(La chercheuse, (Le docteur Pepperberg ) conclut en disant que ces différentes espèces, que sont les primates et les oiseaux, ont peut-être eu un lointain ancêtre commun ou ont eu une évolution convergente.)
http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N2668.asp
Le système nerveux de la plupart des animaux ressemble à un ver parasite qui s’est incrusté dans l’organisme et y a étendu un réseau de racines et radicelles, pour le contrôler.
Nous savons qu’un organisme peut vivre sans cerveau. Le coeur peut battre à l’extérieur du corps et des traumatisés crâniens peuvent être maintenus en vie.
Nous pouvons dire qu’à l’origine, les organismes primaires étaient liés au forces de la nature.
Qu’ils étaient soumis au cerveau et au coeur planétaire. Des organismes simples, dépendants des cycles de luminosité diurne et nocturne, ainsi que des forces attractives cyclique des corps célestes.
Lorsque le ver conscient (d’origine extra terrestre) à parasité un premier organisme primaire sur terre, il a dû participer à la survie de sa proie, pour survivre lui-même. Aussi petit qu’il fut à ce moment, il était le premier être intelligent sur terre, l’ancêtre du système nerveux des animaux. L’évolution à put se faire à partir de cette relation de parasite, parasité. Un être intelligent, qui au départ ne pouvait se développer et évoluer, sans la collaboration d’un organisme primaire soumit au forces de la nature, et qui de cette relation nouvelle, a put faire évoluer l’organisme parasité, dans le sens qu’il l’a voulut, soit une conscience évolutive de son environnement, par la formation des organes et des sens. La vue, l’odorat, l’ouïe, le goûter, la sensibilité tactile. Pour des possibilités toujours grandissante de survie, parce qu’encore soumis aux caractères primaires de l’organisme parasité, donc taxé de son instinct de survie, dont les mécanismes automatique du corps sont issus et toujours présents.
Toutes ces caractéristiques se retrouvent chez la plupart des animaux complexes.
La collaboration du ver et de l’organisme s’est reproduit avec d’autres, pour donner différentes espèces .C’est pourquoi le système nerveux des oiseaux et des primates ont les mêmes caractéristiques à la base, c’est le même ver qui à parasité des organismes primaires différents.
L’ovule est vivante et est maintenue en vie dans l”organisme femelle, comme les organismes primaires étaient maintenus en vie par les cycles de la nature sur la planète. Dès que l’ovule quitte sa niche, le ver (sperme) peut s’y incruster pendant une courte période, de la même façons, la planète ne dispose que d’un certains temps, pour développer la vie, puisque l’étoile en prenant de l’expansion, finira par la brûler. C’est la période ou elle se trouve à une distance spécifique de l’étoile. Puisqu’au niveau planétaire, c’est pendant la période féconde que la vie peut se développer, c’est dans cette période que le sperme stellaire (météores) féconde la planète.
La reproduction chez l’homme et plusieurs animaux, est une stratégie élaborée par le ver, pour pouvoir se reproduire rapidement. Tout le phénomène de l’évolution (planète et apparition de la vie), se trouve résumé dans le cycle de l’ovule et sa rencontre avec le sperme à l’intérieur de l’organisme animal. L’enfant naissant à déjà son ver bien implanté. Une autre mutation est possible pour le ver et c’est ce qui provoquera la prochaine phase de l’évolution. Le choc de la réintégration causé par la conception puis la période de l’enfance, fait perdre la mémoire au ver qui doit régresser au stade primaire. Il est à élaborer un nouvelle stratégie de reproduction qui sera la régénération consciente. Nous sommes ce ver. Notre conscience nous vient de lui.
(Extrait Des mémoires imaginaires, La vérité dévoilée, collection privée de Jésus)
Soyez bénis
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