Après une bonne nuit de sommeil, j'ai fait une lecture attentive de votre texte. Voyons ça.
Premièrement, mon impression générale. Ensuite, du cas par cas.
IMPRESSION GÉNÉRALE :
Je me trompe peut-être, mais votre texte me fait sérieusement penser à ces textes philosophiques où l'habilité langagière de l'auteur cache la vacuité du contenu. Ne vous fâchez pas, c'est seulement mon impression, je n'ai aucunement l'intention de me moquer de vous.
CAS PAR CAS
MERLIN :
Je suis en partie d’accord avec l’article qui décrit la conscience comme étant une particularité biologique et que celle-ci disparaît à la mort physique.
ÉVARISTE :
Vous partez du mauvais pied... y'a pas à rechigner ensuite si certains sont de mauvais poil pour vous répondre ;-)
Comme j'ai dit ailleurs, vous auriez dû commencer par nous dire de quel article il s'agit. Heureusement, quelqu'un l'a fait pour vous.
Vous assenez d'abord un truisme : «la conscience est une particularité biologique». Ça ne fait pas avancer les choses. (Tout de même, je préférerais «activité biologique»).
MERLIN :
«J’abonde aussi dans le sens de comparer la mort au sommeil, avec sa perte de conscience.»
ÉVARISTE :
Ouais ! Quant à moi, j'abonde dans le sens de comparer les pommes aux oranges, ce sont des fruits, mais où cela nous mène-t-il ?
MERLIN :
«Pour moi, la réalité quotidienne contient la démonstration de la vie et de la mort.»
ÉVARISTE :
Coudon, Merlin, vous le faites exprès ou quoi ? À naviguer de truisme en truisme, sur quelle île comptez-vous échouer ?
MERLIN :
«Si je vais un peu plus loin [...]»
ÉVARISTE : Mais vous n'avez pas encore pris la route.
MERLIN :
«[...] dans ce raisonnement, [...]»
ÉVARISTE : «raisonnement» ? Soyez sériez, Merlin !
MERLIN :
«[...] je constate que le sommeil contient une partie, ou la conscience émerge tout à coup après une étape inconsciente. Ce sont les rêves. Vous me direz que les rêves se déroulent dans le corps biologique c’est vrai, mais en tant que démonstration d’un phénomène cela importe peu au développement de ma théorie.
ÉVARISTE :
Découragé, j'abandonne. Je ne peux pas aller plus loin.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.
Bonne journée.
Évariste
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