Avec ce recul d'une semaine, j'ai pris le temps d'analyser les messages agressifs qui m'avaient été adressés, je sais bien que ce n'était que pour plaisanter, une forme de familiarité amicale (pour donner le change et mettre un peu d'ambiance).
On peut en tirer la leçon et mettre à profit les raisons exactes de ce comportement intolérant . Je me refuse à croire que le débat ne peut que déboucher sur une impasse .
Libre a vous de réagir !....où de vous mettre la tête dans le sable comme font les autruches en faisant le myope.
Voici ma version définitive (en guise de justification) concernant nos discussions antérieures sur la relativité. Quand on commence , on va au bout de son raisonnement. (surtout quand on se fait traiter de schizophrène.)
A ce jour, sans en attendre la vérification expérimentale en apesanteur, sur la base des quatre générations de modèles (proposés en fin de ce message) il est possible à un scientifique de bon niveau de vérifier (mathématiquement) l'apparition théorique d'une gravitation artificielle ponctuelle.
Alors pourquoi ignorer ces propositions scientifiques porteuses ?....
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L'exemple donné par la plate-forme tournante d' Einstein de la variation de pi est une subtilité qui ouvre sur des champs d'applications incommensurables.
Des sociétés avancées qui disposeraient d'énergie a profusion (sur la base du projet RIEMANN par exemple) pourraient assez facilement mettre en œuvre des masses tournantes capables de générer des champs de gravitation artificiels importants générant des "prouesses" dont personne ne peut prévoir les incidences sur notre civilisation. Ceci pourrait préfigurer notre destin à long terme qu'aucun futurologue ne soupçonne.
On pourrait rétorquer que de toute façon la résistances des matériaux représente une barrière infranchissable pour des rotor solides qui n'ont aucune chance d'atteindre les vitesses phénoménales en question. Cette argument est prématuré et des surprises nous attendent sur cette question cruciale car les civilisations avancées qui connaîtraient la nature de la gravitation auraient très probablement les moyens de supprimer localement l'inertie du rotor afin qu'il ne subisse pas les contraintes infernales liées aux forces centrifuges. Nous avons la chance de vivre une époque de grande transition. D'autres lois que les lois de NEWTON seront découvertes, elles auront des applications pratiques dans la vie courantes qui offriront des possibilités de transport inimaginables. Notre civilisation pourrait être s en mesure de visiter l'univers en y parcourant d'énormes distances sans la contrainte de la durée du voyage .
Le fait de mieux comprendre la gravitation et de savoir comment fabriquer artificiellement celle-ci ne suppose pas en première analyse (et à court terme) l'avènement d'une révolution technologique de cette envergure dans les transports. Surtout si des déplacements en atmosphère par ce moyen curieux semblent a ce jour beaucoup plus coûteux (voir inabordables) à cause de leur extrême gourmandise en énergie; infiniment plus de consommation que les fusées.
Jusqu'à présent les recherches concernant la gravitation sont principalement orientées sur l'étude des ondes gravitationnelles naturelles de l'univers ; celle-ci n'offrent pas de perspectives exploitables à court terme malgré des investissements énormes.
En seconde analyse on se rend compte rapidement que la possibilité de fabriquer de la gravitation artificielle ouvre des perspectives nouvelles (totalement imprévues) aux laboratoires de recherche du monde entier. C'est surtout la notion d'intensité de gravitation qui va permettre d'accéder a des expériences de physique de première importance. Enormément de progrès (autant techniques que fondamentaux) se profilent derrière cette nouveauté. Les champs gravitationnels très intenses mais de petite taille devraient révolutionner complètement les modes d'expérimentation pour l'étude des particules. Grâce a cet outils nouveau l'étude de l'espace temps sera possible en laboratoire.
La grande unification sera beaucoup plus facile a comprendre au travers de l'utilisation de la gravitation artificielle ponctuelle dans les laboratoires
RIGA est selon nous une étape, (un passage obligé) pour comprendre et exploiter RIOM à des fins utiles.
- Point n°5
Une partie des témoignages paranormaux provenant dossier OVNI (1) font état de machines volantes habitées utilisant un énorme rotor en accélération . Les informations qui nous arrivent par ce canal sont en cohérence parfaite avec la relativité par a une multitude de détails extrêmement pertinents. Les scientifiques ne devraient pas refuser d'étudier cette partie du dossier , ils devraient être plus réceptifs à ces témoignages qui pourraient bien refléter l'existence de machines a voyager existant ailleurs. Ailleurs dans le temps (passé ou futur) ou ailleurs dans l'espace.
(1) Les scientifiques qui doutent du sérieux du dossier OVNI peuvent se reporter aux travaux des colloques de Pocantico en 1998 (organisé par la fondation Rockfeller) et de Santiago en février 2000 ainsi qu'au rapport COMETA communiqué officiellement au président Chirac en 1999 par l'ex Président du CNES et des généraux de haut rang de l'armée de l'air française.
- Point n°6
La notion d'intensité est capitale pour comprendre la gravitation artificielle. Lorsque que vous tournez votre petite cuillère dans une tasse de café vous fabriquez de la gravitation artificielle . La gravitation est unipolaire; c'est une des raisons de la difficulté qu'il y a de l'étudier. Toute gravitation artificielle générée localement sur terre reste indécelable tant que son intensité gravitationnelle est inférieure a l'intensité gravitationnelle du milieu dans lequel elle baigne. Nous sommes ici dans le cas de figure des gravitations "imbriquées" .
Pour générer une gravitation plus intense que la pesanteur (au niveau du sol) l'ordre de grandeur de la vitesse de défilement à la circonférence d'un rotor serait de l'ordre de grandeur de la vitesse de libération (8 kms/sec). Il est impossible d'envisager ce type d'expérience au niveau du sol pour des questions évidentes de résistance des matériaux; par contre en apesanteur la "fabrication" de la densité de gravitation artificielle suffisante pour arriver au décrochement d'orbite est envisageable car le niveau de vitesse de rotation du rotor serait tout à fait compatible avec la résistance des matériaux. Le seul problème qui se poserait serait d'apporter à pied d'œuvre l'énergie nécessaire pour inculquer au rotor une accélération soutenue pendant un temps suffisant afin de provoquer le décrochage (changement d'orbite).
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Quatre générations de prototypes en micro-gravité
pour l'étude en vraie grandeur de la plate-forme d'Einstein
Génération 1
Rotor annulaire (ayant une symétrie de révolution) ayant un mouvement rotatif concentrique vis a vis d'une plate-forme sur laquelle il est en mouvement rotatif. La plate-forme comporte un ressort spirale qui se tend en prenant appui sur un axe central. Un moteur électrique de petite puissance alimenté par des panneaux solaires est en mesure de tendre lentement le ressort grâce a un système de démultiplication à cliquet.
Génération 2
Rotor annulaire (ayant une symétrie de révolution) mis en mouvement par un moteur électrique (type TGV).Une régulation électronique injecte les impulsions électriques nécessaires pour inculquer au rotor un mouvement accéléré entretenu. La quantité d'accélération est contrôlée; elle peut être augmentée a la demande.
Génération 3
Plate-forme télécommandée mise en mouvement rotatif par des tuyères disposées à 120 degrés sur la circonférence . Un moteur à plasma (ou autre) génère des particules à haute énergie qui sont éjectées électriquement à très grande vitesse par les tuyères. La vitesse de sortie des particules est régulée afin d'imposer un mouvement rotatif accéléré a la plate-forme. La quantité d'accélération est maîtrisée; elle peut être augmentée ou diminuée à la demande.
Génération 4
Motorisation identique à la génération 3 .Les tuyères agissent sur un rotor extérieur (en anneau concentrique à la plate-forme) pour lui inculquer un mouvement rotatif très rapide. La plate-forme carénée ne tourne pas ,elle comporte une local habitable de commande et d'expérimentation .Un système de stabilisation (rétrofusées ou autre) permet de maintenir la tour centrale une position fixe par rapport au rotor .Le rotor est solidaire de la plate- forme (autour de laquelle il tourne) par un système de roulement magnétique.
NB: Les schémas de principe (ainsi que les calculs mathématiques afférents) des quatre générations de satellites d'expérimentation seront ultérieurement sur site :
http://casar.citeweb.net
Documentation
-"La relativité" Paul Couderc (ed. PUF 1981 )
-"La relativité" Stamatia Mavridès (ed.PUF 1990)
"La quête de l'unité" Etienne KLEIN et Marc LACHAIZERAY- Albin Michel
" A la découverte de l'espace-temps" E.R. Taylor et J.A. Wheeler - Ed. Dunod
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