Tu dis: "il s’agit d'images (...) l’archétype de la connaissance sous forme d’images et de symboles (...) Il s’agissait aussi d’une image."
DENIS: Une image vaut mille mots, c'est connu. Mais ça peut être un mirage, une analogie accidentelle qui ne mène pas plus loin qu'elle-même.
Quand vous parlez de mutations et de symbiose, c'est pour les brasser l'un dans l'autre pour dire à peu près n'importe quoi, par images interposées.
JULIEN: Avec le temps l’organisme et le vers on développé une relation symbiotique qui a *semblé* profiter aux deux. C’est l’apparition de l’homme. Le départ du paradis terrestre après avoir mangé du fruit défendu, sous l’influence du serpent est l’image.
DENIS: Vous faites remonter l'apparition de l'Homme à la période cambrienne? Ici, c'est le mot "homme", je pense, qui doit être pris au figuré. Vous ne parlez certainement pas d'un homme ordinaire avec deux bras et deux jambes.
Vous seriez plus facile à suivre si vous mettiez un astérisque* après chaque mot que vous prenez au figuré. J'ai bien peur que seuls les articles et les conjonctions échappent au marquage. :-)
Exercice pratique: Mettre des astérisques aux mots qui sont pris au figuré dans le texte suivant:
"La semence contient une information génétique qui décide des caractéristiques futures, la plante ou l’enfant réintègre ces principes de bases pendant sa croissance, en puisant dans les éléments de la matrice. L’information extra terrestre véhiculée par un météorite qui tombe sur terre, se réintègre de la même façons. Semence+ matrice= réaction = création de conditions nouvelles, et développement subséquent d’espèces, vecteurs de mutations."
JÉSUS: Je vous bénis tous.
DENIS: La réciproque est symétrique, je t'assure.
Cordialités,
Denis
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