Évidemment. Il fallait démontrer que Houllebecq n'avait pas enfreint certaines lois; et c'est ce qui a été démontré.
On peut, au sens strict, douter de ce que des propos stigmatisant, surtout dans le contexte actuel, toute une religion et ses adhérents, soient de nature à conforter la paix sociale ;-).
Bien d'accord.
"Si Houellbeck (et Fallaci) s'était contenté de s'en prendre à l'interprétation et l'utilisation de l'islam par une minorité genre Ramadan et bien sûr Ben Laden, je ne verrais aucune objection (...)"
Mais pourquoi devrait-on s'indigner des propos antireligieux? Le droit d'opinion, n'est-ce pas aussi le droit au blasphème?
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