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Re:Re:Re:Re:Re:Malentendu


Re: Re:Re:Re:Re:Malentendu -- Jean-Francois
Postée par Georges-A. , Feb 06,2000,12:55 Index  Forum

JF: «Georges-André: "Dite moi précisément (en le citant entre guillemets) quel est l'argument deBrissonnet qui vous semble le plus décisif?"

JF: "J'ai déjà répondu à cette question"

J'ai relu vos messages et je ne sais toujours pas quel est d'après vous l'argument principal de Brissonnet. J'ai cru un moment que la déclaration de Dolto ... ??? Mais vous m'avez dit que non! Alors je ne sais plus...

Je suis un esprit simple. Pour éviter de me confondre, je vous propose la formule suivante :
Le principal argument de Brissonnet est le suivent : " …. "


JF: «On va tourner en rond d'autant plus facilement que vous éludez plus de la moitié de mes remarques en demeurant fidèle à votre leitmotiv. »

C'est justement pour éviter de tourner en rond que je cherche à échapper à cet éparpillement des arguments à gauche à droite (en haut en bas). Prenons argument par argument. Je n'éluderais rien. Promis! Je considérerais chacune de vos plus petites remarques. Ne me faites qu'une concession : Présentez-les-moi une à une. Je serais surpris que nous en venions à conclure à une "imposture" ou à un "délire".

JF : «Ce n'est pas en cherchant un autre "détail" de l'argumentation que la discussion reviendra sur la valeur de la psychanalyse.» «Il serait plus constructif que vous ameniez vos propres arguments en faveur de la psychanalyse. Je dis ça parce que, pour l'instant, il n'y en a pas eu véritablement. Même de votre part, puisque vous parlez de "valeur résiduelle", et que votre description des "contiguités sémantiques" ne m'apparaît pas convaincante:... »

J'ai ouvert le présent carré sur une critique du texte de Brissonnet. Mais, vous ne vous trompez pas en remarquant que j'évite, pour le moment, le fond de la question. Dans un carré plus bas, j'avais, de bonne fois, commencé sur ce fond. Gaël et vous à sa suite avez cependant affirmé connaître suffisamment bien la question pour vous être faite une opinion définitive et pour pouvoir rendre un jugement: La psychanalyse serait, à vos avis distingués, une "imposture" et un "délire". Une pareille sentence me semble une affaire en soi, une affaire qui mérite d'être traitée séparément et préalablement à ma question de fond (comme dise les juristes.

Lorsque nous en serons venu à votre dernier argument, que plus rien ne vous semblera "éludé", nous pourrons conclure : Soit, je pourrais dire " la psychanalyse est une imposture et un délire "; soit vous pourrez me dire que vous suspendez votre jugement hâtif et nous aborderons les questions de fonds.

JF: «si il n'y a rien pour justifier l'objectivité et la pertinence de l'interprétation d'une mise en relation, celle-ci (l'interprétation) peut très bien ne pas être valide. Et, c'est le seul intérêt que vous avez laissé à la psychanalyse.»

?!!!??? Je ne voudrais pas avoir l'air "d'éluder" quoi que ce soit ici, mais ces petits bouts de phrases m'embêtent. Je ne sais pas ce qu'ils veulent dire. Je n'ai pas fini mon doctorat, alors allez-y doucement. Je ne comprends pas lorsque vos phrases comportent trop d'information en même temps.




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