En fait, on ne peut pas appliquer ce critère à un Juif puisque le concept de trinité est postérieur à l'ancien testament. De toute façon, il est difficile d'aborder un sujet théologique avec un juif: ou bien on tombe sur un rabbin érudit et il faut prévoir du temps (malheureusement, quand on aborde des sujets passionnants comme la tradition des interdits alimentaires dans les différentes communautés, il est toujours tard dans la soirée et on rate le dernier train), ou on se casse le nez sur un militant pas érudit du tout, qui considère les questions avec suspiscion en insinuant qu'on a des intentions et un point de vue louches (ça m'est encore arrivé vendredi soir !).
"comme dans les autres cas de commandements religieux, ils ne "décident" pas, ils obéissent."
Obéir est aussi un choix et une décision, n'est-il pas ? le choix et la décision de laisser d'autres (personnes, livres, traditions) endosser la responsabilité de ses actes, mais un choix et une décision malgré tout ! et j'ai du mal à accepter une justification à une décision dont les conséquences sont portées par les autres, surtout quand lesdits autres ne sont pas en mesure de s'en défendre.
"Bref, la question plus générale serait peut-être du genre : parents propriétaires des enfants dont l'avenir doit être un prolongement de leur propre existence... "
Entièrement d'accord, depuis l'envoi des enfants au champ de carnage, l'excision, le refus de soins, etc.
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