Maintenant, on peut savoir ce qui est bien et ce qui est mal et choisir délibérement (enfin suppose-t-on), de faire le mal mais même dans ce cas, est-il nécessaire de croire en un être suprème pour décider finalement de faire le bien ? Ne peut-on pas envisager d'autres solutions ? Exemples :
- Faire le bien procure un avantage adaptatif et il vaut mieux, sur le long terme, faire le bien que faire le mal
- Les êtres humains sont dotés de leur propre "être suprème portatif" et vont eux-même juger leurs actions (à ma connaissance, le bouddhisme enseigne de faire le bien et de ne pas faire le mal indépendement d'un concept de Dieu).
A+
Mikaël
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