Bon, puisque vous semblez avoir du mal à lire, je répète :
- Pour la bétise : vous faites l’amalgame entre islam et intégrisme : c’est absurde, c’est comme si vous qualifiez tous les chretiens d’intégristes sous prétexte que certains le sont.
- Vous vous attaquez l’Islam en citant ce que les intégristes font de pire. C’est du même ordre, ça s’apparente à de la manipulation. Je ne pense pas qu’il soit possible d’être assez bête pour ne pas se rendre compte que les critiques envers les intégristes sont des critiques envers l’intégrisme, et non envers l’Islam. Si vous ne faites pas la différence, je ne peux qu’en conclure que vous le faites exprès, et qu’il s’agit là d’une question d’intolérance religieuse : votre discours est aussi fanatique que celui de ceux que vous dénoncez. Et je n'ai pas plus de respect pour les fanatiques anticléricaux que pour les fanatiques religieux.
- Pour l’ignorance : je ne peux croire qu’il soit possible de dire autant de bêtise sur l’Islam si on le connait un peu, et je pense que le premier ressort de l’intolérance est l’ignorance. Votre article donne l’impression que vous n’avez jamais connu de musulman modéré, que vous ne pouvez même pas imaginer que cela puisse exister, et que vous n’avez fait aucun effort pour vous renseigner sur autre chose que sur les pires déviances des pires Islamistes.
F. Tremblay : "Votre seul argument semble être que beaucoup de musulmans sont contre les lois et versets cruels du Quran - certes. Mais ça ne change pas leur existence, et que le fait d'être musulman est un support de ces versets et lois."
J’ai rarement lu une contre-vérité aussi flagrante. Vous avez quelques problèmes avec la logique, non ?
C’est comme si vous disiez que le fait d’être chrétien est un support du créationnisme, même pour ceux qui ne sont pas créationnistes.
Un musulman qui n’est pas pour l’amputation des voleurs ne supporte pas les versets qui parlent de l’amputation des voleurs, point. Vous aurez beau retourner votre rhétorique dans tous les sens, vous n’arriverez pas à faire croire le contraire.
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