Pour que la vitesse de la lumière reste constante du point de vue de l'accéléré et que sa contraction soit un effet de perspective il faut également que sa ligne de simultanéité s'incline en même temps que sa ligne d'univers, sinon il y a un référentiel absolu indiscernable.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 13:30 Bref, c'est la ligne d'univers de l'observateur accéléré qui s'incline dans l'espace-temps. Les évènements sont des points dans l'espace-temps. Ils y sont fixes.
Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Incliner une ligne dans la représentation ne change que l'étiquetage des événements de la représentation (les coordonnées) et pas les événements réels en eux même, qui sont physiques, uniques, absolus, et tous soumis à la même vitesse de la causalité, unique, absolue, aussi.externo a écrit : 25 nov. 2024, 14:03Pour que la vitesse de la lumière reste constante du point de vue de l'accéléré et que sa contraction soit un effet de perspective il faut également que sa ligne de simultanéité s'incline en même temps que sa ligne d'univers, sinon il y a un référentiel absolu indiscernable.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 13:30 Bref, c'est la ligne d'univers de l'observateur accéléré qui s'incline dans l'espace-temps. Les évènements sont des points dans l'espace-temps. Ils y sont fixes.
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Dans la théorie d'Einstein la lumière est physiquement isotrope dans tous les référentiels inertiels et ça se justifie par une rotation physique de la simultanéité de l'accéléré et non par un simple changement de coordonnées.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 15:02 Incliner une ligne dans la représentation ne change que l'étiquetage des événements de la représentation (les coordonnées) et pas les événements réels en eux même, qui sont physiques, uniques, absolus, et tous soumis à la même vitesse de la causalité, unique, absolue, aussi.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
ABC a écrit : 25 nov. 2024, 13:30Bref, c'est la ligne d'univers de l'observateur accéléré qui s'incline dans l'espace-temps. Les évènements sont des points dans l'espace-temps. Ils y sont fixes.
??? Evidemment ! Le feuilletage 3D (de type espace) en feuillets 3D de simultanéité d'un référentiel est (quand il existe) le feuilletage 3D (pseudo)orthogonal à ce référentiel.externo a écrit : 25 nov. 2024, 14:03du point de vue de l'accéléré sa ligne de simultanéité s'incline.
Comme une géométrie/métrique spatiale (et contrairement à la structure causale de l'espace-temps considéré) un feuilletage en feuillets 3D de simultanéité n'est pas une notion invariante par changement de référentiel (feuilletage 1D de type temps). C'est une notion propre au choix arbitraire d'un référentiel "d'observation" (un feuilletage 1D de type temps).
Quand l'observateur (une ligne 1D de type temps) accélère, cad quand la ligne d'univers de l'observateur se courbe (ou s'écarte du chemin géodésique, chemin caractérisant la chute libre si on est en RG) l'hyperplan tangent (pseudo)othogonal à cette ligne (en l'évènement considéré) s'incline lui aussi, sinon il ne pourrait pas rester (pseudo)orthogonal.
C'est la ligne d'univers de l'observateur et l'hyperplan (pseudo)orthogonal à cette ligne qui s'inclinent par rapport à l'espace-temps quand l'observateur accélère, pas le champ des cônes de causalité. Le champ des cônes de causalité est fixe dans l'espace-temps.
L'espace-temps en RG est une variété pseudo-riemanienne 4D, formée de "points fixes" que l'on appelle des évènements. La géométrie 4D de l'espace-temps est caractérisée par un tenseur métrique 4D. Cette géométrie 4D (notamment le tenseur de courbure associé à cette métrique) ne dépend ni du référentiel "d'observation", ni du choix du système de coordonnées.
Externo ne connait pas les bases de la RG mais il tient quand même nous les expliquer. Du coup, les explications qu'on tente (sans succès) de lui donner sur ce sujet ne passent pas du tout, du tout.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 15:02Incliner une ligne dans la représentation ne change que l'étiquetage des événements de la représentation (les coordonnées) et pas les événements réels en eux même, qui sont physiques, uniques, absolus, et tous soumis à la même vitesse de la causalité, unique, absolue, aussi.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
L'autre jour tu disais que le cône basculait du point de vue de l'accéléré et maintenant ce n'est plus le cas. Tu ne sais pas ce que tu dis.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 15:53 C'est la ligne d'univers de l'observateur et l'hyperplan (pseudo)orthogonal à cette ligne qui s'inclinent par rapport à l'espace-temps quand l'observateur accélère, pas le champ des cônes de causalité. Le champ des cônes de causalité est fixe dans l'espace-temps.
Je cite :
ABC a écrit : 29 juil. 2024, 22:37Je reprends parce que tu viens (enfin) de dire quelque chose de juste.externo a écrit : 29 juil. 2024, 22:21Si on trace dans un diagramme de Minkowski la ligne d'univers d'un objet qui accélère et que le cône ne bascule pas, c'est que cet objet possède une accélération propre et que le référentiel du diagramme est inertiel.
Si on trace dans un diagramme de Minkowski la ligne d'univers d'un objet qui accélère et que le cône bascule de sorte que la ligne d'univers de l'objet reste la bissectrice (instantanée) du cône, c'est que que le référentiel du diagramme a une accélération propre.
Tu donnes l'impression d'être de connivence avec Gwanelle alors qu'elle dit le contraire de toi: Elle dit que la ligne de simultanéité ne bascule pas physiquement, que ce n'est qu'un choix de coordonnées, alors que toi tu dis qu'il bascule physiquement avec la ligne d'univers.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 15:53 Externo ne connait pas les bases de la RG mais il tient quand même nous les expliquer. Du coup, les explications qu'on tente (sans succès) de lui donner sur ce sujet ne passent pas du tout, du tout.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
externo a écrit : 25 nov. 2024, 17:18L'autre jour tu disais que le cône basculait du point de vue de l'accéléré et maintenant ce n'est plus le cas.
Je complète. Le référentiel inertiel tangent à l'observateur accéléré est formé des lignes droites 1D de type temps parallèles à la tangente à l'observateur accéléré (en l'évènement considéré). Quand ces droites (ces observateurs inertiels tangents) sont représentées dans leur référentiel inertiel de repos (le référentiel inertiel tangent qu'elles forment), elles y sont parallèles à l'axe du cône de causalité...ABC a écrit : 29 juil. 2024, 22:37Si on trace dans un diagramme de Minkowski la ligne d'univers d'un objet qui accélère et que le cône bascule de sorte que la ligne d'univers de l'objet reste la bissectrice (instantanée) du cône, c'est que que le référentiel du diagramme a une accélération propre.
...Ce n'est bien sûr pas l'espace-temps (et son champ de cônes de causalité) qui s'incline quand l'observateur accélère. C'est l'observateur inertiel tangent et sa ligne pseudo-orthogonale de simultanéité qui s'inclinent dans l'espace-temps.
Ca c'est ce que dit la Gwanelle d'Externo. Voilà ce que dit Gwanelle, elle.externo a écrit : 25 nov. 2024, 17:18Gwanelle dit que la ligne de simultanéité ne bascule pas physiquement que ce n'est qu'un choix de coordonnées
Et je rajouteGwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 15:02Incliner une ligne [que ce soit celle de l'observateur ou la ligne de simultanéité qui lui est pseudo-orthogonale] dans la représentation ne change que l'étiquetage des événements de la représentation (les coordonnées) et pas les événements réels en eux même, qui sont physiques, uniques, absolus, et tous soumis à la même vitesse de la causalité, unique, absolue, aussi.
en restant pseudo-orthogonale à la tangente à l'observateur. En effet, cette tangente s'incline dans l'espace-temps quand l'observateur accélère. Comme le signale Gwanelle, cela ne fait pas basculer physiquement les évènements physiques, réels, uniques, absolus se situant sur le trajet des rayons lumineux issus d'un évènement se situant sur la ligne d'univers d'un observateur au prétexte que cet observateur est accéléré.externo a écrit : 25 nov. 2024, 17:18qu'elle [la ligne de simultanéité pseudo-orthogonale à l'observateur] bascule physiquement
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Ni dans la théorie de Lorentz ni dans celle d'Einstein le cône ne bascule physiquement, mais dans celle de Lorentz il bascule par changement de point de vue de l'observateur accéléré, ce qui signifie que sa ligne d'univers s'incline de façon absolue.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 18:57 ...Ce n'est bien sûr pas l'espace-temps (et son champ de cônes de causalité) qui s'incline quand l'observateur accélère. C'est l'observateur inertiel tangent et sa ligne pseudo-orthogonale de simultanéité qui s'inclinent dans l'espace-temps.
A partir du moment où une ligne d'univers s'incline dans l'espace-temps de façon absolue c'est qu'il y a un référentiel absolu.
Donc dans la théorie d'Einstein aucune ligne d'univers ne s'incline dans l'espace-temps de façon absolue, elle s'incline selon les autres points de vue mais elle ne s'incline pas selon son propre point de vue, c'est à dire que le cône reste droit à la fois pour elle et pour les autres référentiels inertiels. Et ce truc est tout simplement impossible.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Pardon ?externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47Ni dans la théorie de Lorentz ni dans celle d'Einstein le cône ne bascule physiquement, mais dans celle de Lorentz il bascule par changement de point de vue de l'observateur accéléré, ce qui signifie que sa ligne d'univers s'incline de façon absolue.ABC a écrit : 25 nov. 2024, 18:57 ...Ce n'est bien sûr pas l'espace-temps (et son champ de cônes de causalité) qui s'incline quand l'observateur accélère. C'est l'observateur inertiel tangent et sa ligne pseudo-orthogonale de simultanéité qui s'inclinent dans l'espace-temps.
un changement absolu a forcément une cause absolue (notre point de vue n'influe pas l'univers physiquement) . Un changement absolu ne peut pas être du à un "changement de point de vue".
La cause absolue de l'inclinaison d'une ligne d'univers est l'accélération .
Non, puisque l'accélération absolue suffit à expliquer l'inclinaison absolue de la ligne d'univers (et donc aussi de la pseudo-orthogonale à sa tangente).externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47 A partir du moment où une ligne d'univers s'incline dans l'espace-temps de façon absolue c'est qu'il y a un référentiel absolu.
Dans la théorie d'Einstein les lignes d'univers s'inclinent dans l'espace-temps de façon absolue.externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47 Donc dans la théorie d'Einstein aucune ligne d'univers ne s'incline dans l'espace-temps de façon absolue,
Dans la théorie d'Einstein, on change les coordonnées des évènements pour qu'ils concordent aux délais d'observation prévus de ces événements.externo a écrit : 25 nov. 2024, 15:23Dans la théorie d'Einstein la lumière est physiquement isotrope dans tous les référentiels inertiels et ça se justifie par une rotation physique de la simultanéité de l'accéléré et non par un simple changement de coordonnées.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 15:02 Incliner une ligne dans la représentation ne change que l'étiquetage des événements de la représentation (les coordonnées) et pas les événements réels en eux même, qui sont physiques, uniques, absolus, et tous soumis à la même vitesse de la causalité, unique, absolue, aussi.
quand on met un événement sur "notre" ligne de simultanéité - étiquette (x,y,z,0) - ça signifie que, en supposant qu'on décide de ne plus accélérer jusqu'à l'observation effective de l'évènement, alors on observera cet événement dans rac(x²+y²+z²)/c .
par conséquent , accélérer implique de réviser cette prédiction. donc de changer les coordonnées.
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Dans la théorie d'Einstein l'accélération est relative. Il n'y a pas de mouvement absolu, ni inertiel ni accéléré.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 21:52 La cause absolue de l'inclinaison d'une ligne d'univers est l'accélération .
Il n'y a pas d'inclinaison absolue de la ligne d'univers par rapport au cône dans la théorie d'Einstein.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 21:52 Non, puisque l'accélération absolue suffit à expliquer l'inclinaison absolue de la ligne d'univers (et donc aussi de la pseudo-orthogonale à sa tangente).
Une fois que l'objet a fini d'accélérer le cône de lumière est toujours droit par rapport à lui, alors à quel moment sa ligne d'univers s'est-elle inclinée ?
Non, dans le référentiel de celui qui accélère sa ligne d'univers ne s'incline pas et il perçoit comme un champ de gravitation. On pourrait dire que ce champ de gravitation est factice et est en fait le signe que sa ligne d'univers s'incline. Oui, mais ça c'est la théorie de Lorentz, Einstein, lui prétend que ce champ de gravitation est réel et a pour effet de maintenir le cône de lumière droit par rapport à l'accéléré, autrement dit de maintenir la vitesse physique de la lumière isotrope. Du point de vue de l'accéléré, c'est la ligne d'univers et la ligne de simultanéité de l'espace extérieur qui s'inclinent et non la sienne.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 21:52 Dans la théorie d'Einstein les lignes d'univers s'inclinent dans l'espace-temps de façon absolue.
Ce que tu décris là est la théorie de Lorentz. La théorie d'Einstein dans sa généralisation prétend que l'accélération elle-même est relative. Elle prétend que le temps passe plus vite devant et plus lentement derrière quand on accélère, comme dans un champ de gravitation, et que la vitesse de la lumière reste physiquement identique, ce n'est pas une question de changement de coordonnées. Il faut que le cône ne bascule pas. Or que le cône ne bascule pas à la fois du point de vue de l'inertiel et de l'accéléré est impossible.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 15:02 Dans la théorie d'Einstein, on change les coordonnées des évènements pour qu'ils concordent aux délais d'observation prévus de ces événements.
quand on met un événement sur "notre" ligne de simultanéité - étiquette (x,y,z,0) - ça signifie que, en supposant qu'on décide de ne plus accélérer jusqu'à l'observation effective de l'évènement, alors on observera cet événement dans rac(x²+y²+z²)/c .
par conséquent , accélérer implique de réviser cette prédiction. donc de changer les coordonnées.
Détaillons :
Pendant l'accélération le blueshit des étoiles lointaines est interprété comme une accélération du passage du temps du point de vue de l'accéléré. Soit c'est factuel soit c'est une illusion. Si c'est une illusion c'est qu'en fait le cône bascule et la vitesse de la lumière change et dans ce cas la ligne d'univers s'incline de façon absolue, mais nous sommes dans la théorie de Lorentz. Si c'est factuel cela signifie que lorsque le temps cessera de passer plus vite par devant le blueshift disparaîtra. Or après l'accélération le blueshift est toujours présent alors même que le temps est supposé avoir repris son rythme normal. Cette interprétation est donc fausse.
En conclusion : il est absurde de prétendre que le cône ne bascule pas à la fois du point de vue des inertiels et de l'accéléré. C'est une impossibilité physique.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
soit précis,
A ton avis , Einstein croit il que lorsque tu es dans un train passant à coté d'une voiture, le passager du train voit autre chose sur un accéléromètre lié à la voiture que le conducteur de la voiture ? non !
Bref la mesure d'un accéléromètre est indépendante du référentiel, et Einstein le sait, la mesure d'un accéléromètre est la même pour tout le monde, car tout le monde voit le même chiffre sur l'accéléromètre.
Une accélération relative c'est la dérivée de la vitesse (relative) dans un référentiel donné. Ce n'est (en général) pas, la mesure donnée par un accéléromètre qui, elle, est indépendante du référentiel.
Par exemple, dans le référentiel terrestre ton accélération relative ( en supposant que tu actuellement assis sur ta chaise) est 0 . tandis que ton accélération absolue est g vers le haut .
Cette accélération, bien qu'absolue, peut toujours être, par principe, exprimée dans un référentiel imaginaire en "chute libre" pour lequel tu es, relativement à ce référentiel, en accélération g vers le haut, et c'est uniquement en ce sens, qu'il faut comprendre que : "en relativité toutes les accélération sont relatives".
ça n'enlève rien à l'indépendance au référentiel de l'accélération propre.
au moment de l'accélération (quelle est la difficulté ?)externo a écrit : 26 nov. 2024, 10:18Il n'y a pas d'inclinaison absolue de la ligne d'univers par rapport au cône dans la théorie d'Einstein.Gwanelle a écrit : 25 nov. 2024, 21:52 Non, puisque l'accélération absolue suffit à expliquer l'inclinaison absolue de la ligne d'univers (et donc aussi de la pseudo-orthogonale à sa tangente).
Une fois que l'objet a fini d'accélérer le cône de lumière est toujours droit par rapport à lui, alors à quel moment sa ligne d'univers s'est-elle inclinée ?
Et puis quand on parle d'inclinaison absolue, il n'y a pas à préciser par rapport à quoi.
Ta phrase qui fini par "par rapport au cône" est délibérément ambiguë . l'inclinaison de la ligne d'univers est absolue, point.
Quand on dit "dans son référentiel" c'est une manière de parler du référentiel de repos par rapport à nous, étant en repos par rapport à nous ... forcément nous ne sommes pas en accélération (relativement à ce référentiel) par définition .
Tu continues à parler de façon ambigue d'accélérations relatives et absolues en passant de l'une à l'autre sans précaution. C'est ce qui te perd.
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
C'est un problème de vocabulaire. Pour Einstein, il n'y a pas d'accélération absolue car l'accéléromètre ne mesure pas une accélération mais une force de pesanteur. Le mouvement entre le train et la voiture est relatif même si la voiture accélère.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 11:03 A ton avis , Einstein croit il que lorsque tu es dans un train passant à coté d'une voiture, le passager du train voit autre chose sur un accéléromètre lié à la voiture que le conducteur de la voiture ? non !
Bref la mesure d'un accéléromètre est indépendante du référentiel, et Einstein le sait, la mesure d'un accéléromètre est la même pour tout le monde, car tout le monde voit le même chiffre sur l'accéléromètre.
Une inclinaison absolue est forcément par rapport à quelque chose d'immobile, pas par rapport à rien.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 11:03 Et puis quand on parle d'inclinaison absolue, il n'y a pas à préciser par rapport à quoi.
Ta phrase qui fini par "par rapport au cône" est délibérément ambiguë . l'inclinaison de la ligne d'univers est absolue, point.
D'après Einstein il n'y a que des accélérations relatives. L'accéléromètre mesure un champ de pesanteur, pas un mouvement absolu, et c'est ce champ de pesanteur qui est absolu. Mais par les raisonnements que j'ai donnés on voit qu'en réalité c'est le contraire, le champ de pesanteur est relatif et l'accélération est absolue.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 11:03 Tu continues à parler de façon ambigue d'accélérations relatives et absolues en passant de l'une à l'autre sans précaution. C'est ce qui te perd.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Quel problème de vocabulaire ? le mien ? Soit précis, c'est tout.
l'accéléromètre mesure toute accélération propre, qu'elle qu'en soit sa nature. et pas uniquement la force de pesanteur .
si le conducteur de la voiture accélère vers l'avant alors ça se voit sur l'accéléromètre lié à la voiture (dont le résultat est proportionnel à la somme d'un vecteur vertical et un horizontal )
Par contre , si c'est le chauffeur du train qui appuye sur son accélérateur alors ça n'a aucun effet sur l'accéléromètre lié à la voiture.
Bref, un accéléromètre mesure toute les accélérations propres (absolues) de la voiture, et par contre il ne mesure aucune accélération relative.
Et Einstein sait évidemment cela... tu interprète mal le fait que "dans la relativité, toutes les accélérations sont relatives"
alors que je t'ai dit, du mieux que je savais le faire, comment bien interprété cette phrase.
elle implique seulement que: par principe, toute accélération propre peut être représentée dans un référentiel en chute libre dans laquelle cette accélération, bien que par nature absolue, est "relative" à ce référentiel .
Elle n'implique pas que Einstein est un imbécile croyant que les accéléromètres mesurent des accélération relatives.
Je ne sais pas quoi te dire d'autre, je ne sais pas "en quoi mon vocabulaire serait problématique".
j'ai l'impression que c'est toi qui entretient une ambiguïté entre accélération relative et absolue pour appuyer ton propos qui est confus.
l'accéléromètre mesure toute accélération propre, qu'elle qu'en soit sa nature. et pas uniquement la force de pesanteur .
si le conducteur de la voiture accélère vers l'avant alors ça se voit sur l'accéléromètre lié à la voiture (dont le résultat est proportionnel à la somme d'un vecteur vertical et un horizontal )
Par contre , si c'est le chauffeur du train qui appuye sur son accélérateur alors ça n'a aucun effet sur l'accéléromètre lié à la voiture.
Bref, un accéléromètre mesure toute les accélérations propres (absolues) de la voiture, et par contre il ne mesure aucune accélération relative.
Et Einstein sait évidemment cela... tu interprète mal le fait que "dans la relativité, toutes les accélérations sont relatives"
alors que je t'ai dit, du mieux que je savais le faire, comment bien interprété cette phrase.
elle implique seulement que: par principe, toute accélération propre peut être représentée dans un référentiel en chute libre dans laquelle cette accélération, bien que par nature absolue, est "relative" à ce référentiel .
Elle n'implique pas que Einstein est un imbécile croyant que les accéléromètres mesurent des accélération relatives.
Je ne sais pas quoi te dire d'autre, je ne sais pas "en quoi mon vocabulaire serait problématique".
j'ai l'impression que c'est toi qui entretient une ambiguïté entre accélération relative et absolue pour appuyer ton propos qui est confus.
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
ABC a écrit : 25 nov. 2024, 18:57...Ce n'est bien sûr pas l'espace-temps (et son champ de cônes de causalité) qui s'incline quand l'observateur accélère. C'est l'observateur inertiel tangent et sa ligne pseudo-orthogonale de simultanéité qui s'inclinent dans l'espace-temps.
...dans l'espace-temps 4D.externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47Ni dans la "théorie" de Lorentz ni dans celle d'Einstein le cône ne bascule physiquement,mais.ce qui signifie quePar contre sa ligne d'univers s'incline de façon absolue...
Ben oui, l'espace-temps 4D (1).externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47A partir du moment où une ligne d'univers s'incline dans l'espace-temps de façon absolue c'est qu'il y a un référentiel absolu.
Bien sûr que si. A l'inverse, un observateur dont la ligne d'univers reste droite et donc dont l'hypersurface 3D de simultanéité pseudo-orthogonale conserve la même direction est...externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47Donc dans la théorie d'Einstein aucune ligne d'univers ne s'incline dans l'espace-temps de façon absolue.
...un observateur inertiel.
Evidemment. Si on choisit de prêter à la RR des affirmations erronées reflétant une incompréhension, ces affirmations sont...externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47le cône reste droit à la fois pour elle et pour les autres référentiels inertiels. Et ce truc est tout simplement impossible.
...erronées.
L'observateur inertiel tangent à l'observateur accéléré en un évènement est :
- dans l'axe du cône dans le référentiel tangent à cet observateur en cet évènement
- penché par rapport à l'axe du cône dans le référentiel initial de repos de l'observateur accéléré
(1) Et peut-être l'espace 3D associé à un éventuel référentiel d'immobilité d'un milieu de propagation des ondes d'énergie-matière le jour où on disposera :
- d'une théorie physique s'inscrivant dans ce cadre,
- apte à intégrer le modèle standard de la physique des particules et la RG,
- offrant des prédictions conformes aux faits d'observartion,
- et largement validée par la communauté scientifique.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Un accéléromètre ne mesure pas une accélération, il mesure une force. Déjà rien que son nom est un mensonge.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 14:32 Quel problème de vocabulaire ? le mien ? Soit précis, c'est tout.
l'accéléromètre mesure toute accélération propre, qu'elle qu'en soit sa nature. et pas uniquement la force de pesanteur .
La force de pesanteur n'est pas une accélération, c'est une force.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 14:32 l'accéléromètre mesure toute accélération propre, qu'elle qu'en soit sa nature. et pas uniquement la force de pesanteur .
L'accéléromètre mesure la force appliquée à la voiture ou au train, pas leur accélération.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 14:32 si le conducteur de la voiture accélère vers l'avant alors ça se voit sur l'accéléromètre lié à la voiture (dont le résultat est proportionnel à la somme d'un vecteur vertical et un horizontal )
Par contre , si c'est le chauffeur du train qui appuye sur son accélérateur alors ça n'a aucun effet sur l'accéléromètre lié à la voiture.
Bref, un accéléromètre mesure toute les accélérations propres (absolues) de la voiture, et par contre il ne mesure aucune accélération relative.
Une accélération propre et une accélération absolue ne sont pas la même chose. Une accélération absolue est une accélération par apport à un référentiel absolu, une accélération propre est la norme de la 4-accélération dans l'espace 4D de Minkowski, qui n'est pas une accélération vraie spatiale. La force éprouvée est absolue, mais rien ne dit qu'il y a une accélération vraie qui accompagne cette force. Par exemple, dans un champ de gravitation, la force n'est pas accompagnée d'une accélération car c'est le chuteur, qui, lui, n'éprouve pas de force, qui accélère. Le terme "accélération propre" et la 4-accélération de Minkowski sont très malvenus car il ne s'agit pas d'accélération vraie spatiale mais d'artefacts mathématique de la théorie de Minkowski. De même la 4-vitesse de Minkowski n'est pas une vitesse.
Tu vois tu t'embrouilles, tu prétends que l'accélération est à la fois absolue et relative.Et Einstein sait évidemment cela... tu interprète mal le fait que "dans la relativité, toutes les accélérations sont relatives"
alors que je t'ai dit, du mieux que je savais le faire, comment bien interprété cette phrase.
elle implique seulement que: par principe, toute accélération propre peut être représentée dans un référentiel en chute libre dans laquelle cette accélération, bien que par nature absolue, est "relative" à ce référentiel .
Dans un champ de gravitation celui qui accélère est celui qui tombe en chute libre, celui qui éprouve la force n'accélère pas, au contraire, il résiste à l'accélération de la pesanteur. Du point de vue du chuteur c'est l'immobile qui chute, mais ce n'est qu'une illusion car en réalité c'est le chuteur qui subit l'accélération absolue même si c'est l'autre qui fait dévier l'accéléromètre.
Dans le cas d'une accélération cinématique c'est le contraire, celui qui éprouve une force subit une accélération absolue.
Ca vient de ce que dans le cas cinématique la force n'est appliquée qu'à un objet en particulier alors que dans un champ de gravitation elle est appliquée à tout l'espace.
Il n'y a pas d'accélération absolue en relativité ?
Oui, c'est exact. Il n'y a pas d'accélération absolue en relativité. L'accélération est toujours relative à un référentiel. Il n'existe pas de référentiel privilégié ou absolu par rapport auquel on pourrait définir l'accélération de manière absolue.
Voici quelques précisions :
1. Relativité restreinte : En relativité restreinte, l'accélération est définie par rapport à un référentiel inertiel. Différents référentiels inertiels mesureront des valeurs différentes pour l'accélération d'un même objet.
2. Relativité générale : En relativité générale, l'accélération est liée à la courbure de l'espace-temps. Un objet en chute libre suit une géodésique de l'espace-temps. Un objet accéléré dévie de cette géodésique. La déviation par rapport à la géodésique est une manifestation de l'accélération. Cependant, il n'y a pas de référentiel absolu par rapport auquel on pourrait définir cette déviation de manière absolue.
3. Accélération propre : La seule mesure d'accélération qui est invariante par changement de référentiel est l'accélération propre. C'est l'accélération mesurée par un accéléromètre embarqué sur l'objet accéléré. L'accélération propre représente l'accélération "ressentie" par l'observateur. Mais même l'accélération propre ne donne pas accès à une mesure de l'accélération absolue.
4. Absence d'éther : La notion d'accélération absolue est liée à l'idée d'un éther, un milieu physique qui servirait de référentiel absolu pour le mouvement. La relativité restreinte et générale rejettent l'existence d'un tel éther.
En résumé, l'accélération est toujours relative à un référentiel. Il n'existe pas de référentiel privilégié ou absolu pour définir l'accélération. En relativité générale, l'accélération est liée à la courbure de l'espace-temps, et l'accélération propre est une quantité invariante, mais il n'y a pas d'accélération absolue.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Il n'y a pas de référentiel absolu en relativité d'EInstein/Minkowski, ni 3D, ni 4D.
Une ligne d'univers n'a pas d'inclinaison dans l'espace-temps 4D de Minkowski, elle a une courbure.
Et ce truc est tout simplement impossible.ABC a écrit : 26 nov. 2024, 16:25
L'observateur inertiel tangent à l'observateur accéléré en un évènement est :
- dans l'axe du cône dans le référentiel tangent à cet observateur en cet évènement
- penché par rapport à l'axe du cône dans le référentiel initial de repos de l'observateur accéléré
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
je ne répond pas a tes phrases du style "ceci est un mensonge" , "ceci est factice" , "ceci est illusoire" etc ... car je ne comprend rien ces considérations de réalité vraie et de réalité factices ... quand tu dis ce genre de choses, on dirait richard .
Au fond, tout ce que j'essaye, c'est de te dire certaines choses différemment que ABC en croyant naïvement t'apporter quelque chose de plus ... mais non ... donc je vais arrêter si ça te fait réagir de cette manière.

Au fond, tout ce que j'essaye, c'est de te dire certaines choses différemment que ABC en croyant naïvement t'apporter quelque chose de plus ... mais non ... donc je vais arrêter si ça te fait réagir de cette manière.
je ne prétend pas du tout celà.externo a écrit : 26 nov. 2024, 19:09 Tu vois tu t'embrouilles, tu prétends que l'accélération est à la fois absolue et relative.
Mais non enfin . En RG, c'est celui qui est en chute libre qui est inertiel.externo a écrit : 26 nov. 2024, 19:09 Dans un champ de gravitation celui qui accélère est celui qui tombe en chute libre,
Mais on le sait voyons ... on était juste tolérant sur le terme "inclinaison"externo a écrit : 26 nov. 2024, 20:01 Une ligne d'univers n'a pas d'inclinaison dans l'espace-temps 4D de Minkowski, elle a une courbure.

Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Un objet en chute libre est entraîné par la force gravitationnelle.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 20:10 Mais non enfin . En RG, c'est celui qui est en chute libre qui est inertiel.
D'un autre côté comme il est entraîné par cette force qui pénètre tout l'espace il n'éprouve aucune force propre donc aucune "accélération propre", ce qui le place en apparence dans la même situation qu'un objet en mouvement inertiel loin d'un champ gravitationnel.
La relativité est une approche qui donne des étiquettes aux apparences sans prendre le soin de distinguer chaque situation physiquement. Chaque situation est différente et doit être étudiée séparément.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
haaaaa mais ouiiii bien sur ! c'est la fameuse réalité "seulement apparente" que ces idiots de positivistes (qui ne croient qu'en ce qu'ils voient) pensent qu'elle est la seule réalité vraie .externo a écrit : 26 nov. 2024, 21:03Un objet en chute libre est entraîné par la force gravitationnelle.Gwanelle a écrit : 26 nov. 2024, 20:10 Mais non enfin . En RG, c'est celui qui est en chute libre qui est inertiel.
D'un autre côté comme il est entraîné par cette force qui pénètre tout l'espace il n'éprouve aucune force propre donc aucune "accélération propre", ce qui le place en apparence dans la même situation qu'un objet en mouvement inertiel loin d'un champ gravitationnel.
La relativité est une approche ésotérique qui donne des étiquettes aux apparences sans prendre le soin de distinguer chaque situation physiquement. Chaque situation est différente et doit être étudiée séparément.
Bye.
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
externo a écrit : 25 nov. 2024, 20:47A partir du moment où une ligne d'univers s'incline dans l'espace-temps de façon absolue c'est qu'il y a un référentiel absolu.
Evidemment, c'est le principe de relativité du mouvement/équivalence des référentiels inertiels vis à vis des 4 interactions fondamentales (localement seulement pour la gravitation).externo a écrit : 26 nov. 2024, 20:01Il n'y a pas de référentiel absolu en relativité d'EInstein/Minkowski, ni 3D
En 4D on a une varitété pseudo-riemanienne munie d'une métrique pseudo-riemanienne. Ces deux concepts théoriques sont objectifs/absolus, c'est à dire indépendants de toute considération de référentiel d'observation (feuilletage 1D de type temps) et de tout choix de système de coordonnées (invariance par difféomorphisme). On ne peut pas courber l'espace-temps : il est courbé (sous le lourd poids de sa métrique).
...et, dans le référentiel inertiel de repos de l'observateur accéléré, l'observateur inertiel tangent (la ligne droite d'univers de type temps tangente à cette courbe) s'incline au fur et à mesure que l'on déplace cette droite tangente le long de la ligne d'univers courbe de type temps modélisant l'observateur accéléré (pas un bon client pour weight watcher cet observateur pointi-forme).externo a écrit : 26 nov. 2024, 20:01Une ligne d'univers n'a pas d'inclinaison dans l'espace-temps 4D de Minkowski, elle a une courbure...
Oui... ...dans un univers où on n'aurait pas le droit d'accélérer et où, en plus, l'interdiction serait respectée.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
C'est impossible, et ce n'est pas parce qu'une représentation mathématique fonctionne que ça a un sens physique.
Si tu penses que c'est possible tu dois décrire le mécanisme physique qui permet d'y arriver.
Tu dois montrer qu'on peut arriver à cette situation dans le monde physique :
L'observateur inertiel tangent à l'observateur accéléré en un évènement est :
dans l'axe du cône dans le référentiel tangent à cet observateur en cet évènement
penché par rapport à l'axe du cône dans le référentiel initial de repos de l'observateur accéléré
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
L'observateur inertiel tangent à l'observateur accéléré en un évènement est :
- dans l'axe du cône dans le référentiel inertiel tangent à cet observateur en cet évènement
- penché par rapport à l'axe du cône dans le référentiel inertiel initial de repos de l'observateur accéléré
Rappel, dans le diagramme de Minkowski d'un référentiel inertiel :
- un observateur au repos est une droite de type temps "verticale", cad parallèle à l'axe du cône de causalité.
- un observateur inertiel en mouvement est une droite de type temps "penchée", cad penchée par rapport à l'axe du cône de causalité.
Montrer que dans le monde physique on peut accélérer ? Je sèche.externo a écrit : 27 nov. 2024, 11:16Tu dois montrer qu'on peut arriver à cette situation dans le monde physique
Dernière modification par ABC le 27 nov. 2024, 12:33, modifié 3 fois.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Il me semble que la charge de la preuve te revient. Tu dois démontrer qu'un inertiel et un non inertiel, lorsqu'ils se croisent, ont des cônes différents, donc ont vision du passé différente, donc l'un accède à de l'information à laquelle l'autre n'accède pas (ce qui est absurde , mais bon ... on va supposer qu'ils ont la bouche cousue et qu'il ne communiquent pas entre eux )externo a écrit : 27 nov. 2024, 11:16 Tu dois montrer qu'on peut arriver à cette situation dans le monde physique :
L'observateur inertiel tangent à l'observateur accéléré en un évènement est :
dans l'axe du cône dans le référentiel tangent à cet observateur en cet évènement
penché par rapport à l'axe du cône dans le référentiel initial de repos de l'observateur accéléré
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Donc l'observateur inertiel est penché par rapport au cône. Et s'il est penché il ne peut pas en même temps être droit. C'est l'un ou l'autre.ABC a écrit : 27 nov. 2024, 11:59
- un observateur au repos est une droite de type temps "verticale", cad parallèle à l'axe du cône de causalité.
- un observateur inertiel en mouvement est une droitede type temps "penchée", cad penchée par rapport à l'axe du cône de causalité.
Montrer que dans le monde physique on peut accélérer ? Je sèche.externo a écrit : 27 nov. 2024, 11:16Tu dois montrer qu'on peut arriver à cette situation dans le monde physique
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
ABC a écrit : 27 nov. 2024, 11:59
- un observateur au repos est une droite de type temps "verticale", cad parallèle à l'axe du cône de causalité.
- un observateur inertiel en mouvement est une droite de type temps "penchée", cad penchée par rapport à l'axe du cône de causalité.
externo a écrit : 27 nov. 2024, 11:16Tu dois montrer qu'on peut arriver à cette situation dans le monde physique
Ha bon ? Pourtant, un observateur peut-être à l'arrêt par rapport à un train ("vertical" dans le diagramme de Minkowski du train) et en mouvement par rapport à la gare ("penché" dans le diagramme de Minkowski de la gare)...externo a écrit : 27 nov. 2024, 12:07Donc l'observateur inertiel est penché par rapport au cône. Et s'il est penché il ne peut pas en même temps être droit. C'est l'un ou l'autre.
...A moins, bien sûr, que le train soit à l'arrêt.
Par contre, dans tous les référentiels inertiels, le cône de causalité relativiste a un axe "vertical" et des "bords" à +/- 45°(en unités dites naturelles). Pourquoi ? Parce que dans quelque référentiel que ce soit, aucune interaction ne peut se propager à vitesse relative supérieure à c.
Dernière modification par ABC le 27 nov. 2024, 12:41, modifié 4 fois.
Re: Pourquoi la représentation de la métrique de Painlevé est-elle fausse ?
Non, la charge de la preuve revient à ceux qui font des suppositions qui heurtent la logique.Gwanelle a écrit : 27 nov. 2024, 12:03 Il me semble que la charge de la preuve te revient. Tu dois démontrer qu'un inertiel et un non inertiel, lorsqu'ils se croisent, ont des cônes différents, donc ont vision du passé différente, donc l'un accède à de l'information à laquelle l'autre n'accède pas (ce qui est absurde , mais bon ... on va supposer qu'ils ont la bouche cousue et qu'il ne communiquent pas entre eux )
Un cône penché signifie une vitesse de la lumière anisotrope, l'information accédée est la même. Il n'y a qu'un seul cône, vu droit par l'un et penché par l'autre.
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