Claude D:
C'est justement ce que les nombreux points que j'ai soulevé au début avec les pigeons voyageurs qui démontrent le contraire. Ce n'est pas la vue ou l'odorat.
Jean-François:
Au passage, vous ne m'avez pas répondu sur la possible "source" d'informations extra-sensorielle qui guiderait les pigeon vers le pigeonnier. C'est quoi, le bois formant ce dernier ou les pigeons resté au nid?
Claude D:
Cela varie. Il semble que cela est du quelquefois par la présence de pigeons restés au nid ou par l'assurance d'avoir de la nourriture.
Jean-François:
Je ne sais pas pour vous, mais moi je ne sais pas me guider sur les étoiles. Pourtant, des personnes y arrivent, sans "don paranormal", juste avec l'étude et l'habitude.
Claude D:
Les animaux qui en sont à leur première expérience migratoire n'ont ni l'étude ni l'habitude (certaines espèces n'ont pas de parents pour les guider, comme le monarque)
Jean-François:
En plus, vous semblez considérer que les animaux ne sont jamais sujet à l'erreur, c'est faux, il leur arrive de s'égarer. Ce n'est pas parce qu'on insiste sur leur exceptionnelles (d'un point de vue humain) capacités d'orientation, qu'il n'y a jamais de ratés.
Claude D:
Je suis d'accord avec vous. Ce n'était tout simplement pas mon point.
Jean-François:
... Ils utilisent leurs sens pour déterminer leur position approximative puis celle de leur cible, et voilà, reste plus qu'à y aller. Pourquoi voulez-vous faire rentrer du paranormal là-dedans? Votre exemple de "chorus line" était plus fort dans ce sens.
Claude D:
Encore il faudrait que l'animal connaisse la cible. Ce n'est jamais le cas dans la première migration
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