Là, ça va faire 4 :
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Voici ce que Platecarpus disait :
P : Et ça aussi, c'est une loi générale - en fait, nous voyons exactement ce que nous nous attendrions à voir si ces différents gènes étaient issus de la duplication récente d'un gène unique.
Ma réponse :
J : Hélas non ! Le génome de Mycoplasma pneumoniae est disponible ici :
http://www.zmbh.uni-heidelberg.de/M_pneumoniae/genome/Get_orf.html
Il ne faut pas avoir peur d’aller sur le terrain. Je conseil d’ailleurs à tous le monde du forum intéressé par le débat à aller jeter un coup d’œil. Sur la page même on peut constater que les séquences d’acides aminées des 677 protéines varient entre 80 à 1300 aa (environ). Les séquences d’ADN varient donc d’environ 300 à 4000 bases. Étonnant pour un génome issue d’un « gène ancestral » et ceci par variation « d’un faible nombre de bases » [PlateC] d’un gène à l’autre.
En dehors de toutes interprétations créationnistes ou évolutionnistes, le génome de Mycoplasma pneumoniae prouve le contraire de ce que Platecarpus rapporte comme une prédiction de l’évolution. Désolé.
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Et vous, ça va faire 4 fois que vous répondez à côté du sujet. Je ne lâcherai pas, vous devriez le savoir. Je ne me laisserai pas prendre à votre petit jeu « je change de sujet subtilement ».
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JF : A par ça, vous dites à Noé qu'une évolution regressive "est en accord avec le créationnisme". Comment le démontrez-vous? Sur quelles bases pouvez-vous vous appuyez?
Julien : Je vous l’ai expliqué dans la discussion sur les serpents ayant hypothétiquement « perdu » leurs pattes. Le créationnisme implique que toutes structures morphologiques est « présente » à la création. Après la création, vous pouvez avoir de légères variations des caractères ou même la perte d’un caractère. L’exemple de la résistance aux antibiotiques est une belle démonstration du phénomène.
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