Premièrement, si la NASA a besoin de fonds pour réaliser le voyage, elle n'a qu'à faire affaire avec un sponsor qui commanditerait le voyage et, par le fait même, joindrait l'utile à l'agréable. On en a parlé récemment, à propos de la publicité sur la fusée. Et, comme commanditaire, j'en vois un très de circonstance de par le nom et la nature du produit. Vous y pensez, là, hein, vous autres... Lequel, pensez-vous, est le plus approprié...???
Ben, voyons donc, ce serait certainement le fabricant de la barre de chocolat Mars, qui est tout craché pour commanditer ce voyage. D'abord, avec un nom pareil, imaginez la colossale publicité que pourrait faire la NASA et le chocolatier. Et j'ai trouvé le slogan qui est juste à point (au point, justement, que j'ai l'intention de le soumettre à la NASA, question de me faire un peu de fric sur son dos.) Le voici, je vous le donne, en ayant confiance que vous ne me volerez pas l'idée et que vous ne me damerez pas le pion. Attention, avec une toune de Céliiiine en «sound off», ça donne ceci :
Un voyage sur Mars,
C'est pas une farce,
C'est bon en chocolat,
grâce à la NASA
(ici, petit clin d'oeil compris à Florence...)
Et puis, pensez à toutes les calories que les astronautes auront à dépenser pendant le voyage. Pas d'problème : une barre Mars, et hop, envoye de l'énergie à plein, et hop lalère...
Parlant d'énergie, justement, une question me chicote à ce propos, et c'est mon 2ème point. Dans tous les documentaires et reportages »sérieux» que j'ai lus, vus et entendus sur les voyages vers Mars, on a abordé tous les aspects de la vie humaine durant ces voyages : la nutrition, le sommeil, les activités, le comportement, les effets psychologiques, les relations sociales... mais, au sujet de relations, on en a oublié une bien bonne, de relation.
En effet (et, ici, je ne voudrais pas que vous pensiez que je suis obsédé par la chose...), si un voyage humain vers Mars dure quelques mois, et s'il y a des femmes et des hommes dans ce voyage, se peut-il que la libido se fasse sentir à un moment donné. Je veux bien croire que ces valeureux astronautes peuvent faire preuve d'abstinence pendant le voyage, mais la question de la libido, elle, comment se résout-elle. Surtout qu'une bonne partie du voyage s'effectue en non-gravité, si j'ai bien compris. Et les seuls exemples d'activité semblable en non-gravité que j'aie vue est celle de Barbarella qui était aux anges (littéralement) lorsqu'elle a rencontré un homme-ange et qui a bien déployé ses ailes lors de l'activité cérébrale de circonstance.
Bon, on dira que cela n'a pas tellement d'importance, mais cela me chicote quand même. Même Julie Payette n'en a pas parlé lors de ses apparitions médiatiques. Et pourtant, cela fait partie du menu quotidien, au même titre que, disons, justement, une barre Mars pour activer la circulation.
Bon, je disais ça en passant. Si vous avez des références sérieuses (et, surtout, plus récentes que Barbarella) à me donner, allez-y, ne vous gênez pas (C'est peut-être pour cela que la NASA veut utiliser seulement des robots : avec eux, pas de problème de ce côté : ils ne mangent pas de barre Mars, et, contrairement à l'ange de Barbarella, ils n'ont pas de sexe, littérairement parlant, s'entend...).
Bon, tiens, à force de parler... chocolat, cela me donne le goût d'aller m'en jeter une barre derrière la cravate. À la prochaine.
C.
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