Mais, dans l'état actuel des connaissances, doit-on exclure cette possibilité? N'est-il pas légitime de supposer que les déviances que l'on remarque chez les pédophiles ou les psychopates pourraient résulter partiellement de l'expression de gènes défectueux, comme ce pourrait l'être, par exemple, pour les schizophrènes et qui sont prouvées pour les tares physiques héréditaires?
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