Voyons comment tu fais dire ce que tu veux à la bible en donnant des citations hors contexte.
Stéphane:«1) «quant à mes ennemis, ceux qui n'ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les en ma présence» (Luc, 19.27).»
Ça, c'est un extrait d'une parabole où Jésus fait un lien avec le sort qui attend Jérusalem. Ce sont les paroles qu'il attribue à un roi qui donne l'ordre de tuer ses ennemis. Quelques versets plus loin, Luc mentionne que Jésus pleure sur le sort de Jérusalem.
Stéphane:«2) «n'allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. Car je suis venu opposer l'homme à son père, [etc.] (Mat 10.35).»
Là, si on se réfère à l'ensemble du chapitre, Jésus prévient ses disciples qu'ils seront persécutés même par leurs proches.
Stéphane:«Évidemment les «théologiens de salon» vont venir nous interpréter ça, nous le «spinner» pour que ça soit tout bien gentil. Mais sans leur «aide», c'est pas beau: sang, egorgés, épées, crime par la pensée...»
Moi, je trouve que tu fais pas mal "athée de salon" avec tes interprétations toutes croches de la bible et que tu es prompt à lancer toutes sortes d'épithètes à ceux qui s'opposent à ce qui te tient lieu d'argumentation. Dans ce contexte, je comprends la réaction excessive de Jules dont la position à l'effet qu'on ne peut placer le Coran et le Talmud sur le même pied que le Nouveau Testament des chrétiens en ce qui concerne l'invitation à la violence se défend par ailleurs très bien.
André
|