J'ai très bien compris. A moins que vous considériez que la démonstration a été éclatante et qu'il n'y a que les "détails" soulevés par Gaël qui gènent.
Emmanuel: "- J'essaie d'abord de montrer à Gaël que les arguments qu'il a avancé contre le livre de Daniel ne tiennent pas. Si cela ne vous intéresse pas, ne lisez pas mes messages à ce sujet."
Cela m'intéresse mais ne suis pas particulièrement convaincu par vos arguments. Déjà, le fait que vous commenciez par dire que vous allez parler d'une prophétie sans mettre le texte de celle-ci, ni la discut
er un peu, m'a intrigué. Après être aller lire ce texte, je ne suis pas particulièrement impressioné par sa clarté ni par la pertinence de votre "démonstration" subséquente.
Emmanuel: "- Ensuite je vais essayer de montrer que ce livre a bien été rédigé au VIème siècle avant notre ère."
C'est ce que, à votre place, j'aurai commencé par faire. En ce moment, toute votre "démonstration" est caduque tant que ce point n'est pas établi. Si la prophétie a été écrit après l'évènement, ce n'est pas d'une prophétie dont on parle.
Emmanuel: "- Pour la justesse de la prophétie, il n'y aura qu'a consulter les livres d'histoire pour vérifier."
A la lecture du texte de la prophétie, je n'appellerais pas cela de la "consultation" mais de l'"interprétation" avec beaucoup de "wishful thinking". Je suppose que pas mal de fait historique pourrait être interprété comme allant dans le sens des termes de cette "prophétie".
N'y-a-t'il pas de "prophétie" plus claire dans la Bible, qui ne nécessiterait pas une approche aussi extrapolatoire?
Merci pour vos précisions. Je note toutefois que vous ne désirez pas répondre à ma question sur l'idée que vous vous faites de votre Dieu.
Jean-François
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