J : Toujours rien à dire sur :
1) Il y a 10E600 séquences possibles pour un gène de 1000 bases ;
2) Une estimation de 10E20 séquences potentiellement utiles pour une espèce X de bactérie est raisonnable. (à cause du nombre limité de substrats et de protéines déjà présente dans la bactérie et à cause de la spécificité des protéines envers les substrats auxquelles elles se lient).
3) Les séquences « utiles » observé dans les plus petits génomes sont dispersées à l’extrême dans l’océan des 10E600 possibilités.
Ces trois points justifient mon calcul. La réfutation des familles de gènes est écartée. Voilà. Quel étrange silence de votre part ...
Pour ce qui est de votre exemple, il n’est pas contraire à mon scénario. Vous attachez VOTRE interprétation à une observation. Vos fantasmes ne valent pas les faits énumérés 1 à 3.
JF : Il souligne que les faits, quand ils sont bien étudiés, supportent l'évolution.
J : Petit comique, c’est exactement le contraire ! Tient, un biologiste me disait en fin de semaine que les expériences de labo sur la « symbiose » amibe-bactérie nécessitaient que l’on supprime les enzymes de l’amibe qui, naturellement, aurait digéré la bactérie. Parce que vous et les autres licheux croyez Platecarpus sur parole, sans **étudier** ses propos, vous buvez ses arguments comme de pauvres idiots. C’est lamentable !
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