plaisante à entendre … raison pour laquelle
Mais sivous ne souhaitez pas comprendre votre erreur,
Parce qu'il ne la comprend paspourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?

plaisante à entendre … raison pour laquelle
Mais sivous ne souhaitez pas comprendre votre erreur,
Parce qu'il ne la comprend paspourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?
Vous faites, comme à votre habitude, de l'enfumage. J'attends, plutôt que de prétendre dans une multitude de messages que vous avez démontré mon erreur, qu'en début de message vous l'ayez réellement démontré. Ce qui, en ce qui concerne l'objection de la navette et du missile n'a jamais été le cas. Où se trouve l'erreur de logique, selon vous, dans cette objection ?ABC a écrit : 22 oct. 2024, 17:21 Toute vérité n'est pas bonne à dire, certes. Mais si vous ne souhaitez pas comprendre votre erreur, pourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?
Dites nous, en deux mots, où il y a une erreur de logique dans l'objection de la navette et du missile.Florence a écrit : 22 oct. 2024, 18:43Parce qu'il ne la comprend paspourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?![]()
Pas besoin de se fatiguer à creuser votre historiette de fusée et de missile;Philippe de Bellescize a écrit : 22 oct. 2024, 22:54 Car, quand on prétend avoir vu une erreur, il faut la donner, sinon c'est un propos mensonger.
Cordialement
Philippe de Bellescize
D'autant plus quand on sait qui serait à la base de cette historiette (dieu...)Florence a écrit : 22 oct. 2024, 23:44Pas besoin de se fatiguer à creuser votre historiette de fusée et de missile;Philippe de Bellescize a écrit : 22 oct. 2024, 22:54 Car, quand on prétend avoir vu une erreur, il faut la donner, sinon c'est un propos mensonger.
Cordialement
Philippe de Bellescize
CordialementABC a écrit : 02 oct. 2024, 18:42Oui, oui. On appelle instant absolu d'existence l'ensemble de tous les évènements qui existent là, autour de nous, maintenant, vraiment, réellement (mais on ne l'appelle pas feuillet 3D de présent absolu, parce que... ...parce que c'est comme ça).Philippe de Bellescize a écrit : 02 oct. 2024, 17:17Si vous avez suivi ce que je viens de dire, vous voyez que l'on a pas besoin d'un référentiel d'immobilité, pour considérer un instant présent absolu pour l'Univers.
Les physiciens ne l'ont pas compris parce qu'il ne font pas assez de philosophysique avec des missiles et des navettes.
- Les évènements qui ont vraiment, réellement, existé dans le passé sont les évènements antérieurs à ce présent 3D d'existence présente absolue
.- les évènements vont vraiment, réellement, exister dans le futur sont les évènements ultérieurs à ce présent 3D d'existence présente absolue.
On en déduit que la bonne interprétation de la RR est nécessairement l'interprétation lorentzienne car on a besoin de cette interprétation pour y caser la chronologie absolue d'existence dont l'absence serait contradictoire avec sa présence.
ABC a écrit : 22 oct. 2024, 17:21Toute vérité n'est pas bonne à dire, certes. Mais si vous ne souhaitez pas comprendre votre erreur, pourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?
Dans votre exemple, le missilePhilippe de Bellescize a écrit : 22 oct. 2024, 22:54En ce qui concerne l'objection de la navette et du missile où se trouve l'erreur dans cette objection ?
Je le trouve bien timoré sur ce coupmach3 a écrit : 22 oct. 2024, 18:24 Il l’a déjà dit, c'est Dieu. A partir de là pourquoi chercher à discuter ?
Si j'ai dit exactement sur quoi portait la contradiction, vous critiquez non pas ce que dis, mais votre perception faussée de mon discours. D'ailleurs c'est là qu'il y a de l'enfumage car je vous en ai fait plusieurs fois la remarque. En fait vous ne voulez tout simplement pas considérer mon point de vue, car il sort de la manière de procéder habituelle de la physique, du coup vous le dénaturer plus ou moins intentionnellement pour pouvoir le critiquer. J'ose espérer que vous n'êtes pas la première victime de votre stratagème, en finissant par croire par auto-persuasion à l'histoire que vous vous racontez.ABC a écrit : 23 oct. 2024, 06:33ABC a écrit : 22 oct. 2024, 17:21Toute vérité n'est pas bonne à dire, certes. Mais si vous ne souhaitez pas comprendre votre erreur, pourquoi vous exprimez vous sur un fil où il y a un risque qu'on vous l'explique ?Dans votre exemple, le missilePhilippe de Bellescize a écrit : 22 oct. 2024, 22:54En ce qui concerne l'objection de la navette et du missile où se trouve l'erreur dans cette objection ?Ensuite vous dites qu'il y a contradiction sans préciser une contradiction avec quoi. Savez vous avec quoi une théorie physique doit être en contradiction pour être déclarée fausse ? Non. Vous ne connaissez pas l'objet de la physique ni les critères de validation d'une théorie physique. Elle est là votre erreur.
- part avant la maquette dans son référentiel inertiel de départ
- part après la maquette dans son référentiel inertiel tangent un peu plus tard après qu'elle ait accéléré
Donc ne me faites pas dire ce que je n'aie pas dit : l'objection de la navette et du missile démontre seulement, que la vitesse de la lumière ne peut pas être physiquement invariante dans tous les cas de figure, rien de plus.Philippe de Bellescize a écrit : 30 août 2024, 07:17
En fait la contradiction porte sur ce qui est impliqué par le postulat de l'invariance de l'invariance de la lumière, à savoir le « principe de relativité de la simultanéité au niveau physique » (1), c'est pour cela que les physiciens ne l'ont pas vue ou n'en tiennent pas compte ; surtout qu'ils se sont donnés un cadre d'interprétation, « l'univers bloc », qui gomme cet aspect des choses. J'ai expliqué, dans cette discussion, pourquoi l'idée d'univers-bloc ne réglait pas, pour autant, le problème soulevé.
Voilà, comment je caractérise cette erreur de logique, dans la conclusion du livre « Paradoxe sur l'invariance de la vitesse de la lumière » :
« Le postulat de l’invariance de la vitesse de la lumière, d’un certain côté, a des conséquences parfaitement logiques, que l’on retrouve dans les équations de la relativité restreinte et dans les diagrammes d’espace-temps, d’un autre, en supposant la relativité de la simultanéité au niveau physique, aboutit à des affirmations contradictoires. Ce qui revient à dire que ce postulat, si l’on tient compte des concepts qui en découlent tacitement, entraîne une certaine inconsistance de la théorie (2). En effet, le principe de relativité de la simultanéité au niveau physique, comme conséquence de l’invariance de la vitesse de la lumière, a une portée métaphysique. Et, en considérant l’aspect métaphysique impliqué (prise en compte de l’existence du corps en fonction de ce qui est montré sur le diagramme d’espace-temps), on parvient, avec l’objection de la navette et du missile, à deux calculs contradictoires en ce qui concerne la position du missile. Ce qui illustre, même d’un point de vue mathématique, qu’une telle relativité de la simultanéité est impossible. Dès lors, la vitesse de la lumière ne peut pas être physiquement invariante dans tous les cas de figure, ce qui remet en cause le deuxième postulat de la relativité restreinte. À partir de là, on comprendra que cela peut conduire la physique à un changement de paradigme important en ce qui concerne son système conceptuel et sa représentation de l’espace-temps. La prise en compte de ce qui est exposé dans ce livre pourrait être l’amorce, pour la physique, d’un grand bouleversement.
Note 1 : J'ai déjà expliqué pourquoi on pouvait considérer la relativité de la simultanéité comme principe. J'ai rajouté cette note au message initial afin d'éviter de revenir sans arrêt sur ce point.
Note 2 : Larousse à inconsistance : « Propriété d'une théorie logique dans laquelle une même formule est à la fois démontrable et réfutable . »
En conclusion de ce message, il faut noter que l'inconsistance, est le pire défaut qu'une théorie avoir, car c'est suffisant pour la remettre en cause. Ceci dit, il faut bien considérer, avec quelles restrictions les choses ont été dites, dans le paragraphe cité.
C'est celui qui dit qui l'est. Sur tous les points.Philippe de Bellescize a écrit : 23 oct. 2024, 10:04 Si j'ai dit exactement sur quoi portait la contradiction, vous critiquez non pas ce que dis, mais votre perception faussée de mon discours. D'ailleurs c'est là qu'il y a de l'enfumage car je vous en ai fait plusieurs fois la remarque. En fait vous ne voulez tout simplement pas considérer mon point de vue, car il sort de la manière de procéder habituelle de la physique, du coup vous le dénaturer plus ou moins intentionnellement pour pouvoir le critiquer. J'ose espérer que vous n'êtes pas la première victime de votre stratagème, en finissant par croire par auto-persuasion à l'histoire que vous racontez.
Cette définition suppose que le lecteur comprend que les démonstration d'une théorie se font nécessairement exclusivement à partir des hypothèses appartenant à la théorie.Philippe de Bellescize a écrit : 23 oct. 2024, 10:04 Larousse à inconsistance : « Propriété d'une théorie logique dans laquelle une même formule est à la fois démontrable et réfutable . »
Vu qu'il n'y a pas de contradictions interne dans la relativité restreinte (c'est un résultat mathématique, non discutable), celui qui prétend qu'il y en a une démontre juste qu'il n'y comprend rien (et c'est pas grave en soi de rien comprendre).Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 10:52 Cette définition suppose que le lecteur comprend que les démonstration d'une théorie se font nécessairement exclusivement à partir des hypothèses appartenant à la théorie.
Autrement dit, si on trouve une contradiction avec une hypothèse qui n'appartient pas à la théorie, alors il n'y a pas inconsistance (il y a juste contradiction avec une hypothèse à laquelle on tient personnellement)
Il faut prendre en compte les passages en bleu dans la citation qui suit :mach3 a écrit : 23 oct. 2024, 10:58Vu qu'il n'y a pas de contradictions interne dans la relativité restreinte (c'est un résultat mathématique, non discutable), celui qui prétend qu'il y en a une démontre juste qu'il n'y comprend rien (et c'est pas grave en soi de rien comprendre).Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 10:52 Cette définition suppose que le lecteur comprend que les démonstration d'une théorie se font nécessairement exclusivement à partir des hypothèses appartenant à la théorie.
Autrement dit, si on trouve une contradiction avec une hypothèse qui n'appartient pas à la théorie, alors il n'y a pas inconsistance (il y a juste contradiction avec une hypothèse à laquelle on tient personnellement)
m@ch3
La restriction, avec laquelle les choses ont été dites, c'est «si l’on tient compte des concepts qui en découlent tacitement ». C'est ce dont vous ne tenez pas compte, volontairement ou involontairement, depuis nos premiers échanges. Il ne s'agit pas de faire du replâtrage des théories déjà existantes, mais de savoir sur quelle vision du monde une théorie générale de l'Univers peut reposer, et là une clarification conceptuelle a toute son importance.Philippe de Bellescize a écrit : 30 août 2024, 07:17 Ce qui revient à dire que ce postulat, si l’on tient compte des concepts qui en découlent tacitement, entraîne une certaine inconsistance de la théorie (2).
(...)
En conclusion de ce message, il faut noter que l'inconsistance, est le pire défaut qu'une théorie avoir, car c'est suffisant pour la remettre en cause. Ceci dit, il faut bien considérer, avec quelles restrictions les choses ont été dites, dans le paragraphe cité.
Ce serait déjà particulièrement honnête d'établir clairement ce en quoi consiste le principe moteur de l'univers. Pas "son" mode d'action, mais le principe basique le sous-tendant. Il y a beaucoup de blablas autour proprement inutiles.Philippe de Bellescize a écrit : 23 oct. 2024, 11:36 .... Il ne s'agit pas de faire du replâtrage des théories déjà existantes, mais de savoir sur quelle vision du monde une théorie générale de l'Univers peut reposer, et là une clarification conceptuelle a toute son importance.
Philippe de Bellescize a écrit : 02 oct. 2024, 17:17Si vous avez suivi ce que je viens de dire, vous voyez que l'on a pas besoin d'un référentiel d'immobilité, pour considérer un instant présent absolu pour l'Univers.
Faut-il vous donner encore plus d'explications en mettant encore plus les points sur les i et les barres sur les t ?ABC a écrit : 02 oct. 2024, 18:42 Oui, oui. On appelle instant absolu d'existence l'ensemble de tous les évènements qui existent là, autour de nous, maintenant, vraiment, réellement (mais on ne l'appelle pas feuillet 3D de présent absolu, parce que... ...parce que c'est comme ça).
Les physiciens ne l'ont pas compris parce qu'il ne font pas assez de philosophysique avec des missiles et des navettes.
- Les évènements qui ont vraiment, réellement, existé dans le passé sont les évènements antérieurs à ce présent 3D d'existence présente absolue
.- les évènements vont vraiment, réellement, exister dans le futur sont les évènements ultérieurs à ce présent 3D d'existence présente absolue.
On en déduit que la bonne interprétation de la RR est nécessairement l'interprétation lorentzienne car on a besoin de cette interprétation pour y caser la chronologie absolue d'existence dont l'absence serait contradictoire avec sa présence.
Qui plus est, avez vous compris qu'incorporer votre certitude d'une chronologie absolue d'existence est possible à condition de postuler l'existence d'un référentiel d'immobilité absolue inobservable conformément à l'interprétation lorentzienne de la RR ? Vos messages ne permettent pas de savoir si vous l'avez vraiment compris.Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 10:52si on trouve une contradiction avec une hypothèse qui n'appartient pas à la théorie, alors il n'y a pas inconsistance (il y a juste contradiction avec une hypothèse à laquelle on tient personnellement)
Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.mach3 a écrit : 23 oct. 2024, 10:58 Vu qu'il n'y a pas de contradictions interne dans la relativité restreinte (c'est un résultat mathématique, non discutable), celui qui prétend qu'il y en a une démontre juste qu'il n'y comprend rien (et c'est pas grave en soi de rien comprendre).
m@ch3
et je crois bien que tu ne dis pas autre chose toi même. Tu dis que c'est un homme de paille de prétendre que la vitesse de la lumière est physiquement invariante.Donc ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : l'objection de la navette et du missile démontre seulement que la vitesse de la lumière ne peut pas être physiquement invariante dans tous les cas de figure, rien de plus.
une contradiction est mathématique si: on peut à la fois prouver un théorème et sa négation à partir des axiomes de la théorie.externo a écrit : 23 oct. 2024, 11:51 Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.
Sauf que les implications "physiques" ne concernent que des observations et la relativité restreinte ne prédit jamais une observation et son contraire en même temps. Et je parle bien d'observation, pas de "reconstructions artificielles". Le lancement du missile est un évènement unique, la perception de ce lancement par la navette est aussi un évènement unique et postérieur au premier. Le problème est sur l'évènement de la navette qui serait simultané de l'évènement de lancement du missile. Ca n'a aucun sens au niveau observation, il n'y a aucune observation qui permette de dire que c'est cet évènement ci ou cet évènement là. Ca ne prend du sens que si on fixe des conventions, c'est-à-dire qu'on décide, arbitrairement, de la simultanéité d'évènements. Et si deux conventions permettent de désigner deux évènements différents de la navette comme simultanés de l'évènement de lancement du missile, c'est que ces deux conventions sont contradictoires (au moins l'une des deux est fausse, et en général c'est les deux, et après philosophiquement il y a le choix entre "aucune convention ne peut être vraie parce que la simultanéité n'existe pas" et "il y a une convention qui correspond à la réalité mais on ne peut pas la connaitre").externo a écrit : 23 oct. 2024, 11:51 Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.
Simultanés: Se dit d'évènements distincts ayant lieu au même moment. ➙ concomitant, synchrone. Mouvements simultanés.
Certes la navette spatiale ignore si le missile, dans l'objection de la navette et du missile, a bien été émis juste avant son accélération comme indiqué sur le diagramme d'espace-temps, mais si on place dans le cadre où il a bien été émis à cet instant là, le diagramme d'espace-temps aboutit à une contradiction. Comme les diagrammes d'espace-temps sont la conséquence du postulat de l'invariance de la vitesse de la lumière, on comprend que ce constat remet en cause ce postulat (invariance au niveau physique, dans tous les cas de figure, de la vitesse de la lumière).mach3 a écrit : 23 oct. 2024, 12:29Sauf que les implications "physiques" ne concernent que des observations et la relativité restreinte ne prédit jamais une observation et son contraire en même temps. Et je parle bien d'observation, pas de "reconstructions artificielles". Le lancement du missile est un évènement unique, la perception de ce lancement par la navette est aussi un évènement unique et postérieur au premier. Le problème est sur l'évènement de la navette qui serait simultané de l'évènement de lancement du missile. Ca n'a aucun sens au niveau observation, il n'y a aucune observation qui permette de dire que c'est cet évènement ci ou cet évènement là. Ca ne prend du sens que si on fixe des conventions, c'est-à-dire qu'on décide, arbitrairement, de la simultanéité d'évènements. Et si deux conventions permettent de désigner deux évènements différents de la navette comme simultanés de l'évènement de lancement du missile, c'est que ces deux conventions sont contradictoires (au moins l'une des deux est fausse, et en général c'est les deux, et après philosophiquement il y a le choix entre "aucune convention ne peut être vraie parce que la simultanéité n'existe pas" et "il y a une convention qui correspond à la réalité mais on ne peut pas la connaitre").externo a écrit : 23 oct. 2024, 11:51 Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.
m@ch3
Il y a bien contradiction physique car la vitesse de la lumière est mesurée variante sur un aller simple quand on accélère. C'est seulement par un artifice de resynchronisation qu'elle est maintenue fixe.Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 12:18 une contradiction est mathématique si: on peut à la fois prouver un théorème et sa négation à partir des axiomes de la théorie.
une contradiction est physique si: la théorie prédit une observation qui est contraire à une observation réellement faite.
Si ça a un sens d'après les relativistes. Imagine qu'un mètre relie la navette au missile. La longueur propre de ce mètre est mesurée dans le référentiel de la navette et du missile et il s'agit de sa longueur physique. Cette simultanéité est physique d'après Einstein et c'est bien là le problème. Et c'est lié avec l'idée que la vitesse de la lumière est physiquement invariante. Si tu supposes qu'il n'y a pas de simultanéité physique ou qu'on ne la connaît pas tu ne peux plus prétendre que la vitesse de la lumière est physiquement invariante. Donc déjà ça valide ce que dit Philippe. Et alors soit cette vitesse n'existe pas soit il existe un seul référentiel d'isotropie. Mais on sait bien qu'elle existe puisqu'on peut la mesurer sur un aller-rertour et qu'elle varie quand on accélère.mach3 a écrit : 23 oct. 2024, 12:29Sauf que les implications "physiques" ne concernent que des observations et la relativité restreinte ne prédit jamais une observation et son contraire en même temps. Et je parle bien d'observation, pas de "reconstructions artificielles". Le lancement du missile est un évènement unique, la perception de ce lancement par la navette est aussi un évènement unique et postérieur au premier. Le problème est sur l'évènement de la navette qui serait simultané de l'évènement de lancement du missile. Ca n'a aucun sens au niveau observation, il n'y a aucune observation qui permette de dire que c'est cet évènement ci ou cet évènement là. Ca ne prend du sens que si on fixe des conventions, c'est-à-dire qu'on décide, arbitrairement, de la simultanéité d'évènements. Et si deux conventions permettent de désigner deux évènements différents de la navette comme simultanés de l'évènement de lancement du missile, c'est que ces deux conventions sont contradictoires (au moins l'une des deux est fausse, et en général c'est les deux, et après philosophiquement il y a le choix entre "aucune convention ne peut être vraie parce que la simultanéité n'existe pas" et "il y a une convention qui correspond à la réalité mais on ne peut pas la connaitre").externo a écrit : 23 oct. 2024, 11:51 Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.
m@ch3
Relisez mieux les réponses de Gwanelle et de Mach3. Ils vous expliquent ce qu'est une contradiction dans une théorie physique. Elle est là votre erreur. Vous ne savez pas ce qu'est une contradiction relative à une théorie physique. Vous confondez ça avec une contradiction avec votre intime conviction.Philippe de Bellescize a écrit : 23 oct. 2024, 13:12le diagramme d'espace-temps aboutit à une contradiction.
Il ne faut pas confondre vitesse de la lumière, au moins en partie indépendante de la vitesse de la source (1), et invariance de la vitesse de la lumière, car il s'agit de deux problèmes différents.richard a écrit : 23 oct. 2024, 12:03 Salut Philippe! nous sommes d’accord sur l’approche du réel comme l’évoque Bernard d’Espagnat, par contre je ne te suis pas sur ta remise en cause de l’hypothèse d’Einstein de l’invariance de la célérité de la lumière avec la vitesse de la source car elle a été justifiée par de Sitter en observant des étoiles doubles. Je sais que tu ne pourras pas accepter cela malgré tout.
Il faut distinguer, l'existence physique du monde, de ce que l'on peut expérimenter de ce monde. C'est pour cela que pour avoir une vision générale du monde la physique doit sortir de l'opérationnalisme, d'où parfois le rôle des expériences de pensée. En prenant en compte l'existence du missile, dans l'objection de la navette et du missile, en fonction de ce que nous montre le diagramme d'espace-temps, on comprend qu'il est impossible que la vitesse de la lumière soit physiquement invariante dans tous les cas de figure.Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 12:18une contradiction est mathématique si: on peut à la fois prouver un théorème et sa négation à partir des axiomes de la théorie.externo a écrit : 23 oct. 2024, 11:51 Mais lui ne te parle pas des résultats mathématique, mais de leurs implications physique. La contradiction n'est pas mathématique mais physique.
une contradiction est physique si: la théorie prédit une observation qui est contraire à une observation réellement faite.
Plus généralement la logique est un outil utilisé en philosophie, et dans ce raisonnement logique il n'est pas inconvenant de prendre en compte l'existence des corps. Il y a aussi le symbole il existe en logique mathématique.Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 12:18 Primo, la définition du Larousse, celle utilisée par Philippe, est plus en phase avec la définition mathématique. de plus il parle de contradiction "logique" (la logique fait partie des mathématiques)
Je redonne ma réponse à Mach3 :Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 12:18 Secundo, Philippe n'a fait aucune observation, n'a réalisé aucune expérience, rien qui puisse démontrer une contradiction physique.
Même si on a pas encore réussi à mesurer une différence de vitesse de la lumière, on sait déjà que la vitesse de la lumière ne peut pas être dans tous les cas de figure physiquement invariante (voir réponse précédente).Gwanelle a écrit : 23 oct. 2024, 12:18 Il a juste dit que si on réalisait une expérience MM, on pourrait peut être espérer trouver un résultat différent de la vraie expérience MM. c'est tout. C'est juste un "espoir".
En fait la variation est bien mesurée sur un aller simple. C'est juste la convention de synchronisation qui impose l'invariance. Et les scientifiques confondent une convention avec une réalité physique.Philippe de Bellescize a écrit : 23 oct. 2024, 14:30 [Même si on a pas encore réussi à mesurer une différence de vitesse de la lumière, on sait déjà que la vitesse de la lumière ne peut pas être dans tous les cas de figure physiquement invariante (voir réponse précédente).
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