Ben, je ne vais pas donner les références une cinquième fois (voir https://forum-sceptique.com/archives/24659.html#24659 ). Pas ma faute si ce qui ne vous convient pas ne s'accroche pas à votre esprit. On appelle ça de la pensée sélective. C'est cette même pensée qui vous faits trouvez des faits "fatigants", parce qu'ils ne rentrent pas dans votre pet-théorie.
Julien: "Ben oui, parce que c'est toujours des vieilles affaires poussiéreuses dont les réponses ont été données il y a 20, 30 et même 100 ans dans certains cas"
Ca prouve simplement que les "réponses" créationnistes sont fausses et dépassées depuis très longtemps. Surtout car de pareilles "réponses" n'infirment en rien le caractère factuel de certains organes vestigiaux. Cela dit, l'article que je cite date d'il y a trois ans.
Julien: "La perte d’un caractère morphologique comme un membre antérieure représente une décroissance d’information"
Qu'en savez-vous? La perte d'un membre peut très bien être due à une "augmentation d'information": l'acquisition de facteurs d'inhibition. Pour réfléchir pas trop hâtivement sur quelque chose, il faut connaître un peu le sujet. N'est-ce pas?
Julien: "Autrement dit, un chien restera toujours un chien. C’est-à-dire que son nombre de caractères morphologiques, anatomiques, … (tête, queue, museau, poils, 4 pattes, estomac …) reste toujours constant"
Qui dit le contraire? Ce n'est pas parce que les descendants peuvent différer des parents que les parents changent forcément. Par contre, l'accumulation de changements peut très bien faire varier ce que vous appelez (et démontrez nullement) la "quantité d'information fixe". Vous le niez de moins en moins fortement, ce qui rend encore plus floues les limites que vous voudriez voir entre les espèces. Votre exemple des bactéries est particulièrement faiblard puisque la résistance aux antibiotiques est justement l'acquisition de nouvelles "informations".
Enfin, je retire de votre patinage actuel que vous commencez à accepter certains principes de base de l'évolution. Continuez à essayer de nous convaincre, vous êtes sur la bonne voie.
Jean-François
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