La «prédominante» contribution de nos émotions envers l’autre doit-elle aller jusqu’à un état d’innocence comme décrite dans la citation suivante très connue par exemple:
«Si vous ne redevenez pas comme des petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux.»
Dominique:
Ainsi vous définissez l'innocence comme "La «prédominante» contribution de nos émotions envers l’autre" poussée à l'extrême (dites-moi si j'ai mal compris). D'après la façon dont vous présentez cette définition, puis-je simplifier en disant: l'empathie poussée à l'extrême?
Je vois mal comment l'empathie pourrait être un défaut. Comme le fait remarquer K, elle est nécessaire à la compréhension de nos semblables.
Empathie: Faculté de s'identifier à quelqu'un, de ressentir ce qu'il ressent. source: Le Petit Robert
Y a-t-il quelqu'un qui soit contre la vertu dans la salle?
Par ailleurs, je ne suis par certaine que l'empathie soit le propre des petits enfants... il me semble au contraire qu'on doit la leur inculquer: y a-t-il un spécialiste du développement de l'enfant dans la salle?
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