jean7 a écrit :Psyricien a écrit :ne te méprend pas, ce que je critique dans les propos de EB, c'est bien les concepts
Psyricien a écrit :Moi je suis plus là pour montrer que EB est un fuyard qui ne veut pas discuter
Fais ton choix.
J'ai un peu fait les deux ...
Critique des concepts : les multiples confusions d'EB
Critique de son honnêteté intellectuel : ces fuites à répétitions devant ses incohérences.
Répéter des citations en te pissant dessus, désolé, ce n'est pas une base de discussion surtout quand on voit à quel point tu peux déformer les sens de tes interlocuteurs.
Déformer ? Mais je cite le propos d'origine.
Si je me méprend, pourquoi EB ne rectifie t-il pas le sens de sa pensée ?
1) Il nous dit que pour lui la vérité n'est pas absolu.
2) Je lui dit que pour moi, dans la définition qu'il utilise, c'est bel et bien absolu (sans nuances).
3) Il m'accuse d'inventer une définition de "absolu"
4) Je lui redonne la source de la définition (absolu = sans nuances).
5) Il s'enfuit en hurlant qu'une pièce de monnaie est absolue

6) Alors que non, ce qui est absolu c'est le résultat d'un lancé de pièce (on obtient jamais 0.5 pile).
7) De même, la véracité d'une proposition en logique est absolue, c'est vrai ou faux, il n'y a pas de nuances.
Si tu as une question à poser à quelqu'un tu la pose.
Si tu conteste quelque chose tu dis quoi et pourquoi.
Voir mes citations, elles expliquent (liens à l'appuie) pourquoi les propos de EB sont incohérents.
Si il veut prétendre que les dit propos sont cohérent, il a tout loisir d'expliciter.
Ce qu'il ne fait pas.
Il répond au ad-hominem, il répond au objections "simples" à ses propos, mais jamais aux éléments critiques qui montrent que sa position n'est pas auto-cohérente cohérente.
Clairement et de façon concise et sans provocation.
Sans provocation ? Pourquoi ? Les fuyards, j'aime les provoquer

.
Alors on verra si tu veux discuter et surtout on saura de quoi, ce qui aide beaucoup.
Je discutais dernièrement des incohérences dans les propos de EB, qui essaye de se faire passer pour un crac de la logique, alors qu'il n'arrive pas à user de définition auto-cohérentes.

En particulier une définition de "la vérité non-absolue qui est absolue".
Le fait est que ces propos impliquent aussi que science et philosophie sont des domaines où les discussions ne sont pas rationnelle est inquiétant.
Il aurait du préciser son propos si il était honnête. D'autre que moi, on noté ce point, et l'on exprimé poliment. Il a tout autant ignoré les dit objections.
Bref le comportement de EB est indépendant de mon attitude. Dès qu'une personne montre l'incohérence dans ses propos il part en vrille, car il n'arrive pas à admettre s'être envoyé dans le décors.
C'est d'ailleurs ce qui nous a conduit ici, car il commencé à "danser" autour du sens des mots pour justifier son assimilation "savoir-croyance".
En voulant nous faire "croire" que cette assimilation était justifiée dans le langage courant

, puis non comme ça marchait pas on est passé à un langage de logicien (qu'il n'a digéré qu'à moitié). Sauf que là encore, il est partie dans le décors avec ses considérations sur la vérité qui dépendent du moment. Le tout en refusant de tenir compte des définition utilisées par ces opposant (ce qui n'est pas très rationnel).
Un autre point fort de ma critique était la pertinence de tout nommer "croyance".
Dans un discours visant à caractériser différentes méthodes d'adhésions à une idée, c'est une définition stérile, si ce mot désigne tout il ne sert à rien.
Enfin si, a entretenir une confusion. Pourquoi ? Grande question.
C'est dommage, car la différentiation savoir-croyance est un sujet passionnant avec réellement des points "tangents" qui méritent des développements.
Mais avec EB on ne pourra jamais en arriver là ... vu qu'on part directe sur des gaussages sémantique inutiles.
Alors que bon, on aurait pu éviter tout ça, si on avait réussit à convenir que chacun usait de définitions différentes, et que ce n'était pas un drame si l'on arrive à savoir qu'elle sont les définition utilisées par l'autre.
Bon après, on a vu que qu'il y en avait qui arrivait à trouver "absurde" un propos car il ne lisait pas le propos en accord avec les définitions utiliser pour écrire le propos. Voir qui annonçais ne pas avoir pris connaissances des dites définitions répétées pourtant "x" fois

.
Comme quoi la technique EB est plus répandue qu'on ne le pense.
Donc, plutôt que de lire les précisions de l'auteur d'un texte, EB décide que seule sa définition favorite est applicable (pour quelques fantasmes liés au cadre de discussion ... qui exclu science et philosophie des discussions rationnelles au passage).
Dès lors, la discussion était finie, puisqu'il refusait la discussion

, et même refusait ces propres critères de rationalité:
Quand enfin il s'est mit à ce prononcer sur LA définition que j'utilise pour croyance, il a commencer à partir sur des propos étrange en prétendant que les croyances n'était pas des croyances dans cette définition (qui n'est pas de moi et est plutôt commune au passage).
Alors qu'en fait c'était la lecture en diagonale de cette définition qui le faisait penser cela.
Par exemple, on voit quel danse malhabile il fait autour de la notion de "confiance". Alors que personne n'a besoin que savoir-croyance soit dichotomique. Que l'intersection de ces deux ensembles soit nulle n'apprend rien sur leur union.
Il c'est alors lancé dans des considération ayant trait à des "croyances par ignorance partielle des faits" (c'est-il rendu compte que cela renvoie au même ensemble que la notion de confiance ?). On ne sait pas

. Mais bref, on patauge avec des conceptions basiques quoi !
Quand on le voit lancer des injonctions pour que certains reconnaissent leur erreurs, alors que monsieur est incapable de s'expliquer sur ces incohérences à répétitions ... c'est un gag sordide, qui démontre qu'il ne discute pas, il veut se faire mousser.
A ce niveau, il mérite autant de considération que cl777 ... on est au même niveau de dissonance cognitive.
Alors oui, dans ces cas là ... je poutre ! Parce qu'il n'y a aucun espoir de le "ramener" à la raison.
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