Maudit correcteur auto du smartphone, j'imagineKraepelin a écrit : 10 févr. 2018, 18:17 Elles avaient planifier profiter du congé parentale de 12 amis...

Maudit correcteur auto du smartphone, j'imagineKraepelin a écrit : 10 févr. 2018, 18:17 Elles avaient planifier profiter du congé parentale de 12 amis...
Merci
Hummmmmm! "grievance studies", n'est-ce pas ce que j'appelle "bêtise victimolatrique" ? Et les chercheurs dont vous parler ne se considérent-ils pas pourtant comme des "sociologues"? Donc, selon vous, ils n'en seraient pas et leurs prétentions seraient présomptueuses?Cadenas a écrit : 09 oct. 2018, 19:35 Et je répète, puisque nécessaire, ne confondez pas sociologie et ce que les auteurs appellent "grievance studies".
[ ...l'une d'entre elle étant de parler de la sociologie alors que, justement, aucun de leurs articles n'a été accepté dans une revue de sociologie. Si on devait pointer du doigt une discipline ce serait ce que les auteurs appellent les "grievance studies" (gender studies, identities studies, etc...). ]
J'imagine les commentaires et les pressions de son expulsion du journal!Kraepelin a écrit : 14 août 2020, 03:01 Guy Fournier, un auteur célebre de téléroman et l'ancien PDG de la chaine "V", craque litéralement dans une chronique.
Je me souviens que Jean-François s'était moqué de moi lorsque j'avais soutenue que les féminstes raicales controlaient maintenant des postes clefs dans certains ministères, dans les organismes de censure et de subvention à la recherches. Fournier semble partager mon avis.
Comme l'effacement du président de JuriPop pour être remplacé par une femme, tout à fait d'accord avec Mme Bombardier.DictionnairErroné a écrit : 03 août 2020, 16:59 L'histoire sera analysée différemment inévitablement pour introduire de nouveaux repères et références nécessaires à un renouveau identitaire. L'imaginaire collectif sera adapté à ces nouvelles perceptions historiques. C'est-à-dire basé sur des repères qui définissent le moi plutôt que le collectif.
D'une part, tu dois encore inventer quelque chose que j'aurais dit. D'autre part, a-t-il des arguments, lui? En plus, qu'appelles-tu un "organisme de censure"?Kraepelin a écrit : 14 août 2020, 03:01Je me souviens que Jean-François s'était moqué de moi lorsque j'avais soutenue que les féminstes raicales controlaient maintenant des postes clefs dans certains ministères, dans les organismes de censure et de subvention à la recherches. Fournier semble partager mon avis.
Il accomplit l'exploit d'arriver a se contredire totalement en un seul paragrapheKraepelin a écrit : 14 août 2020, 03:01 Guy Fournier, un auteur célebre de téléroman et l'ancien PDG de la chaine "V", craque litéralement dans une chronique.
spin-up a écrit : 14 août 2020, 08:51Il accomplit l'exploit d'arriver a se contredire totalement en un seul paragraphe [...]
Hummmmm! Je ne suis pas sûr qu'il se contredit. Ce n'est pas que "Sophie" parle de sa sexualité qui est censurable, mais le fait que ses propos alimentent les "préjugers machistes" (sic), contrairement aux "confidences entre filles" qui elles montrent l'émancipation des femmes modernes.spin-up a écrit : 14 août 2020, 08:51 Il accomplit l'exploit d'arriver a se contredire totalement en un seul paragraphe
"Peu leur chaut que les personnages féminins des séries actuelles jurent comme des charretiers ou discutent de leurs aventures sexuelles comme elles deviseraient du beau temps ! Entre femmes, tout est permis. Mais il faut absolument expurger des séries anciennes le machisme de Pierre Lambert (Lance et compte), de Rémi Duval (Jamais deux sans toi) ou de Mario Duquette (Du tac au tac). Même les propos de Sophie (Marie-Hélène Thibault) dans Catherine sont à censurer. Dans une émission de la série, la malheureuse parle « de pouvoir enfin emmener un gars dans son lit sans devoir le faire boire, l’assommer ou le prendre en otage ! » Des propos insupportables."
Je ne suis pas sur de voir de quoi on parle alors... de politiquement correct ou de nouvelle series versus anciennes?Dash a écrit : 14 août 2020, 16:37
Euh, la série « Catherine » dont il parle à plus de 20 ans (1999). Je ne vois donc pas en quoi il se contredit.
Il critique le fait « qu'elles » veulent expurger des séries/films anciennes tout ce qui n'est pas politically correct alors qu'aujourd'hui « elles » font la même chose, entre femmes, dans les séries/films actuelles.
et, quand cela se produit, cela freine parfois la recherche de vraies solutions à de vrais problèmes en consacrant l'essentiel de notre énergie à chercher des solutions à des causes erronées ou surestimées.Kraepelin a écrit : 10 sept. 2019, 19:43Dans nos sociétés occidentales, le paradigme oppresseur/opprimé conditionne notre compréhension de beaucoup de problèmes sociaux au prix parfois de déformations extrêmes de la réalité.
ABC a écrit : 14 août 2020, 18:08et, quand cela se produit, cela freine parfois la recherche de vraies solutions à de vrais problèmes en consacrant l'essentiel de notre énergie à chercher des solutions à des causes erronées ou surestimées.Kraepelin a écrit : 10 sept. 2019, 19:43Dans nos sociétés occidentales, le paradigme oppresseur/opprimé conditionne notre compréhension de beaucoup de problèmes sociaux au prix parfois de déformations extrêmes de la réalité.
ABC a écrit : 14 août 2020, 18:08 Souvent, cela consiste à nous considérer comme des victimes et à chercher à résoudre nos problèmes en faisant payer ceux que nous souhaitons considérer (souvent en raison d'un fort sentiment d'appartenance) comme les principaux coupables de nos erreurs.
Êtes-vous capable de lire dans mes pensées?ABC a écrit : 14 août 2020, 18:08 C'est tout le problème des biais de sélection. On a souvent tendance à croire ce que l'on a envie de croire et, dans ce but (souvent inconscient)Cette tendance est toutefois normale et même souhaitable quand elle est réglée au bon niveau. Elle nous évite de changer d'avis comme de chemise. Ce serait nuisible à la cohérence de nos choix et décisions.
- à exagérer le poids et/ou à retenir de façon sélective les informations confirmant ou tendant à confirmer nos croyances/convictions
- à minimiser et/ou nous contenter de faibles indices contraires pour écarter les informations infirmant ou tendant à infirmer nos croyances/convictions.
Cette remarque est générale (et, en particulier, non spécifiquement reliée au présent fil). Elle ne concerne donc nullement telle ou telle oppression spécifique. Certaines oppressions sont tout à fait réelles (et inacceptables), d'autres le sont en partie, certaines sont des croyances fausses mais tenaces reposant sur des raisons qui peuvent être très variées (et souvent compréhensibles).
Richard Martineau notait qu’une partie de notre jeunesse a le « piton » de l’indignation collé au fond.
On s’énerve autant devant une prof qui dit le mot «nègre» parce qu’il est dans le titre du livre, que devant une statue, que devant la couleur des acteurs d’une télésérie, que devant un innocent tué lors d’une intervention policière. Zéro gradation, zéro nuance. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Laboratoires
Pour comprendre, il faut regarder là où la plupart des gens ne songent pas à regarder. Il faut regarder dans les universités. Elles sont les incubateurs, les laboratoires où se fabriquent cette idéologie et cette rage. Pensez-vous que ces jeunes ont inventé leurs discours ? Des profs leur enseignent cela, l’ayant eux-mêmes repris d’auteurs américains à 99,9 %.
Je ne m’insurge pas vraiment. Je suis pour la liberté académique presque totale, donc pour leur droit d’enseigner ce qui est souvent un tissu de conneries. Mais je m’insurge contre l’abyssale déconnexion entre leur idéologie et leur situation personnelle.
On se dit solidaire des « pôôôvres » minorités ethniques et religieuses. En réalité, ils ont un mode de vie, un statut professionnel, des goûts personnels à des années-lumière de ceux qu’ils disent défendre...
À force de faire d'innocentes victimes, ces terroristes vont finir par faire du tort à ceux qu'ils prétendent défendre.Kraepelin a écrit : 15 oct. 2020, 15:09 La rectitude atteint un sommet lorsque prononcer un mot devient un tabou absolu passible de congédiment pour un professeur. De toute façon, je trouve exorbitant qu'un professuer puisse être congédié sur la base d'un "coup d'humeur" des anarchistes étudiants.
Aujourd'hui c'est l'université d'Ottawa.
Oui, c'est ça qui est catastrophique. Toi et moi, ca ne nous empêcherat empêchera pas de dénoncer le racisme et de mettre en garde les gens contre leurs préjugés inconscients, mais bien des gens moins équipés, qui auraient été solidaires des minorité opprimées, vont se cabrer à force d'être exposés à ce genre de dérapage.Igor a écrit : 15 oct. 2020, 23:50
À force de faire d'innocentes victimes, ces terroristes vont finir par faire du tort à ceux qu'ils prétendent défendre.
Cette manie de déresponsabiliser les vrais responsables !Kraepelin a écrit : 15 oct. 2020, 15:09 De toute façon, je trouve exorbitant qu'un professuer puisse être congédié sur la base d'un "coup d'humeur" des anarchistes étudiants.
C'est sûr que laisser entendre que ce sont les gens sur les réseaux sociaux qui rendent la justice, que ce sont les militants radicaux qui ont le pouvoir dans les universités, que ce sont les minorités qui influent sur la politique de vente des grandes marques, ça ne renforce pas du tout la tendance !Kraepelin a écrit : 16 oct. 2020, 05:35 Toi et moi, ca ne nous empêchera pas de dénoncer le racisme et de mettre en garde les gens contre leurs préjugés inconscients, mais bien des gens moins équipés, qui auraient été solidaires des minorité opprimées, vont se cabrer à force d'être exposés à ce genre de dérapage.
Les dirigeants de ces universités achètent la paix. Mais plus ils l'achètent, plus ça leur coûte cher avec tous ces trolls qui réalisent qu'ils ont du pouvoir de cette façon.Etienne Beauman a écrit : 16 oct. 2020, 17:24 Les "anarchistes étudiants" ne sont en rien responsables de la décision de l'université.
À force d'être exposé à ce genre de décapitation je dirais même.
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