Ghost a écrit :Denis a écrit :
Salut LiL'ShaO,
En tout cas il n'y a pas pire secte que la psychiatrie matérialiste et pire gourou qu'un psychiatre. J'ai pu le vérifier sur le terrain et c'est lamentable. Se faire endoctriner par une secte c'est une chose, mais rendre une personne saine complètement folle, c'est bien plus grave.
Ghost
Texte interessant extrait du site d'une personne lucide
La pire des pseudo-sciences: la psychiatrie
Il s'agit bien de la pseudo-science la plus grossière et dangereuse qui soit, d'autant plus qu'elle est institutionnalisée comme médecine de sorte que ceux qui ont le malheur d'avoir l'obligation de demander ses services et de suivre ses traitements, se trouvent statutairement obligés d'être victimes de sa barbarie (je n'exagère pas). Voici quelques caractères de cette barbarie pseudo-scientifique dont je témoigne (j'ai vu principalement deux psychiatres, et ai été orienté vers le deuxième en entendant dire qu'il avait bonne réputation, de fait il avait l'air sympatique mais... ça me suffit !):
- Diagnostics de schizophrénie à tort et à travers; barbarie des traitements en ce sens. J'ai eu beau tenter d'expliquer à mon premier psy pourquoi j'estime n'être pas schizophrène, il ne voulait rien entendre mais s'est contenté d'argument d'autorité, en me renvoyant à la la consultation d'un de deux autres psys experts de son choix à l'université de Rouen pour qu'ils me confirment son diagnostic. Par ailleurs j'ai entendu parler de quelqu'un qui eut le malheur d'avoir affaire à la psychiatrie, et qui n'avait pas tant de problèmes que cela mais ayant été étiqueté schizophrène a été amené à suivre des traitement qui ont fait de lui un légume: il a grossi et sa famille ne le reconnaît plus, ils trouvent que ce n'est plus lui, sa vie est complètement anéantie, et il doit continuer à suivre les traitements parce qu'il en est désormais dépendant.
- Absence de transparence dans l'établissement de diagnostics et l'objectif des traitements prescrits. Il m'était en effet très difficile d'obtenir de mes psys des explications sur leurs diagnostics et ce qu'ils espéraient soigner ainsi. Ils se contentaient en effet de me dire que j'en avais besoin, que ce serait bon pour moi, mais ils ne cherchaient pas à me l'expliquer pour savoir si je suis d'accord. Ils m'ont fait avaler leurs poisons par ruse, mensonge et obscurité, sans mon consentement éclairé. J'appelle ça une violation de liberté (il me semble d'ailleurs avoir vu passer la notion de consentement éclairé dans la législation, mais je n'ai guère d'espoir de faire valoir cela dans le présent cas, vue la situation).
- Toute marque d'intelligence originale et d'indépendance d'esprit est regardée par les psychiatres comme pathologique. A la fin de mon aventure, comme j'ai protesté par écrit contre mon dernier psychiatre, il m'a répondu en se justifiant, en expliquant de quoi, d'après lui, je souffais: "du sentiment ne pas être accepté par la société". Non non et non, je souffre bien moins de ma différence avec la société (qui n'est pas une non-acceptation, ne serait-ce que du fait que par le succès de mon site j'en ai une sorte de reconnaissance très importante finalement, seulement qui n'est pas du type de reconnaissance que les institutions voudraient me faire rechercher), que du fait de la barbarie des institutions qui cherchent à tout prix à me conformer à leur débilité et à leur barbarie, et qui trouvent pathologique de ma part que ce ne soit pas mon rêve le plus cher que de la supplier de m'intégrer à elle. J'ai souffert du fait que le monde n'ait pas voulu me foutre la paix; à part ça je souffre de n'avoir pas trouvé une femme, mais me faire accepter une femme que je n'aimerais pas, ou encore soit-disant compenser par d'autres relations sociales, ne saurait de toute manière en être la solution. Mais la revendication de la différence comme un avantage, et le besoin que la société nous foute la paix, n'est pas une chose que les psys sont capables de concevoir.
- Mensonge sur l'interprétation des "effets secondaires" (en réalité principaux), prétendument expression de pathologies latentes qui viennent à s'exprimer, alors qu'elles ne s'étaient absolument jamais produit jusque-là: palpitations cardiaques, tremblements...
- Incapacité de s'excuser. Quels que soient les désastres qui résultent de leurs traitements, les psys ne seront jamais désolés, ils chercheront seulement à se justifier, en faisant valoir leurs diplômes et autres...
- Mépris du patient, abus de pouvoir sur personne vulnérable: sous prétexte qu'ils ont leurs super diplômes et que les gens qui viennent les voir ont des problèmes, ils ne cherchent même pas à comprendre pourquoi on vient les voir, du moment qu'on est là ils se croient permis de nous prendre pour des moins que rien, des cobayes, des débiles mentaux, des irresponsables etc. Même le fait que j'aie un doctorat en maths ne semblait pas leur inspirer la moindre présomption de crédit envers la pertinence de mes appréciations.
- Ce mépris est également adopté par les secrétaires et concierges des établissements. En effet, au centre Pierre Janet du Havre où j'avais vu mon premier psy, j'ai tenté de discuter du problème avec la personne de l'accueil. Son mépris envers moi fut total. Mon expérience ne valait rien à ses yeux, n'étant guère que "ce que vous pensez", du pipi de chien, une marque de débilité, et surtout je devais absolument me taire dans les couloirs, pour que personne n'entende mon témoignage. Bref, on se croirait vraiment sous Staline. Eh bien non, je ne me tairai pas. Allo ? La France d'aujourd'hui est-elle vraiment un pays de liberté ? Y a-t-il quelqu'un pour élever la voix contre le totalitarisme barbare ? Finalement, j'obtins de voir une assistante sociale, et je lui exposait le problème. Elle semblait tomber des nues, n'ayant jamais entendu de telles choses. Sans doute les gens déprimés n'ont-ils pas suffisamment confiance en leur propre jugement (réellement difficile à former et à affirmer en de telles circonstances il est vrai) pour protester jusque-là ? Surtout, la loi du silence s'impose dans ces milieux.
J'en ai discuté avec le pharmacien. Il était d'accord avec moi sur toute la ligne, la différence étant sa résignation: il est tenu de l'obligation légale de vendre les "médicaments" qui lui sont demandés, alors même qu'ils sait qu'ils sont de toute manière néfastes. D'après lui, on ne peut toute façon rien faire, car la psychiatrie est une institution.
L'ultime justification de cette barbarie que j'ai pu entendre: que soi-disant je suis libre, je ne suis pas obligé de voir un psy particulier, je peux en changer, je n'aurais donc dans ces conditions aucun motif de me plaindre. Objections: comme je disais, par leurs mensonges les psys m'ont empoisonné en l'absence de mon consentement éclairé. Je ne suis donc pas libre. D'autre part, je ne suis pas libre de prendre n'importe quel psy puisque la plupart ont leurs carnets de rendez-vous complets pour plusieurs mois à l'avance. Ensuite, il est inadmissible que les listes de psys respectables et ceux barbares à éviter ne soit pas rendues publique: comme j'expliquais sur la dictature du hasard, cela condamne totalitairement les gens à subir les traitements des barbares, en les empêchant de les éviter. Enfin, il est inadmissible que les psys commettant ces actes barbares que je mentionne plus haut ne soient pas immédiatement démis de leurs fonctions. Je ne vois en effet aucun sens à essayer encore un autre psy tant que la psychiatrie dans son ensemble continue de cautionner ces barbaries en permettant à ceux qui les commettent de continuer à exercer.
En conclusion, j'estime qu'il est immoral de payer des impôts à un Etat qui forme et institue une telle mafia.