En effet. Sheldrake mentionne que le chien en question passe environ 5% du temps à la fenêtre au cours de la journée (attiré par le bruit d,une auto, un passant, etc.). Ce temps augmente de façon statistiquement significative lorsque le maître décide de revenir à la maison et au moment ou se rend vers la maison. Wiseman a obtenu les même résultats sauf qu'il a décrété, sur une base subjective, que chaque présence du chien à la fenêtre mettait fin à l'expérience.
Wiseman a fait preuve d'un manque flagrant de rigueur scientifique sans jamais admettre son tort.
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