D'après moi, oui. En fait, un individu parthénogénétique est une forme de clone*. Le patrimoine génétique de la fille doit donc être le même que celui de sa mère (aux erreurs de réplication près).
Jean-François
* Je parle des vertébrés, je connais peu le développement chez les invertébrés. Les processus de parthénogenèse sont plus nombreux chez ces derniers et je ne suis pas certain que dans tous les cas les rejetons soient génétiquement identiques à la mère. Enfin, chez les plantes, les phénomènes d'apomixie sont encore plus compliqués, avec un nombre assez grand de variantes; je n'y connais quasiment rien et me demande comment on a pu mettre de l'ordre là-dedans.
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