Ca, c'est un des problèmes. L'autre problème majeur est qu'à cause de la nature évasive du psi, il n'existe aucun moyen de corriger la méthodologie expérimentale de manière sûre... d'où la tendance à rechercher des excuses comme "moyen correcteur" des résultats insignifiants des expériences elles-même.
Pour sortir de là, il faudrait absolument dire clairement ce que le psi peut faire, tester cette hypothèse et accepter les résultats pour ce qu'ils sont. Ils sont négatifs? Conclusion: le psi tel qu'on l'a défini n'existe pas, donc on le redéfinit clairement et on recommence. Tant que la définition du psi reste vaseuse, il n'y aura jamais d'avancée.
Bruno : "Avec le développement de la conscience (d'un degré faible jusqu'à nous, humains), le cerveau a acquis la capacité d'agir sur lui-même"
Là, c'est moi qui ne suis pas sûr d'être d'accord. Que veux-tu dire par "agir sur lui-même"?
Les lois physiques actuelles (surtout en physique quantique) ne sont plus totalement déterministes puisqu'elles sont stochastiques. Elles laissent un ensemble restreint de possibilités pour une situation donnée, mais aucune n'est déterminée avec 100% de certitude.
Jean-François
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