ABC a écrit : 05 oct. 2024, 20:45cette invariance de la vitesse unidirectionnelle de la lumière de A à B est reproductiblement observable en se servant de 2 horloges, une en A et une deuxième en B, indiquant la même heure, la deuxième ayant été lentement déplacée de A à B.
...aussi faible que l'on veut.externo a écrit : 05 oct. 2024, 21:05Quand tu déplaces l'horloge de A vers B aussi lentement que tu veux elle subitlaune dilatation du temps...
Oui, moi aussi en rajoutant toutefois la précision complémentaire ci-dessus.
Souris a écrit : 06 oct. 2024, 01:19Je pense que tu savais cela même avant que externo ne te l'écrive. Pourquoi as-tu écrit cela sachant que c'était faux ?

Pour une vitesse de déplacement w, la dilatation du temps est en 1/(1-w²/c²)^0.5. Elle est négligeable quand w est négligeable devant c (1). Un déplacement lent ne perturbe PAS la synchronisation relative par dilatation temporelle.
Dans un référentiel inertiel donné, avec une 1ère horloge immobile en A et une 2ème horloge initialement immobile en A, indiquant la même heure, puis déplacée lentement de A à B, on obtient une horloge en B indiquant sensiblement la même heure que celle en A au sens de la synchronisation relative de ce référentiel. En effet :
- grâce aux indications de ces 2 horloges,
- on trouve une vitesse de la lumière valant c aussi bien de A à B que de B à A.
(1) Exemple. Pour un déplacement d'horloge AB=300 m à vitesse w=3 mm/s, la désynchronisation DT induite par la vitesse w vaut:
DT = (AB/w) [1- (1-w²/c²)^0.5] = 100 000 x (1/2) (3 10^-3/300 10^6)^2 = 10^5 x 0.5 10^-22 = 5 10^-18 secondes cad
DT = 5 atto secondes