J'ai pensé un moment que Sébastien me faisait marcher afin de m'exciter pour me faire sortir de mes gonds; mais non ! il n'en est rien c'est sérieux (et c'est bien plus grave que ce que je pensais) , il veut a tout prix m'expliquer ce qu'est un kilogramme.metre/seconde.
A cause de cette notion indispensable d'unité de mesure que je ne maîtriserais pas, mon modèle (le satellite RIGA) va se planter dans la terre (selon son expression).Je venais de lui dire qu'il avait un sacré culot d'orienter le débat sur cet argument ridicule mais non ; il revient à la charge avec une idée fixe afin d'essayer de me faire passé pour un idiot qui ne connaîtrait pas cette unité de mesure.
Ma première idée était la bonne; le niveau est bien celui de la maternelle. Pour le rassurer je tiens a lui dire que le nombre de kilos défilant chaque seconde donne une idée suffisante pour rendre compte de la vitesse d'un rotor. On aurait aussi bien pu parler du nombre de tours par seconde pour un rotor de dimension connue. Je n'ai jamais prétendu être physicien et encore moins mathématicien mais ceci m'interdirait-il de poser une hypothèse de travail.
Mon hypothèse est-elle débile ou est-elle recevable.?…Pour quelle raison ne pourrait-on pas lancer un satellite contenant une masse tournante ?.. Pour quelle raison des spécialistes ne pourrait- ils pas faire les calculs ?
Convenez tout de même que le "décrochage" d'orbite du satellite (que je prévois sans boule de cristal) serait un véritable paradoxe pour les astrophysiciens .Ceux-ci auront à charge de résoudre ce paradoxe par le calcul obligatoirement au travers de la relativité générale.
Sébastien persiste dans ses conneries n'ayant pas de relation avec le problème posé…..en affirmant que la vitesse peut avoir une direction dans l'espace.???? les physiciens jugeront et arbitrerons sur ce point qui met en cause directement son équilibre mental.
Le clou de l'incompréhension c'est qu'après plusieurs mois de discussion Sébastien n'a toujours pas compris comment est fait le modèle du satellite RIGA. Mon message 3444 donne quatre exemples (ou générations différentes) .
Le modèle de génération 2 explique clairement que je voudrais embarquer dans le satellite un moteur électrique de grande dimension ( type TGV).EH! bien même cela est impossible pour Sébastien qui ne comprend même pas où sont les points d'appui du rotor alors que tout le monde sait qu'un rotor de moteur est appuyé sur deux roulements à billes.
En définitive vous conviendrez que le dialogue de sourd a assez duré, ma patience à des limites et il va falloir y mettre un terme définitivement .
J'ai bien conscience qu'a la longue ces empoignades verbales deviennent lassantes pour tout le monde mais y a t-il un arbitre dans la salle ?…Il y a des limites a utiliser le stratagème du beau parleur qui ridiculise ses interlocuteurs par des élucubrations pseudo-scientifiques qu'on cherche a faire passer pour de la rigueur scientifique.
Nous garderons à l'esprit la conclusion merveilleusement brouillonne de Sébastien (que je vais faire encadrer) au problème de physique posé cherchant a définir le comportement d'un satellite contenant un rotor (masse tournante) en fonction de la rotation accélérée de celui-ci ou de sa décélération progressive (Je dis bien: le rotor est placé dans le satellite et le satellite tourne autour de la terre comme tous les satellites)
Extrait du message (N° 3459) :
SEBASTIEN "Alors pour répondre à la question original, je dirais que si l'un de vos satellite est dans votre court et que nous le mettions dans une fusée afin de le mettre en orbite, oui il resterait en orbite jusqu'à temps qu'il est perdu assez d'énergie cinétique pour s'écraser dans la terre mais il ne pourra pas "décrocher" ni se mettre en orbite spontanément "Grâce à la relativité générale".
Francis GATTI
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