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Les enfoirés se congratulent la tête dans le cul pendant que moi je travaille


Posted by GATTI , Mar 16,2002,01:51 Index  Forum

Une lecture psychique est proposée ici aux gens sérieux et responsables qui ignorent ces faits. D'autres médiums comme Eileen GARRETT ont fait exactement les mêmes prestations pour acceder a des informations inconnues des vivants (uniquement des morts) .
Excusez les petites fautes de transcription car le texte est tiré par reconnaissance automatique de caractères.


DEBUT DE L'EXTRAIT:
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Avant d’atteindre la voiture, la jeune fille avait dû s’arrêter en s’appuyant lourdement sur sa mère, avant d’avoir la force de faire les derniers pas. Elle se cramponnait en tremblant, tout son corps secoué par les efforts qu’elle faisait pour aspirer de l’air dans ses poumons malades. Elle en aurait pleuré, mais les larmes elles-mêmes l’épuisaient.
Elle fit appel à ses dernières forces et marcha jusqu’à la voiture. Tandis que sa mère l’enveloppait d’une couverture pour la préserver du froid de cette journée de mars 1938, elle pensait amèrement à l’absurdité de cette visite. Qui était cet Edgar Cayce qui se prétendait diagnosticien psychique et dont les radotages étaient censés accomplir des miracles ? Les plus grands spécialistes n’avaient rien pu pour elle. Leurs traitements et leurs opérations n’avaient fait que retarder un peu les progrès de sa tuberculose afin qu’elle puisse savourer le douteux plaisir d’une vie au lit.

Enfin, ce serait peut-être amusant de voir ce saltimbanque jouer la comédie et se démener pour faire croire aux gogos qu’ils en avaient pour leur argent.
Maman ! Nous avons déjà dépensé une fortune pour mes opérations. Combien va-t-il te prendre encore, ce charlatan ?

Ce n’est pas un charlatan. J’ai vu des gens à qui il a rendu la santé, et certains assurent qu’il les a sauvés alors que les médecins les jugeaient perdus. On l’appelle le Miracle de Virginia Beach. Il paraît qu’il a guéri des milliers de personnes.

Maman ! Tu ne réponds pas à ma question.
Combien ?
Vingt dollars pour un diagnostic psychique et puis dix dollars pour ce qu’il appelle une seconde Iecture, pour voir quels sont les résultats de son traitement. C’est tout ce qu’il demande, quelle que soit la fortune de ceux qui le consultent. Et si on n’a pas les moyens de donner vingt dollars, il fait sa lecture gratuitement. Il paraît qu’il donne dix fois plus de diagnostics gratuits...
 C’est un appât ! Naturellement ! Ensuite, il va demander cinquante dollars et puis cent et autant

qu’il pensera pouvoir soutirer aux crédules. Il faudrait être imbécile pour gaspiller tout cet encens et ces abracadabra pour vingt dollars seule-ment.
 II ne se sert pas d’encens, voyons ! Il s’allonge simplement sur un divan et s’hypnotise. Et puis dans son sommeil, son esprit ou son subconscient ou je ne sais quoi peut aller partout dans le monde, ausculter un corps et voir exactement ce qui ne va pas, et dire comment le guérir, même des choses que les médecins ne peuvent pas voir aux rayons X.
 Mon Dieu ! J’aurai tout entendu ! Et veux-tu me dire où ce somnambule a fait ses études de médecine ?
 Mais il n’en a fait aucune. Il paraît même qu’il n’a pas son certificat d’études. Quand il est réveillé, conscient, il ne connaît rien à la méde-cine, il ne sait pas grand-chose, en dehors de la Bible. I1 ne comprend même pas ce qu’il a dit pen-dant son sommeil et il est incapable de prononcer certains mots.
 S’il m’était permis de faire un souhait, sou-pira la jeune fllle, je demanderais d’avoir assez de force pour pouvoir lui rire au nez quand il me racontera ses sornettes.
 J’aimerais que tu ne sois pas aussi sceptique.
Quand j’ai pris rendez-vous pour ta lecture, ils m’ont dit qu’il était indispensable de croire, de vouloir être aidée. Je t’en prie, essaye d’avoir un peu de foi.
 De foi ! Est-ce que la foi refermera un trou de deux centimètres dans mon poumon? Est-ce que la foi remettra en place mon coeur, et mon poumon gauche, quand tout l’air qu’on m’a pompé les a
repoussés de côté ? Ne sois pas naïve, maman !
Écoute, ma chérie, cet Edgar Cayce a sauvé tant de gens ! Et nous n’avons plus d’espoir. Tous les autres traitements ont échoué. Il y a même des médecins qui croient en lui. La plupart ne veulent même pas lire ses diagnostics, mais ceux qui les ont suivis ont constaté qu’il accomplit des mira-cles. Ils font même faire des lectures à leurs propres malades quand toute leur science ne peut leur dire ce qui ne va pas.
Est-ce que tu as parlé à ce Cayce de ma maladie et des opérations que j’ai subies ?
Pas un mot ! J’ai simplement demandé un diagnostic psychique pour une de mes filles qui est malade.
Parfait. Alors sois gentille. Je veux bien me faire examiner ou je ne sais quoi, bien que ce soit parfaitement idiot, mais à une condition. Ne parle pas à Edgar Cayce de ce que j’ai, ni de ce que l’on m’a dit. S’il peut s’endormir et découvrir tout seul ma maladie, alors je croirai peut-être aux miracles. Tu me le promets ?

Oui, murmura la mère après un instant d’hésitation. Si c’est ce que tu veux, je ne lui dirai rien.
La voiture tourna à droite à la 14e Rue, et s’engagea dans une avenue sinueuse longeant un
lac. Un obélisque de ciment blanc portait le nom d’Arctic Crescent. Les deux femmes virent bientôt
se dresser au bord de l’eau l’église catholique de Notre-Dame-de-la-Mer et, en face, une grande mai-
son aux volets verts. La pelouse était entourée d’une haie vive et des massifs de fleurs révélaient que le jardin était amoureusement tenu.
Comme ils se garaient devant la maison, un prêtre en sortit. I1 leur sourit et traversa la route pour entrer dans l’église.
Les deux femmes descendirent de voiture et marchèrent lentement et péniblement vers la maison ; la jeune fille leva les yeux et vit une petite plaque de bois accrochée à une potence de fer forgé. Son regard cynique lut les mots pyrogravés : Association pour la Recherche et la Connaissance.
Mon Dieu, c’est encore plus dingue que je ne croyais, murmura-t-elle en haletant.
Elle se demandait quels rites fantastiques l’attendaient derrière cette porte toute simple.
La femme qui ouvrit la porte provoqua la première surprise de la jeune fille. Elle avait une
soixantaine d années, des cheveux de grands y grisonnants et eux bruns lumineux. Son visage avait une beauté sans âge, comme éclairé de l’intérieur. Elle était petite, menue, délicate mais moins frêle qu' elle ne le paraissait ; la jeune fille sentit chez elle une force cachée.
La femme sourit et tendit la main.
Entrez donc. Je suis Gertrude Cayce. Les autres sont déjà arrivés.
Cette vieille dame chaleureuse et sereine était elle la femme du mystique ?
La jeune fille regarda autour d elle, cherchant en vain le décor auquel elle s’attendait, les meubles orientaux les masques étranges, un rideau de satinette brodé des signes du zodiaque ou même peut-être un tableau phrénologique d’une tête.
Elle ne vit qu’un salon modeste, une maison sans prétention. Le mobilier n’était ni ordinaire ni
élégant, et certains fauteuils avaient été récemment recouverts avec goût. C’était une maison familiale, et les photos de deux jeunes gens confirmaient cette impression.
Gertrude Cayce la soutenait dans un petit couloir donnant dans une aile ajoutée à la maison. La
jeune fille dut s’arrêter un instant pour reprendre sa respiration et tout son cynisme lui revint. Naturellement, le mystique se livrait à son industrie en dehors de la maison. Cela expliquait que cette aile ait été ajoutée. C’était là que la comédie se déroulait. Elle se promit de ne pas à la vue d’un turban rose vif ou d’un cobra empaillé ni en entendant les incantations stupides lancées par une voix solennelle. Elle n’avait pas le droit de rire, ses poumons n y résisteraient pas.

Soudain, elle se trouva dans une pièce ensoleillée « donnant sur le lac, une pièce en désordre, toute simple. Derrière la maison, deux petits garçons pêchaient d’une jetée de bois.
Elle chercha désespérément quelque chose qui confirmerait son scepticisme. A sa droite, il y avait
un divan avachi poussé contre le mur, un vieux fauteuil, une chaise, un guéridon. Sur la gauche,
d’autres chaises et un classeur désuet, une vitrine pleine de coquillages et de pierres, des souvenirs,
des éléphants d’ivoire. Le plancher était recouvert d’une natte de jute usée, et au-dessus de la porte, côte à côte, il y avait les portraits d’Abraham Lincoln et de Robert E. Leel. Et d'un Général sudiste de la guerre de Sécession. (N.d.T.)
Des photos jaunies,photos de famille visiblement, occupaient une partie des murs.
Au-dessus du divan, il y en avait des dizaines, portant des dédicaces à Edgar Cayce, et des remerciements pour ce qu’il avait fait. Partout ailleurs, des tableaux et des gravures, religieux pour la plupart.
Elle vit ces preuves d’une vie simple, presque banale, et entendit la voix de Gertrude Cayce.
 Voici Edgar Cayce, celui qui va vous guérir.
Il se levait, derrière un vieux bureau encombré de papiers, en repoussant une machine à écrire. La jeune fille regarda cet homme-miracle, celui qu’elle avait traité de charlatan, d’escroc vivant de la crédulité publique.
Il était grand et mince, mais ne ressemblait en rien à un quelconque fakir. Ses cheveux clairsemés étaient châtains, ses oreilles un peu décollées sa igure ronde, ses lèvres charnues. Il avait l’air d’un bon vivant plutôt que d’un ascète. Les yeux gris-bleu pétillaient derrière les lunettes sans monture. On aurait pu le prendre pour un pasteur, un pro-fesseur, un médecin, même un vendeur de maga-sin, n’importe qui sauf l’individu que la jeune fille avait imaginé:
Il lui prit la main en souriant.
J’ai prié pour que je puisse vous guérir mademoiselle, parce qu’il est évident que votre malheur
est grand. Je ne peux rien vous promettre, bien-sûr. Cela échappe à mon contrôle.
Même sa voix était banale, douce, presque timide. La jeune fille était stupéfaite. Elle avait
subitement l’impression qu’il existait dans la vie d'Edgar Cayce une niche qu’elle devait occuper, elle seule. C’était un sentiment d’amitié qu’elle éprouvait, celui d’être pour le moment la
personne la plus importante de la vie du guérisseur.
je ne sais pas, bredouilla t-elle. C'est si différent de ce que je croyais. Je ne comprends pas.
Moi non plus. Je sais seulement que je possède un don étrange. Je m’endors, et les mots sortent de ma bouche, des mots que je n’entends pas et que je ne comprends pas ensuite quand je les, relis. Tout ce que je sais, c’est que, depuis la pre-mière fois que c’est arrivé, en 1910, il y aura vingt-huit ans ce mois-ci, des milliers de personnes ont été guéries et pas une seule blessée par mon pouvoir. Aujourd’hui, avant de m’endormir, je vais faire une prière spéciale, pour que ce qui sortira de ma bouche vous guérisse.

Une jolie femme blonde entra, un bloc de sténographe à la main. C’était Gladys Davis, la secrétaire d’Edgar Cayce depuis 1923. Elle s’assit dans. le fauteuil près du divan.
Qu’est-ce que je dois faire ? demanda nerveusement la jeune fille.
Rien, ma chère petite, lui dit Gertrude Cayce en souriant. Asseyez-vous, et écoutez. Ce ne serait pas mauvais si vous profitiez de ce moment de méditation pour réfléchir à votre besoin de guérison et à ce que vous pourrez faire pour aider les autres une fois guérie. Très souvent, la lecture commence par ces mots :  Ce serait mauvais de guérir le corps sans guérir l’âme. «
Edgar avait ôté sa veste et défait sa cravate. Il déboutonna son col et ses manchettes et s’assit sur le divan pour enlever ses chaussures. Puis, avec un sourire timide, il s allongea et plaça les deux mains sur son front, paumes en dehors.
Il sourit à Gertrude, assise près de lui. Quand leurs regards se croisèrent, la jeune fille se dit qu’elle n’avait jamais senti un tel courant d’ amour et de compréhension passer entre eux êtres. Gertrude caressa légèrement la joue de son mari. Edgar Cayce, l’énigme, ferma les yeux, baissa les mains et les croisa sur sa poitrine.
Gertrude et Gladys fermèrent aussi les yeux. Après une minute ou deux de silence, Edgar Cayce soupira profondément et le rythme de sa respira-tion changea. Gladys prit son crayon.
Gertrude se mit à parler à mi-voix, répétant la suggestion hypnotique qui provoquerait la lecture.
Nous avons devant nous le corps de R... G..., qui est présente dans cette pièce. Vous allez examiner ce corps avec soin, et me dire l’état dans lequel vous le trouvez en ce moment, ainsi que les traitements destinés à le guérir. Vous parlerez distinctement et lentement, en répondant aux questions que je poserai.

Pendant quelques instants, on n’entendit que les halètements pénibles de la jeune fille. Puis Edgar
Cayce se mit à marmonner, répétant tout bas la suggestion. Soudain, sa voix résonna clairement ,
avec autorité. La jeune fille et sa mère sursautèrent.
Nous voyons son état et les causes spécifiques de cet état. Les effets des troubles ont été pris pour les causes. Le corps présente une affection de la circulation pulmonaire qui affecte tout le système.

La jeune fille était stupéfaite. La voix du dormeur lui disait de quoi elle souffrait, mais, de plus, que sa maladie des poumons était provoquée par quelque chose de profond, d’insoupçonné.
Les causes proviennent de pressions existant dans le système cérébro-spinal, et qui, par les parties nerveuses sclérosées de ce système, ont épaissi. les tissus, provoquant ainsi une pression sur la capsule du poumon. .
La lecture déclara que la sensation d’étouffement était provoquée par une accumulation de toxines dans la circulation pulmonaire, toxines qui devraient être éliminées par des poumons normaux. Puis :
... Nous trouvons dans le système nerveux les sources ou la cause de ces troubles. Ces pressions se produisent dans le dorsal supérieur, et plus spécifiquement dans le cervical inférieur, provoquant un épaississement des tissus qui s’enflamment et · appuient sur la plèvre.
La jeune fille pouvait voir, de là .où elle était assise, une partie de la lettre qu’Edgar Cayce était en train de taper quand elle était arrivée. Une phrase lui sauta aux yeux au milieu d’un embrouil-lamini de fautes de frappe. Il avait écrit, sans ponctuation : Je suis plus heureux que je saurais vous dire d’apprendre que vous allez mieux grâce à une de mes lectures je sais que Dieu me guide quand je réçois des lettres comme la vôtre...
Un homme aussi peu instruit ne pouvait sûre ment pas employer ces termes médicaux de la lecture ! A moins que cette ignorance simulée cache des connaissances certaines? Elle sentait revenir son scepticisme. Mais elle sursauta en entendant les mots suivants :
Cette affection a été primitivement causée par l’inhalation d’un corps étranger, de la poussière ou quelque chose d’analogue. Puis avec la pression produite par une blessure ou un traumatisme de l’épine dorsale, les troubles se sont accentués.
La jeune fille vit sa mère se redresser, bouche bée. Personne, même le plus habile des charlatans, ne pouvait savoir que, quinze ans plus tôt, elle était tombée d’un arbre et s’était blessée dans le dos, exactement dans la région indiquée par la voix autoritaire.
C’était donc ça qui avait affecté ses poumons !
Tout lui paraissait logique, à présent, ainsi que 1 autre cause, quand elle avait surveillé le terrain de jeux d’un centre récréatif de la banlieue de New York, et respiré la poussière, la suie et les vapeurs d essence de cette zone industrielle. C’était ça, le corps étranger logé dans des poumons affaiblis par la chute de 1 arbre, qui avait ouvert la porte à sa tuberculose. Ses doutes s’envolèrent, et pour la première fois depuis son arrivée, elle sentit naître en elle un vague espoir.
Nous commencerons donc par ceci, disait la voix. Premièrement, préparez un tonneau ou un fût de chêne, calciné à l’intérieur, d’environ cinq litres. Remplissez-le à moitié d’eau-de-vie de pommes ; pas de cidre, d’eau-de-vie de pommes pure. Bouchez-le bien mais tenez-le près de l’endroit où l’évaporation devra se faire. Préparez de manière que les vapeurs puissent être respirées...
Au seul mot d’eau-de-vie, la mère avait rougi d’indignation. Elle était violemment antialcoolique
et le mot seul était un anathème. Comme si l’homme endormi l’avait deviné il ajouta pas l'alcool , mais les vapeurs de l’alcool, aspirées par la bouche et par le larynx dans les bronches et les poumons. Faites ça au moins trois ou quatre fois par jour.
Les instructions continuèrent, des exercices de la, colonne vertébrale, un régime :
Ne buvez jamais de lait cru ! Des œufs et du lait cuits, oui.
La jeune fille poussa une exclamation de surprise.
Mais on m’a fait boire des litres de lait de vache cru !
De nouveaux conseils suivirent, concis, précis, le nom d’un médecin près de chez elles qui possédait l’appareillage nécessaire, et une nouvelle réconfortante, elle pouvait fumer, mais pas plus de cinq ou six cigarettes par jour:
Faites tout cela et nous vous guérirons. Nous avons fini pour le moment
Gertrude se pencha en avant murmurant quelques mots, une formule habituelle suggérant à l’esprit et au corps de se réveiller. Enfin, Edgar Cayce poussa un profond soupir, ouvrit les yeux et se releva en bâillant.
Vous avez obtenu quelque chose? demanda-t-il.
Tout assura Gertrude en souriant. Tu as dit qu’elle guérirait et tout ce qu’elle devait faire pour ça.
La figure d’Edgar Cayce s’illumina, ses yeux brillèrent de joie.
- Ah! comme je suis heureux ! Je ne saurai pas ce que j ai dit tant que Gladys ne l’aura pas tapé, mais quoi que ce soit, vous devez le faire et vous guérirez.
Je suis abasourdie, avoua la jeune fille. C’est si... si fantastique. Jamais je n’ai entendu parler de cette inhalation de vapéurs d’eau-de-vie.
Moi non plus, lui dit Gertrude, jusqu’à ce que ça me sauve la vie. Je mourais de tuberculose dans le Kentucky. Les médecins m’avaient aban-donnée. Et puis Edgar, au cours d’une hypnose, a été renseigné sur ce tonneau d’eau-de-vie et sur beaucoup d’autres choses. En quelques mois j’étais complètement guérie.
Je le ferai ! Je ferai tout ce que sa vision a dit  et moi aussi, je serai guérie ! ,
I1 fallut plus de trois semaines pour trouver et préparer le tonneau de chêne et commencer les inhalations. Trois mois plus tard, la jeune fille revint pour une nouvelle lecture. La bouffissure des seins et de la figure avait disparu, les couleurs étaient revenues aux joues et elle avait perdu six kilos de graisse inutile. On avait interrompu les pneumothorax et elle se sentait mieux que jamais.
Le médecin qui la suivait était stupéfait.
Je ne comprends pas. Je ne sais pas ce que vous faites, mais quoi que ce soit, continuez.
Elle n’osa pas lui parler du miracle de Virginia Beach mais elle suivit les conseils de Cayce
Jusqu'a ce qu’elle ait complètement recouvré la santé ; elle se maria et mena une vie active et heu-
reuse. La dernière fois qu’elle vint se présenter à son bienfaiteur, il n’y avait eu aucune rechute, et sa résistance aux infections était extraordinaire.
Le récit documenté de ce cas se trouve aujourd’hui dans la chambre forte de Virginia Beach, avec ceux des 15 000 autres lectures faites par Edgar Cayce, diagnosticien psychique, voyant, mystique, l’homme le plus remarquable de tous les temps. Ce n’est qu’un monument de plus, jalonnant la longue route difficile suivie par Edgar Cayce au cours d’une vie étrange et fertile.

FIN de l'extrait du livre de Joseph Milard "Edgar Cayce, l'homme du mystere"

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CECI POUR REPONDRE AU MESSAGE D'UN ENFOIRE qui se congratule avec d'autres enfoirés au sujet l'ignorance des gens qui travaillent SUR LE PARANORMAL.
Ces faits SON AUTHENTIQUES ils sont consignés dans la chambre forte de la fondation avec de milliers d'autres.. Les connards qui se livrent ici a l'insulte de la tete dans le cul et qui n'ont rien d'autre a proposer parcequ'ils ont vraiemnt la tete dans le culs.Ils regardent leur merde comme d'autres de la meme espece regardent leur nombril.



Re:... d'autre information...

Re: ... d'autre information... -- Mario T.
Posted by Sébastien , Mar 15,2002,11:18 Post Reply Forum

Il semble que oui. Ce que je me demande, moi le non-psychologue, non-psychiatre, scientifique, c'est comment faire la distinction entre:

1) Quelqu'un qui n'est pas suffisamment intelligent pour percé le mystère de la supercherie ("pas suffisamment intelligent", ça veut pas dire "épais", ça veut juste dire "en manque de connaissances pour expliquer un phénomène ou un concept")

2) Quelqu'un qui par sa nature doit nourrir son besoin d'irrationnalité (qui serait intrinscèque; ce qui cause certains problèmes conceptuel*)

3) Quelqu'un atteint d'une maladie mentale
Les croyances irrationnelles semble être un symptôme qui se manisfeste de la même façon dans les trois cas. Je pense qu'on peut définir la santé mental comme étant "la capacité de faire la distinction entre une émotion et la raison" (Bill ?).
Dans ce cas, la personne qui possède une croyance irrationnelle pour les raisons 1 et 2 sera en mesure de soit rejeter la croyance, soit la reconstruire lorsque cette dernière entre en contradiction avec des faits.

La troisième aura tendance à interpréter les faits de façon à consolider la croyance, ou dans le pire des cas, refusera d'y croire. Refuser de croire aux faits, c'est assez pathologique merci.

Il faut aussi faire attention de bien faire la distinction entre croyance irrationnelle et croyance rationnelle.

 Comment expliquer que certaines personnes ne nourrissent pas ce besoin. À quoi sert cette "énergie" psychologique pour un "non-croyant" ?

 Est-ce ce besoin qui motive les chercheurs ? (couplé avec le désir de trouver la/une/des vérité(s) )



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