@ Jodie
Pour le livre, ça va le faire, il suffit de se montrer patient.
Je ne suis spécialiste, à peine un amateur éclairé (pour l'instant

). Je te remercie pour tes propositions.
Ce que je retiens, c'est que ces domaines sont complexes et qu'il est très facile de dériver en comprenant de travers, en croyant comprendre.
Les définitions, j'ai essayé à la mesure de mes moyens, de mes compétences. Je ne suis pas une autorité en la matière.
Pour le langage, que les scientifiques pourraient créer, on risquerait fort de se retrouver confronté à des problèmes linguistiques.
C'est encore un autre champ et ce serait rajouter un bon étage à la complexité en cours. Il faut accepter de se montrer patient et laisser faire le cours des événements.
Le niveau des connaissances global progresse inéluctablement avec une mise à disposition qui augmente.
Il y a quelques années, l'individu lambda était-il capable de s'interroger au niveau des neurosciences ou de la physique, sur des questions pointues?
Ce qui fonctionne le mieux, ce qui est le plus opérationnel, ce sont des personnes comme Étienne Klein, Bruno Dubuc, le regretté Hubert Reeves,... qui sont des "passeurs" efficaces de connaissances. C'est tout un art subtil, avec beaucoup d'appelés et peu d'élus.
Pour ce qui est du mot conscience, j'ai hâte de voir ce que B. Dubuc en dira. Il disait sur ton entrevue ou la mienne que j'ai écouté que c'est le dernier chapitre de son livre. Ce qui voulait dire qu'il y avait beaucoup, beaucoup à comprendre avant d'en arriver à pouvoir s'en faire une certaine idée.
Tu disais privilégie l'approche scientifique, débarasser des affects, que voulais-tu dire ?
A propos de la réception du livre en France, tu disais d'ici là il peut se produire des choses ? Qu'est-ce que tu veux dire ?
Exactement. On ne peut pas espérer aborder ce qui a trait à la "conscience" (qui recouvre en réalité des consciences et des états de conscience) sans disposer d'un bagage de compréhension minimal, avec une base interdisciplinaire, sinon on risque fort de parler pour ne rien dire et de pédaler dans le vide.
Une "curiosité": Néandertal et Sapiens. Comment ouvairnt bien s'organiser leurs pensées ? Quelles pouvaient être leurs conceptions de la réalité ?
(Curiosité un peu puérile de ma part, puisque les Néandertaliens et les Sapiens ne représentaient pas un des groupes homogène sur la planète. C'était juste pour fournir une sorte d'indicateur, un outil de réflexion qui précise bien les limites de la dite réflexion. Il est important dentrteni6les interrogations tout en gardant à l'esprit que beaucoup de questions n'ont que fort pure chances de trouver une réponse, voire jamais).
Avec Bruno Dubuc nous avons une opportunité d'être moins "bête" à la sortie qu'au départ. C'est le genre d'ouvrage qui nécessite beaucoup de relectures.
Je ne me fais pas d'illusions, la barre est placée très haut.
Quel pourcentage de contenu avais-je pouvoir assimiler ?
C'est un véritable challenge.
Approche scientifique débarrassée d'affects: à mon sens, la démarche la plus neutre possible en évitant de la polluer avec des pensées personnelles où pointe l'affectif , l'émotion. Pour pouvoir comprendre il faut acceppter d'apprendre, d'absorber des contenus avant de pouvoir être apte, (cest à dire disposer de compétences suffisantes) pour pouvoir en discuter. Si on commence par se poser des questions, par contester, s'opposer, ce n'est pas possible.
L'approche scientifique, rationnelle, cartésienne, paraît présenter le plus de "garanties" à ce niveau.
Dans les sciences humaines, certains secteurs peuvent être des calamités, parce qu'il y a plus de rhétorique à la clé que de véritables bases scientifiques (cf. le wokisme et l'université, avec des aberrations abracadabrantes du type "l'approche genrée des mathématiques". Si, si
Il y en a un paquet.
Hier, je suis tombé sur...
https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 60753.html
Un cursus proposé par l’université Paul Valéry agite les réseaux sociaux et les médias depuis une semaine. Le master 2, Parcours Responsable d'évaluation, de formation et d'encadrement (M2REFE), destiné à de futurs formateurs et encadrants est délivré par l’université. Ce diplôme certifié par l’Etat et sa présentation promet aux étudiants d’aller "vers une bienveillance du care et quantique du leadership capacitant et vibratoire".
Une description énigmatique mais selon la directrice de l’université, Anaïs Fraisse, ce master serait lié à une demande sociétale : "Trouver des méthodes pour diriger des équipes de manières moins agressives ou encore apprendre à chercher des solutions pour résoudre les conflits."
Non mais, sérieux ??????
Pour la réception du livre en France, la date prévue est le 25 octobre. D'ici là, elle peut être repoussée pour xxx raisons énigmatiques. Ce ne serait pas la première fois.
Il y aura toujours une solution

.