Dans une communication précédente je faisais mention de l’hérédité. Elle vient des habitudes de vie de nos ancêtres. Si mon arrière grand père était un fainéant qu’il mangeait trop, il est fort possible que j’hérite de gènes qui seront en partie une réincarnation de mon arrière grand père. En un sens il s’agit d’une réincarnation. Mais les gènes dont j’hériterai ne viendront pas que de lui, ils viendrons aussi de la famille de ma mère. Alors voilà ou nous pouvons parler de réintégration. Bien que tout cela semble être le fruit du pur hasard, il faut comprendre que je n’hérite pas seulement de gènes issus des mauvaises habitudes de mon arrière grand père, car au moment de concevoir, il n’avait peut être pas encore développé toutes ces mauvaises habitudes. Mais il avait quand même évolué pendant son enfance et sa jeunesse dans un milieu qui à déterminé la qualité de ses gènes. Le hasard apparent peut très bien cacher un ordre établi. Puisque nous savons, que l’attirance mutuelle entre les deux sexes, vient des odeurs. Je fais référence à l’attirance de certaines femmes pour des odeurs de transpiration spécifiques à certains mâles. Vous connaissez certainement cette expérience. La signature spécifique de nos gènes, attire la ou le porteur des gènes correspondant.( Lui je ne peux pas le sentir)
Donc nous réduisons le hasard de rencontres fortuites entre deux sexes opposés par ces contraintes biologiques. IL: n’y a pas que cela, puisque notre éducation et nos croyances, qui nous vient de nos parents, guident aussi notre choix quant à un partenaire éventuel. Encore la, le libre arbitre est limité. Établissons une formule mathématique à l’aide de ces différents paramètres et nous en viendront à comprendre que les chances qu’un tel et une telle se rencontrent et conçoivent un enfant ensemble sont très fortes, sinon évidentes. Surtout dans le contexte ou vivaient nos ancêtres qui habitaient de générations en générations dans la même région. Ce que nous appelons les valeurs qui nous sont transmise par notre famille et qui nous sont inculquées depuis l’enfance, sont des contraintes qui à l’age adulte deviendront subconscient, qui dicterons inconsciemment nos choix. Les psychanalystes de tout acabits vivent de ces contraintes refoulées ils peuvent en témoigner. Le libre choix n’existe pas, malgré ce que l’ont croit.
Quant à la conscience. Elle n’a pas de couleur attitrée la conscience. Nous sommes conscient ou pas. Donc de dire que la conscience renaît après la mort est évident, puisqu’il n’y à qu’une conscience, plus ou moins forte, d’exister. Ce qui nous distingue, c’est la somme des expériences vécues dans nos milieux respectifs, qui déterminent notre personnalité. Individuelle. Ce que j’appelle la réintégration de nos actes d’une vie antérieure. De dire que des comportements X se reproduiront dans le temps lors de conditions Y, est dans la logique des choses, surtout connaissant la mécanique céleste et la stabilité de ses manifestations. Ne voyons nous pas des événements climatiques ou physique se répéter dans le temps ? Que des conditions propices à une réintégration de conditions en vue d’une réincarnation d’un être ayant vécus dans le passé est sous cet éclairage tout à fait crédible.
Vous êtes des adeptes de la science exacte et ne semblez accorder de crédit qu’a des démonstrations du genre de 2 +2=4 . Mais dans ces domaines il faut ajouter une variable qui n’est pas prouvable, mais mise en place pour développer une théorie. Lorsqu’une découverte se fait, personne n’y croit et ce n’est que des années plus tard, lorsqu’elle est démontrée par la science que tout à coup, les détracteurs s’en donnent le crédit. Il faut d’abord imaginer que quelque chose est possible pour pouvoir appréhender les possibilités.
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