Je peux ajouter ceci: il n'y a aucune étude sérieuse de la propagation d'erreur dans leurs calculs! Le rapport EMBLA_2002_2.pdf contient, certes, de beaux tableaux, mais il y manque quelque chose de fondamentale en sciences: l'amplitude des erreurs sur les résultats de calcul (écart-type, RMS ou autres)... De plus, l'évaluation du diamètre et de la distance sont discutables. C'est, selon mes connaissances scientifiques[1], le point le plus faible de ce rapport d'activités.
Par contre, je viens de lire le rapport projectHessdalen-story-April2002.pdf et il décrit un système à deux caméras (SYSTEM 2) pour effectuer des mesures de distances. Encore une fois, où sont les caractéristiques essentielles de ce système à savoir l'erreur? Et si elle a été calculée, comment ils ont fait? Autre question: ce SYSTEM 2 n'a pas été utilisé pour l'étude faite en août 2002 (rapport EMBLA_2002_2.pdf), pourquoi?
Une petite dernière: Ça veut dire quoi, ça:
it can be declared with a good approximation that the light-phenomenon generates a luminous power of the order of 100 kW. This means 1-10 times more than the light which is produced by a typical helicopter searchlight, for instance, the same as a mini electric central and 100 times less than a big electric central.
mini electric central, big electric central????? Hé, Ho! Ici, on parle d'un phénomène de 5 secondes qui dégage pas mal moins d'énergie qu'une lampe d'hélicoptère qui fonctionne toute une nuit!
Christian
[1] Je travaille dans un domaine médical qui utilise les éléments de stéréophotographie appliqués en radiologie pour réaliser des reconstructions tridimensionnelles réalistes (entre 2 et 4 mm de précision) du squelette humain (cage thoracique, colonne vertébrale et bassin). Si ça intéresse quelqu'un, je peux toujours fournir quelques références...
--modified at Wed, Dec 11, 2002, 00:42:46
--modified at Wed, Dec 11, 2002, 00:43:55
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