En fait, peut-être plus qu'une manière de raisonner particulière, est-ce un élément essentiel au maintien de la croyance envers et contre toute preuve factuelle contradictoire? Puisqu'il est impossible que l'on se trompe, et que la conclusion est déjà tirée, peu importe les preuves: elle s'accorderont de toute façon automatiquement à la théorie que l'on défend. Peu importe, aussi, l'état de nos connaissances qui ne sont que peu de choses face à notre infaillibilité.
Je suis conscient d'être trop bref dans mon développement. Des nuances (teintes dégradées, Denis?) devraient être apportées. Mais, en l'état, l'idée est plus sujette à discussion qu'un texte trop élaboré.
Jean-François
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