Il consiste, pour une personne, à persister dans son attitude par crainte de devoir reconnaître qu'il s'est trompé.
M. Jean-François, depuis le début, m'assimile à Gatti, puis assimile Julie à moi.
Il a le choix, bien entendu, de penser 1) que je suis M./Mme Ody, 2) que nous sommes deux personnes différentes.
M. Jean-François n'est toutefois pas si aveugle que ça. Il est intelligent bien qu'affecté d'un égo qui ne lui permet pas de reconnaître ses erreurs. Il se sent probablement obligé de tenir la même ligne qu'il a adoptée à un certain moment, sous crainte de contradiction interne.
Je ne suis pas dans son cerveau, évidemment, mais une telle mauvaise foi cache très souvent ce genre d'attitude.
Regrettable, car nous aurions pu avoir des conversations enrichissantes, mais il est bien entendu que son attitude m'enlève tout espoir (et tout souhait) en cette matière.
|