Les émotions relèvent de la partie la plus primitive du cerveau. C'est un bagage que nous partageons avec les animaux. Aussi, en suppriment les émotions (ce qui n'est pas souhaitable pcq ça nous rendrait apathique) nous ne deviendrions pas des animaux. Ce serait le contraire.
Par ailleurs, je ne dis pas que les interférences émotives soit l'apanage des non-sceptiques. Je crois que des interférences émotionnelles peuvent agirent chez n'importe qui. C'est une des raisons pour lesquelles la méthode expérimentale commande aux chercheurs de prendre des précautions qui neutralisent (en partie seulement) certains interférences. Par exemple, en pharmacologie la recherche clinique se fait en "double aveugle". Pendant l'expérimentation le chercheur (pas plus que les sujets) ne doit pas savoir qui reçoit le médicament et qui reçoit le placebo. De cette manière les préjugés du chercheur sur la valeur du médicament n'interfère pas sur la mesure.
Bill
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