1) «quant à mes ennemis, ceux qui n'ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les en ma présence» (Luc, 19.27).
2) «n'allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. Car je suis venu opposer l'homme à son père, [etc.] (Mat 10.35).
Évidemment les «théologiens de salon» vont venir nous interpréter ça, nous le «spinner» pour que ça soit tout bien gentil. Mais sans leur «aide», c'est pas beau: sang, egorgés, épées, crime par la pensée...
Moi ce qui m'énerve dans le NT c'est même pas ça, c'est le paternalisme étouffant, tout-connaissant, totalitaire. Pas besoin de tuer pour opprimer: on n'a qu'à saper l'esprit critique et rendre les gens cons.
Mais de toute façon, c'est pas un concours de religion, coudon. Je ne me rappelle pas avoir dit que l'Islam était une bien belle religion. Il n'y a aucun intérêt là-dedans -- sauf pour les religieux, qui croient tous avoir la plusse meilleure religion au monde. Personnellement je trouve cette attitude risible.
Remarquez comment Jules me traite de collabo (ayoille). Ça trahit pas mal sa paranoïa anti-musulmane. Il se croit dans une guerre, assailli de toutes parts. Il a déjà adopté la mentalité du bunker ou du siège, où ceux qui ne sont pas d'accord avec lui son dangereux. On est rendu loin, là.
En fait, je le rérérépète, ce qui m'énerve avec le garrochage de méchants versets du coran c'est l'attitude qui consiste à amalgamer des millions de gens à des phrases choisies arbitrairement et malhonnêtement dans un vieux livre, surtout quand celui qui choisit est lui aussi assis sur son vieux livre -- d'autant plus que c'est facile quand les autres ne sont pas là pour se défendre (mais pourquoi au juste devraient-ils être sur la défensive? Moi si j'étais musulman je l'enverrais tout simplement chier, le mec).
Si un wahhabite merdique vient nous rabâcher ses conneries je serai le premier à lui sauter dessus, promis. Mais le déluge des accusations par association et par supposition, c'est pas très rationnel, et c'est somme toute assez lâche, et c'est juste pas fin.
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