Si on avait suivi votre manière de faire, on en serait probablement encore à considérer le soleil comme une espèce d'ouverture dans le firmament, qui laisse passer la lumière (provenant d'on ne sait trop où) en plus grande quantité que la lune. Explication qui est, a posteriori, encore moins valable que l'idée qu'avait les grecs (ou les égyptiens) du soleil: un char divin et lumineux (qui produit donc la lumière) qui traverse le ciel.
Bref, à s'en tenir à la lettre d'un texte anachronique, on passe à côté de la nature des choses.
Jean-François
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