Ce que je dis depuis le début (il faut répéter souvent dans votre cas) est que la segmentation est considérée homologue chez les insectes mais qu'elle n'est pas contrôlée par LES mêmes gènes ou le même groupement exacte de gèneS.
"D'autre part, vos exemples sont donc mauvais puisque la mouche et la sauterelle sont assez éloignées. Comparez donc deux mouches entre elles pour voir si leur développement n'utilise pas les mêmes gènes."
"assez éloignées" !? ce sont deux insectes, non? Ensuite, il y a la guêpe, le gène « sex-lethal » les études de de Beer sur le développement des yeux de la mouche à fruit.
De toute façon, depuis le début tout est clair :
Gavin de Beer :
« Because homology implies community of descent from … a common ancestor it might be thought that genetics would provide the key to the problem of homology. This is where the worst shock of all is encountered … [because] characters controlled by identical genes are not necessarily homologous … [and] homologous structures need not be controlled by identical genes »
« the inheritance of homologous structure from a common ancestor … cannot be ascribed to identity of genes. »
Les patterns qui semblent se retrouver chez des espèces différentes n’ont pas pour cause la transmission de l’information au travers des générations, c’est un fait.
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