Et bien si vous dites vrai, je dirais que c’est sûrement mieux d’être neutre que d’avoir traîné maintes fois le monde de la science dans l’erreur (organes crut « vestigiaux » chez l’être humain, fragment de fossiles « transformé » en preuve de l’évolution, propagande de l’idée [fausse] du gradualisme dans le registre fossile, fraudes, …).
« *J'ai relu, et ne vois toujours pas en quoi votre réponse dépasse l'"intime conviction". Vous n'apportez rien, absolument rien, pour soutenir que les bourgeons observés chez les pythons ne peuvent être des bourgeons de membres postérieurs. »
Ça vous prend [volontairement ?] du temps avant de comprendre. Je n’adopte aucune position premièrement, il n’y a pas assez de fait pour conclure. J’ai tout expliqué dans mes messages. J’ai donné quelques explications que je pense possibles à ces bourgeons *entre autres le fait que ce soit réellement des anciennes pattes*. Mais cette explication m’apparaît moins crédible que les autres parce qu’il n’y a pas trace de membres avants, l’article soulignait justement ce problème. L’idée d’une malformation/maldie génétique généralisée m’apparaît plus rationnel. Cette idée ne se baserait que sur les faits ;
les bourgeons sont là : Fait
Ils ne servent à rien : Fait
Conclusion ; C’est une malformation.
Pour croire que ce sont des anciennes pattes ils faut spéculer sur les anciennes populations de pythons.
Je fini en vous rappelant que les organes vestigiaux n’apportent rien de bon pour l’évolution. Ça aussi je l’avais bien expliqué mais vous semblez avoir facilement tout oublié de nos conversations ; il s’agirait d’une perte de caractères morphologiques et non d’un gain. L’évolution requiert des gains via les mutations génétiques. Il n’existe aucun cas concret d’un tel phénomène, l’évolution est donc sans ressource.
Julien
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