdement insisté sur "durablement", ce n'est pas pour rien. Je répète: d'une part l'émancipation des femmes est très récente, et d'autre part au sein d'une partie de la population québécoise ce n'est pas encore bien entré dans les mœurs (il n'est pas interdit de jeter un œil dans les journaux de temps en temps). Le féminisme, même si on peut être en désaccord avec la FFQ sur tel ou tel point, n'est pas une cause à reléguer dans les musées. Pas encore.
Votre observation est juste, mais elle est purement politique. Que vous et pan-pan soyez des partisans de la «justice sociale» et de «l'émancipation de l'homme, tout l'homme, tous les hommes et toutes les femmes» vous mets du même bord que moi au plan politique. Mais ce n'est pas ce dont il est question ici. Je ne mets pas en doute les bienfaits de l'émancipation politique des femmes dans la société occidentale.

En fait, cette question n'intéresse même pas la présente topique. J'attaque le fondement empirique des mythes féministes et la valeur scientifique de leurs prétendues "études". On peut être partisan des méthodes alternatives en santé sans se sentir obliger de plaider la valeur de toutes les maudites niaiseries que nous proposent les "docteurs" d'opérette.

Et, malheureusement, aucun de vous ne m'a proposé d'arguments convaincants pour justifier les croyances bidons qui alimentent ce milieu.
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Re: Études féministes

#187

Message par Kraepelin » 07 nov. 2010, 18:34

Plusieur définition de ce que sont les Études féministes apparraissent sur le Web.

En voici une pas trop longue
Définition des études féministes
(…) Quand je parle d’études ou de recherche féministe, je désigne donc essentiellement un champ pluridisciplinaire de production et de transmission des connaissances qui s’expriment à travers de multiples voix, de multiples lieux de production et qui fait appel à divers outils conceptuels et méthodologiques en vue :
d’analyser les effets structurants des processus sociaux sexués qui traversent toutes les dimensions du social ;
et de provoquer une transformation en profondeur des rapports sociaux de sexe, comme de notre façon de les penser, de les dire et de les agir.
D’une telle définition, on retiendra que les études féministes ne sont pas simple juxtaposition ou ajout du féminin et des catégories de sexe aux modèles d’analyse des différentes disciplines. On retiendra également qu’elles ne sont pas non plus un champ d’études uniquement centré sur les femmes, ni le résultat d’une façon doctrinaire et homogène de penser et d’analyser l’ensemble des processus sociaux sexués qui président à l’organisation de la vie en société.
De fait, si on me permet une énumération un peu longue, je préciserai, sans même prétendre à l’exhaustivité, que les études féministes sont, à la fois :
critique épistémologique des biais sexistes à l’oeuvre dans la production des savoirs scientifiques et sociaux ;
démarches scientifiques et socio-politiques pour déconstruire les modèles théoriques dominants proposés, pour penser et dire les femmes afin d’échapper certes à la cécité androcentriste de ces modèles et à la distorsion de leurs interprétation, mais surtout afin d’imposer le sexe/genre comme catégorie critique d’analyse ;
et perspective méthodologue pour faire place à la parole et aux expériences des femmes, et favoriser l’établissement d’une base d’échanges démocratiques et complémentaires des savoirs.
D’autre part, les études féministes sont également :
écriture littéraire et expressions artistiques pour échapper à l’effacement, à l’enfermement et à l’exclusion du langage et des représentations sexistes ;
efforts de créativité pour soustraire les femmes de l’emprise de la renaturalisation statique et univoque du féminin, de la maternité et de la sexualité dans laquelle le patriarcat les a confinées ; et enfin,
actions militantes engagées en faveur d’un idéal de démocratie, de justice sociale et de transformation des institutions reproductrices de la division et de la hiérarchie entre les sexes, sinon de l’exclusion pure et simple des femmes.
Partie intégrante d’un mouvement social majeur et de ses enjeux, les études feministes s’inscrivent dès lors dans l’univers des sciences de l’Homme comme démarche critique et problématique de changement.

Victoires incomplètes, avenir incertain : les enjeux du féminisme québécois
Francine Descarries, professeure de sociologie à l’UQAM

lundi 28 juin 2004
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Re: Études féministes

#188

Message par mao » 07 nov. 2010, 20:18

Wow Kraeplin,

Si j'ai bien compris ce texte les études féministes servent à rédiger du contenu;
Ce contenu servira à changer le monde pour le bien des femme;
Ce contenu peut-être de l'art, ou du pamphlet;
Et ce contenu n'a aucuns besoins d'être scientifiquement.

S.v.p je compte sur vous pour corriger les points manquants.
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Re: Études féministes

#189

Message par Kraepelin » 07 nov. 2010, 21:01

mao a écrit :Wow Kraeplin,

Si j'ai bien compris ce texte les études féministes servent à rédiger du contenu;
Ce contenu servira à changer le monde pour le bien des femme;
Ce contenu peut-être de l'art, ou du pamphlet;
Et ce contenu n'a aucuns besoins d'être scientifiquement.

S.v.p je compte sur vous pour corriger les points manquants.
Pire! Pour certains "chercheurs féministes" l'objectivité des sciences est impossible. Pour eux (elles) les chercheurs féministes doivent s'en émanciper en affirmant et en cultivant leur subjectivité féministe (Hoyenga KB & Hoyenga KT, 1979). Pour d'autres, c'est pire! Selon eux (elles) l'objectivité des sciences serait carrément "androcentriste" (Descarries F. 2004, 2007). On est pas bien loin du critère de validation par le "moi profond" de Guylaine Lanctot (La mafia médicale), une féministe notoire
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Re: Études féministes

#190

Message par mao » 07 nov. 2010, 21:47

Valider les expériences par le "moi profond".

Ce n'est pas une excellente méthode pour trouver le remède au cancer du seins.

Les féministes vont-elle refuser le remède au cancer du seins si il est découvert par un homme ?
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Re: Études féministes

#191

Message par Kraepelin » 08 nov. 2010, 02:08

mao a écrit :Valider les expériences par le "moi profond".

Ce n'est pas une excellente méthode pour trouver le remède au cancer du seins.

Les féministes vont-elle refuser le remède au cancer du seins si il est découvert par un homme ?
Ton problème est que tu raisonnes de façon logique. Ce n'est pas une contrainte à laquelle sont nécessairement soumises les militantes féministes. Il n'est qu'à considérer les contradictions notoires qui encombrent chroniquement la littérature et le discours féministe dominant.
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Re: Études féministes

#192

Message par mao » 08 nov. 2010, 02:45

Donc les études féministes c'est un peu comme étudier la bible.

Il faut ingérer des écrits provenant d'auteurs (d'auteuses :twisted: ) différentes et les considérer comme un tout cohérent.

Les contradiction font partie de l'étude et de la solidification de la foi.
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Re: Études féministes

#193

Message par Kraepelin » 08 nov. 2010, 03:18

mao a écrit :Donc les études féministes c'est un peu comme étudier la bible.

Il faut ingérer des écrits provenant d'auteurs (d'auteuses :twisted: ) différentes et les considérer comme un tout cohérent.

Les contradiction font partie de l'étude et de la solidification de la foi.
Je ne suis pas certain de te comprendre. Si par contre je te compdrend bien alors je trouve que tu caricatures trop. Le féminisme est un mouvement composé de différents sous-courants par toujours cohérent les uns vis-à-vis les autres. Ceux qui m'intéressent sont les sous-courants qui dominent dans le milieu gouvernemental (CSF), sur les comités d'attribution de bourses de recherche et dans les milieux universitaires. C'est dans ces milieux que leur emprise idéologique et morale (rectitude politique) est la plus forte.

Les autres sous-courants féministes québécois sont des courants réactionnels. Ils se construisent "sur place" en opposition à des cultures "viriles" de milieux à prédominance masculine (l'armée, la police, les monteurs de lignes d'Hydro, etc.) Ces courants n'ont pas un discours très élaboré. Ils sont au ras les pâquerettes et dénoncent des manifestations de discrimination dont ils sont les témoins directs. Ce sont eux qui empruntent parfois des bribes de discours élaborés ailleurs.
Dernière modification par Kraepelin le 08 nov. 2010, 03:21, modifié 1 fois.
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Re: Études féministes

#194

Message par mao » 08 nov. 2010, 05:49

Oui en effet Kraeplin, ma description était un tantinet exagéré.

Par contre quand je pense aux différent groupes de gauches que j'ai connu, mon dieux qu'il faut avoir la foi.

La gauche que je connais se résume ainsi : Nous les gogauchistes on a la vertu et vous les masses devez suivre notre nouvelle doctrine. Sinon nous(nous et vous) allons tous disparaitre dans un cataclysme écologico économique.

En conclusion il faut suivre un idéal communautariste, écologique et anarchiste exigeant une foi, une organisation et un refus de son égo incroyable. Même les schtroumphs seraient incapables de vivre cet idéal du village de schtroumph sans grand schtroumph.

Au moins avec l'extrême droite on peut ouvertement utiliser la haine de l'autre comme moteur.

---------------------------------------------------------

Bon c'était limite hors sujet, mais pas tant que ça. Surtout si l'on prend en compte le fait que : Les féministes (bon disons certaines féministes) utilisent elles aussi la haine de l'autre. L'autre étant de démon patriarcale et la société de moutons et de démons qui s'y soumet.

Comme quoi la droite et la gauche se rejoignent parfois.
Ne vous fiez pas aux sacrificateur des Baal ni en ceux de l'éternel.
Ne faite confiance qu'au Crapaud Hypno.
Il saura prendre les bonnes décisions pour nous et choisira votre destin.

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Kraepelin
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Re: Études féministes

#195

Message par Kraepelin » 08 nov. 2010, 12:21

mao,

Tu sembles oublier que je suis moi-même un militant de gauche. Pour ce qui est de l'extrême droite, tu as raison sur un point. Elle est beaucoup plus animée par la haine que par n'importe quoi d'autre. Je me demande bien comment on peut être d'extrême droite sans être intrinsèquement méchant. Et, je me demande comment on peut être intrinsèquement méchant et dormir la nuit. Je ne crois généralement pas à la perfection, mais je fais un exeption pour les militants d'extrême droite que j'ai connu. Dans leur cas, je puis dire qu'il s'agissait de PARFAIS trou du cul.

Ça fait clicher de dire qu'on est pour la vertu. Mais si on n’est pas pour la vertu, on est pour quoi?
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Re: Études féministes

#196

Message par HarryCauvert » 08 nov. 2010, 13:20

Kraepelin a écrit :Aussi féministes qu'elles soient, je n'ai jamais vu de femmes s'insurger devant le principe chevaleresque que pan-pan qui veut que dans un naufrage les femmes et les enfants aient les premiers accès aux chaloupes de sauvetage. Avec ce genre d'argument ont ne fait pas avancer la réflexion.
Chaque médaille a deux faces. Dans une société patriarcale les femmes sont d'éternelles mineures sous la responsabilité du père ou du mari, mais en échange de cette situation elles ont droit à la "galanterie" (les hommes leur laissent les places assises dans le train et des places dans les canots de sauvetage - je vous fais remarquer tout de même que la célèbre décision prise sur le Titanic n'a pas été appliquée pour la totalité des chaloupes et surtout qu'au début de l'évacuation une bonne partie des passagers refusaient encore de croire que le navire pouvait, et allait, couler).
Présenter le statut socialement inférieur des femmes d'un temps pas si lointain comme une situation "de confort" qu'elles auraient elles-mêmes choisies est pour le moins amusant. C'est aussi une claire démonstration de l'utilité du mouvement féministe à notre époque.
Juste pour le fun: Fitz And The Tantrums, The Walker

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Kraepelin
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Re: Études féministes

#197

Message par Kraepelin » 08 nov. 2010, 13:25

HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :Aussi féministes qu'elles soient, je n'ai jamais vu de femmes s'insurger devant le principe chevaleresque que pan-pan qui veut que dans un naufrage les femmes et les enfants aient les premiers accès aux chaloupes de sauvetage. Avec ce genre d'argument ont ne fait pas avancer la réflexion.
Chaque médaille a deux faces. Dans une société patriarcale les femmes sont d'éternelles mineures sous la responsabilité du père ou du mari, mais en échange de cette situation elles ont droit à la "galanterie" (les hommes leur laissent les places assises dans le train et des places dans les canots de sauvetage - je vous fais remarquer tout de même que la célèbre décision prise sur le Titanic n'a pas été appliquée pour la totalité des chaloupes et surtout qu'au début de l'évacuation une bonne partie des passagers refusaient encore de croire que le navire pouvait, et allait, couler).
Présenter le statut socialement inférieur des femmes d'un temps pas si lointain comme une situation "de confort" qu'elles auraient elles-mêmes choisies est pour le moins amusant. C'est aussi une claire démonstration de l'utilité du mouvement féministe à notre époque.
Prise isolément, ma phrase relèverait effectivement du paternalisme patriarcal. Mais, justement, il vous a fallu caviarder le reste de mon commentaire. Un peu mesquin de votre part...
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Yacoub
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Re: Études féministes

#198

Message par Yacoub » 09 nov. 2010, 16:21

HarryCauvert a écrit :Chaque médaille a deux faces. Dans une société patriarcale les femmes sont d'éternelles mineures sous la responsabilité du père ou du mari, mais en échange de cette situation elles ont droit à la "galanterie" (les hommes leur laissent les places assises dans le train et des places dans les canots de sauvetage - je vous fais remarquer tout de même que la célèbre décision prise sur le Titanic n'a pas été appliquée pour la totalité des chaloupes et surtout qu'au début de l'évacuation une bonne partie des passagers refusaient encore de croire que le navire pouvait, et allait, couler).
Présenter le statut socialement inférieur des femmes d'un temps pas si lointain comme une situation "de confort" qu'elles auraient elles-mêmes choisies est pour le moins amusant. C'est aussi une claire démonstration de l'utilité du mouvement féministe à notre époque.
:shock:
Archi faux pour les sociétés régies par la Noble loi Divine. Elle est bien sûr considérée come mineure à vie mais pour le reste c'est pire.
En Dar el Islam, il n y a aucune galanterie à observer envers les femmes.
La femme doit marcher voilée derrière le mari.
Si dans une conversation entre hommes, un homme doit prononcer le nom d'une femme,
il doit dire s'il veut être poli "sauf votre respect".
Même un enfant a honte de sa mère et ne dit pas maman mais darna ce qui est l'équivalent de notre maison.
De plus, la femme jouit du droit d'être battue par son mari si elle se refuse à lui
ou si elle est désobéissante.
"Coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques,
encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l' hypocrisie, la violence,
prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes,
l'islam n'est ni une sagesse , ni une civilisation (mode de vie), c'est un fléau."

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Re: Études féministes

#199

Message par Kraepelin » 27 nov. 2010, 18:28

Je suis à décrypter la trousse média de l'Institut nationale de la santé publique du Québec sur la violence conjugale.

Les distorsions factuelles, les occultations, les erreurs de logique et les sophismes que j'y découvre sont si nombreux que ça me fou le cafard. Je vous ferais une analyse complète si je parviens à terminer l'exercice sans sombrer dans la dépression.

Si on ne peut même plus se fier aux scientifiques pour chercher la vérité, sur la substance de la réalité, avec un minimum de rigueur, à qui diable pourrons-nous nous fier?
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Re: Études féministes

#200

Message par ServerError503 » 27 nov. 2010, 22:15

Merci Kraepelin pour ton lien.
Deuxième page je tombe sur le tableau MYTHES et RÉALITÉS (déjà le titre me rebute..) :
inspq a écrit :L'homicide conjugal est un meurtre, souvent prémédité. Il constitue souvent l'aboutissement d'une longue relation de violence et de domination; il est la pointe de l'iceberg de la violence conjugale.
Euh... Si c'est seulement la pointe de l'iceberg, je n'ose pas imaginer le reste... :ouch:
Le texte ci-haut concerne seulement les exemples et sujets qui y sont traitées, l'auteur n'a aucunement l'intention de salir la réputation de quiconque ne serait pas mentionnée explicitement dans ce texte, ou omis pour des raisons de lisibilité-commodité-paresse. L'auteur présente d'avance toutes ses excuses à toute personne qui serait offusquées par le texte ou ce qu'il n'y est pas dit ou encore ce que l'auteur a jugé implicite mais qui n'aurait pas été compris comme tel par le lecteur. Le tout sans préjudice.

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