Chose rare, je suis sans mot... ou presque. Chacun de vos trois derniers paragraphes m'amène moults réflexions. Vos points m'apparaissent très pertinents. Bien que l'on ait tendance, en pensant aux racistes, à penser «paranoïa», votre approche évoquant au contraire la schizophrénie est fort attrayante. Tentons ceci: Le raciste serait-il le paranoïaque, alors que le révisionniste serait le schizophrène? Deux maladies identitaires contrastant pour un seul racisme? Mes neurones et synapses vont travailler cette nuit. Je vais faire part de cette réflexion à mes amis psychanalystes; je pense que de savoureuses discussions en naîtront, j'en relaterai les points forts ici si cela intéresse quelqu'un. À bientôt Florence et merci, Mario.