J'ai une opinion très personnelle là-dessus: comme je suis spécialisé à un niveau systémique et non cellulaire ou moléculaire, le fait qu'il y ait aussi "peu" de gènes chez l'humain enlève un peu de son importance à la biologie moléculaire et redonne une plus grande importance aux systèmes. Comme, avec relativement - quand même! - de protéines, on réussit des assemblages aux propriétés différentes, c'est que la nature des assemblages est fondamentale.
C'est très égoiste, je sais, mais ça me rassure ;-)