Ooooou, tu rêves bonhomme. Je pense que ça va faire 4 fois que je te demande des références sur le sujet.
Tu peux continuer à t'imaginer que tes questions sont d'envergure et embarrassante si tu veux. Je trouve ça amusant. Ben oui, parce que c'est toujours des vieilles affaires poussiéreuses dont les réponses ont été données il y a 20, 30 et même 100 ans dans certains cas.
Pour ce qui est de tes fatigants de serpents, et bien réfléchi plus loin que ton nez. La perte d’un caractère morphologique comme un membre antérieure représente une décroissance d’information.
Le créationnisme n’a jamais impliqué la fixité des espèces. La variabilité peut s’installer dans une espèce et augmenter sans que la quantité d’information globale ne change.
Cette quantité d’information globale, je l’a défini comme le nombre de fonctions ou de caractères morphologique encodé dans l’ADN de l’espèce. Autrement dit, un chien restera toujours un chien. C’est-à-dire que son nombre de caractères morphologiques, anatomiques, … (tête, queue, museau, poils, 4 pattes, estomac …) reste toujours constant. Il n’y a pas d’augmentation de « l’information » contenu dans l’ADN. Seul un changement sur une information déjà présente (longueur du poil par exemple) est possible.
Les 150 dernières années d’étude en bactériologie nous disent que jamais une espèce bactérie X est devenu une autre espèce. La résistance aux antibiotiques ne transforme pas une bactérie en une autre. La bactérie X reste une bactérie X. Les bactéries produisent des millions de descendants dans une année et on n’arrive pas à observer le moindre changement d’espèce. Pourtant, c’est l’argument de taille des évolutionnistes …
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