Quant au réductionnisme, il est vrai que j'ai employé le mot sans préciser ce que je voulais dire , voici : je voulais dire que si la définition de l'intelligence n'est pas décomposée en éléments réducteurs par rapport à l'idée générale qui correspond à celle que tu proposes, alors nous risquions de traiter à chaque instant des phénomènes parasites par rapport à notre objet ( en c'est en cela qu'il me semblait voir Gaël converger vers cette objection). C'est cette même chose que je retrouvais dans l'ensemble Kennedy, Thérésa, Diana : tu poses alors un rapport aux médias commun aux trois, c'est ce que je désignais par la relation d'équivalence , alors qu'à mon avis la médiatisation devrait être "réduite" à l'un de ses caractères , ou à quelques uns de ses caractères, pour précisément montrer que cette relation d'équivalence ne signifie pas grand chose, ces définitions réduites ne s'appliquant pas à tous.
Ainsi, ce réductionnisme est appliqué lorsque tu passes de ta première formule (capacité à atteindre un but), à la seconde ( le même + fixer un but) : l'ensemble des phénomènes concernés a été réduit. Ici on retrouve le sens habituel de réductionnisme .
Ce que nous -- tes lecteurs-- pouvons nous demander, c'est : quelle serait la réduction suivante, si tu poursuivais . Par temps réel, je n'entendais pas une rapidité, mais plutôt le fait que nous te laissions poursuivre en ne proposant plus nous-mêmes les éléments de définition que nous pouvions envisager , en complément ou en oppostion à la tienne, en nous contentant de te critiquer à chaque étape : c'est cette expérience que je trouvais intéressante. Mais bien sûr, c'est toi qui en dispose, et on peut reprendre autrement, autre chose...
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