Ceci est un entêtement assez aigu de votre part. Vous avez 100 % tord sur ce point. Je l’ai répété (malgré que je n’ai aucun partie pris pour la médecine ou la chiropratique) ; les chiro font un nombre de crédits équivalents aux médecins et couvrent à peu de chose près la même matière. Ils ont le même droit que les médecins de poser un diagnostic. Il y a une marge entre les chiro et tous les autres thérapeutes qui est la MÊME marge qu’entre les médecins et tous les thérapeutes qui ne posent pas de diagnostics.
Votre attaque contre la chiropratique n’est motivée que par la défense des dogmes imposés par les associations sceptiques. Je ne voit pas l’ombre d’un argument crédible ou concret dans votre discours pour discréditer la chiropratique.
Pour ce qui est de la médecine et de ses preuves, et bien je vous demanderais si vous connaissez quelqu’un dans votre entourage qui s’est fait enlever ou « gratter » un disque de la colonne. Si oui, quelle est la condition de cette personne aujourd’hui. Personnellement, ce que j’ai entendu dire de ces cas est apeurant. J’en connais deux de ces personnes et leur condition est pire ; les antidouleurs sont devenus nécessaires à leur vie ; quel gâchis ! Est-ce que la médecine est inefficace ? Loin de là. Mais dans certain domaine de pratique, elle aurait dû laisser la place ou la chance à des pratiques non-traditionnelles avant l’approche drastique de l’opération qui est irréversible.
J'ai donné des exemples à André, quelle serait votre réponse?
"Dernière chose : que diriez vous, André, si je vous disais que mon beau-père a eu mal au dos 30 ans de sa vie à tous les matins et qu’un jour, après quelques traitements chiro, ça été fini. Quelle est votre explication ? Ajoutez à cela les milliers de personnes qui fréquentent désormais des chiro dans notre province. Je connais une autre personne qui était supposé ne plus jamais marcher, selon son médecin. Après un suivi chiro, il a remarché. Il doit bien y avoir une partie de vérité dans la théorie des chiro, non ?"
Julien
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